Une tribune pour les luttes

jeudi 5 novembre 2009

MARSEILLE

AIX EN PROVENCE

18 h 21

et aussi Arles, Salon...

Cinéma(s) d’Algérie

aflam / diffusion des cinémas arabes

- “Aliénations” de Malek Bensmail - Algérie, France, 2003, Béta SP, couleur, 105’. Un film sur la souffrance mentale en Algérie.
- “Combien je vous aime” de Azzedine Meddour - Algérie, 1985, 35 mm, 105’.
À partir d’images d’archives, notamment des journaux télévisés français, l’auteur dresse un portrait au vitriol de la colonisation française en Algérie, avec beaucoup d’humour et d’ironie.
- “Frantz Fanon, Mémoire d’asile” de Zahzah Abdenour - Algérie, 2002, vidéo, couleur, 52’. Ce film est un portrait du psychiatre et théoricien révolutionnaire Frantz Fanon
- “Les baies d’Alger de Ferhani Hassen” - Algérie, 2007, vidéo, couleur, 14’.
Dans un long panorama de la ville d’Alger, à travers des conversations perçues dans l’intimité, l’auteur nous livre un portrait de la population algéroise et de ses problématiques.
- “Mascarade de Lyes Salem” - Algérie, 2008, 35mm, couleur, 92’. Un village quelque part en Algérie. Orgueilleux et fanfaron, Mounir aspire à être reconnu à sa juste valeur.
- “Mémoires du 8 mai 1945” de Hamidat Mariem - Algérie, France, 2007, vidéo, couleur, 60’. Le 8 mai 1945, à Sétif, petite ville de l’Est algérien, on fête l’armistice. Dans le cortège, parmi les drapeaux alliés surgit un drapeau algérien, symbole d’indépendance. La police tire sur la foule. C’est l’émeute.
- “Tahia ya Didou” (Alger insolite) de Mohamed Zinet - Algérie, 1971, 35 mm (projection Beta numeric), couleur, 110’. Au hasard des promenades et des rencontres, Simon et sa femme, un couple de touristes français, découvrent Alger.

Les salles, l’agenda, en savoir plus sur les films :
www.aflam.fr/spip.php?page=filmdufe...

Et le Dimanche 8 novembre à 19 h au Théâtre Gyptis 136, rue Loubon belle de mai 13003 en partenariat avec les Rencontres à l’Echelle // Marseille-Alger
- “Inland” de Tariq Teguia - 2008, couleur, 35mm, 138’. Alors qu’il vit en quasi reclus, Malek, un topographe d’une quarantaine d’années, accepte une mission dans une région de l’ouest algérien. Il est chargé des tracés d’une nouvelle ligne électrique devant alimenter des hameaux enclavés des monts Daïa, une zone terrorisée il y a à peine une décennie par l’islamisme. Un jour, une jeune clandestine venue d’Afrique noire vient se réfugier chez lui.

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