18 h 30 Projection court métrage « Slow food » et débat animé par Eugenio Mailer
 20 h buffet convivial
 21 h « Tous au Larzac »

Un autre monde est possible….
Nous pourrons (re)commencer à y croire lorsque nous aurons vu « Tous au Larzac » qui retrace 30 années d’un combat unique en son genre.

Nous pourrons (re)commencer à y croire lorsque nous aurons vu le court métrage sur le mouvement slow food, au départ italien, aujourd’hui international, qui (re)crée un art de vivre en voie de disparition, celui de la gastronomie, du plaisir culinaire, de la dégustation, des saveurs qui viennent chatouiller le palais avec délicatesse, du savoir vivre, en allant puiser chez les petits producteurs, ceux qui savent encore ce qu’ils font. Un art qui s’oppose par définition au fast food, version déchets agglomérés de tout ce qui se fait de plus indigeste, de plus sommaire, contraire à toutes les règles d’accueil, de bien-être et de convivialité, le mauvais goût par excellence, symbole de l’ultra-décadence de l’ultralibéralisme.

Nous pourrons (re)commencer à y croire lorsque nous aurons vu le court métrage sur la manière qu’ont certains viticulteurs de traiter la vigne, source de nectar, façon biodynamique, en respectant la terre, son rythme propre, sans lui imposer le diktat des insecticides, pesticides ou engrais mortifères directement sortis de Monsento.

Nous pourrons (re)commencer à y croire lorsque nous aurons dégusté ces vins que vont nous proposer ces viticulteurs venus tout exprès pour nous.

Nous pourrons (re)commencer à y croire lorsque nous aurons régalé nos palais avec les mets délicieux concoctés tout spécialement par Gabriela de la Buena Forchetta.

Nous pourrons (re)commencer à y croire lorsque nous aurons débattu de tous ces sujets bien vivants avec un public de bons vivants.

Et puis… n’oublions pas que ce sera presque le solstice d’hiver, que les jours vont commencer à rallonger et que c’est une occasion pour nous de nous reconnecter avec cette fête paienne, qui honorait entre autres choses les fruits de la terre.

Alors… Puisque la coupe est pleine, VIDONS LA.