18 h 30 - 20 h Faculté de Sciences économiques, 14 rue Puvis-de-Chavannesn 13001 (métro colbert) Entrée libre
18 h 30 - 20 h Faculté de Sciences économiques, 14 rue Puvis-de-Chavannesn 13001 (métro colbert) Entrée libre
Depuis plus de cinquante ans, les pays arabes ont vu se développer à leur tête les formes les plus diverses de prédation, entravant de fait toute velléité d’émancipation et de modernisation socio-économiques dans ces pays. Ces comportements, généralement liés à l’exploitation de rentes pétrolières (mais pas toujours comme le cas tunisien l’indique), ont conduit à un type particulier de développement économique avec pour toile de fond un centralisme rampant visant d’abord à pérenniser les rentes des groupes dirigeants. Comment dès lors expliquer les récents évènements en Tunisie, en Egypte, et leur prolongement actuel en Libye et au Yémen et ailleurs ? Y a-t-il une grille de lecture commune à tous ces mouvements nationaux ? Qu’en attendre ? Y a-t-il une exception algérienne ?
avec la participation de
Rafik Bouklia-Hassane, économiste, Université d’Oran
Thierry Coville, économiste, Institut des relations internationales et stratégiques (IRIS), Advancia-Negocia
Raouf Boucekkine, Université Catholique de Louvain, Greqam (Groupement de recherche en économie quantitative d’Aix-Marseille