Pas très gai, il recense une partie des horreurs bessoniennes, expulsion d’un jeune polyhandicapé kosovar arrêté dans l’institution où il était soigné, tentative d’expulsion d’une famille en « oubliant » le petit dernier de deux ans, embarquement au commissariat d’un enfant de quelques années avec son père, etc, etc, hélas… Avec Besson, le lendemain est toujours pire que la veille. Jusqu’où ? Jusqu’à quand ?
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