À Marseille ils sont des centaines à survivre ainsi nuit et jour dans la rue, chassés d’un endroit à l’autre, d’un quartier à l’autre par la police qui ne les laisse pas un instant se reposer et retrouver un semblant de chez soi sous une tente ou dans un squatt.
La situation sanitaire est catastrophique. Les enfants se lavent et boivent l’eau des caniveaux.
La violence progresse, contre eux, cibles de certains habitants qui veulent les voir partir.
Et on se demande pourquoi cette politique du pire, qu’attend la Ville, des morts ?