Une tribune pour les luttes

Aix-en-Provence

Du 6 au 8 juillet 2012
Les Rencontres Déconnomiques.

dans les lieux de vie et dans les rues du centre.

Article mis en ligne le dimanche 8 juillet 2012

Vidéos des conférences sur le site des Rencontres Déconnomiques
http://www.deconnomistes.org/


http://www.lamarseillaise.fr/economie/l-economie-est-accessible-a-tous-27429.html

« L’économie est accessible à tous »

06-07-2012

A côté des rencontres du Cercle des économistes qui se tiennent à partir de vendredi 6 juillet et jusqu’à dimanche, un événement alternatif mêlant conférences-débats, projections de film et animations de rue fait parler de lui. Dany Bruet, l’un des instigateurs des rencontres « Déconnomiques » présente l’initiative.

Quel est le point de départ des rencontres Déconnomiques ?
Pourquoi ce nom ?

La racine du mot n’a échappé à personne. Quant à l’événement en lui-même, il est le fruit d’une longue maturation. Chaque année nous étions un peu chagrinés de voir des économistes ultralibéraux investir le centre-ville d’Aix. Cette fois il y a eu un déclic : deux émissions de Daniel Mermet avec François Ruffin et un article de Renaud Lambert dans le Monde diplomatique, portant notamment sur les conflits d’intérêts de ces « experts ». J’ai sollicité Renaud Lambert pour organiser une conférence et très vite, cette idée initiale s’est transformée en rencontres de portée nationale sur trois jours.

En prenant le parti de l’humour, ne laissez-vous pas le monopole du sérieux aux libéraux que vous dénoncez ?

On joue sur deux volets. Il y aura des conférences extrêmement sérieuses avec des économistes hétérodoxes sur des sujets laissés dans l’ombre par les ultralibéraux. Simultanément on utilisera l’humour pour sortir de l’esprit militant chagrin, intéresser un large public mais aussi parce que nos adversaires sont paralysés par l’usage de l’humour dont ils manquent cruellement.

Qui sont vos intervenants ?

Ils sont très variés, à l’image de la pensée économique qui s’exprimera pendant ces trois jours. Par exemple, il y aura Frédéric Lordon un économiste aussi créatif que radical mais aussi un romancier et cinéaste tel que Gérard Mordillat ou encore Alain Persat, un citoyen lambda qui explore l’économie de façon passionnante. Pour nous, parler d’économie n’est pas un privilège réservé à quelques uns. L’économie est accessible à tous.

Vous qualifiez le cercle des économistes d’ultralibéral, pourtant son président est souvent présenté comme de gauche…

A chaque fois que Jean-Hervé Lorenzi est de gauche, il est aussi de droite. En 2007, il a appelé à voter Ségolène Royal mais avait participé à un groupe d’experts qui a inspiré le programme économique de Nicolas Sarkozy. Cette fois, il a appelé à voter François Hollande tout en faisant partie du Conseil d’analyse économique, une instance placée directement auprès du premier ministre et qui conseillait François Fillon. Bref, quel que soit le gouvernement en place, il est blindé.

Y aura-t-il un débat contradictoire entre membres des deux cercles ?

Le cercle des économistes nous avait approché en ce sens avec probablement l’idée de redorer son blason en évacuant les critiques. Nous sommes ouvert au débat mais nous souhaitons qu’il se déroule partout. Tant que dans les médias dominants les membres du cercle des économistes ne recevront pas la contradiction, nous ne voulons pas être un alibi ponctuel.

L’Université a tergiversé avant de vous accorder des salles. Êtes-vous désormais prêts ?

Oui c’est réglé. Lorsque le président de l’Université nous a retiré les salles, nous lui avons écrit une lettre pour le remercier d’un tel cadeau et nous l’avons prévenu que nous louerions des chaises pour faire les conférences demain. Le ton du courrier a dû quelque peu le surprendre et il est revenu sur sa décision. Pour ce qui est de l’organisation générale nous sommes prêts. Nous sommes des militants, nous faisons ça après le boulot mais nous avons mis sur pied en quatre mois un événement qui demande une préparation d’un an. L’équipe d’organisation n’a jamais coupé les cheveux en quatre et a été portée par l’action. Et puis nos réunions de travail sont assez « déconnantes » ce qui aide à prendre du plaisir en préparant tout cela.

propos recueillis par

Léo Purguette

Programme complet des 3 jours et directs web sur www.deconnomistes.org


Communiqué de presse du 3 juillet 2012
 :
"Pourquoi le débat entre économistes orthodoxes et économistes hétérodoxes n’aura pas lieu".

A sa grande surprise, le Cercle des Déconnomiques a été contacté par Olivier Pastré, porteur pour le Cercle des Economistes d’une proposition de « débat contradictoire » avec quelques uns de nos économistes à nous ! Passé le moment de rigolade il a bien fallu s’interroger : quelle mouche les avait donc piqués ? Depuis une décennie le Cercle des Economistes, réunion notoire, à quelques différences secondes près, d’amis du système, a méthodiquement ignoré les économistes hétérodoxes pour mieux s’adonner à la célébration de la mondialisation et de l’Europe orthodoxe. Mais après tout chacun ses tocades…
Ce qui nous embête davantage c’est que ces messieurs (et quelques dames) se sont imposés dans l’espace public, avec il est vrai l’actif concours de médias tous plus dévoués les uns que les autres, jusqu’à y conquérir une position de quasi-monopole – eux qui vantent tant par ailleurs les vertus de la concurrence, n’est-ce pas là un délicieux paradoxe ? Depuis dix ans, on ne voit qu’eux, on ne lit qu’eux, on n’entend qu’eux. Et pour nous raconter toujours les mêmes navrantes salades – dont la crise ouverte depuis 2008, compliquée depuis 2010, rend enfin évident les édifiantes conséquences. C’est leur monde qui est en train de partir en lambeaux, celui qu’ils auront concouru à faire advenir, dont ils auront été les inlassables promoteurs. Une infortune n’arrivant jamais seul, voilà que l’on découvre combien nombre de ces jolis messieurs (et dames) étaient amis, vraiment très amis des institutions financières privées les plus variées – se peut-il qu’il y ait un quelconque lien entre ces positions avantageuses et les discours qu’ils n’ont cessé de tenir, d’ailleurs en se parant des vertus objectives de l’expertise, parfois même de la science ?...

L’un dans l’autre le Cercle des Economistes à l’évidence passe un sale quart d’heure. Ça ne l’empêche pas une fois de plus de banqueter luxueusement avec ses habituels invités de prestige. Mais ça le démange suffisamment pour, chose extraordinaire, venir proposer aux pelés, aux galeux, aux économistes hétérodoxes, un « débat contradictoire  ». Cette proposition sortie de nulle part signifierait-elle que ça commence à sentir le roussi ?... Faut-il le dire, nous avons répondu non – le roussi est une odeur qui nous plaît bien…

Comme nous connaissons ces messieurs-dames – ils sont très prévisibles –, nous préférons prendre les devants. Car nous les voyons d’ici plastronner en expliquant que, ayant refusé leur gentille offre de « débat  », nous avons fui, nous n’avons pas voulu nous soumettre aux rudes disciplines de la confrontation argumentée et patati et patatère. Nous leur répondons donc par anticipation ceci :
1) alors qu’ils ont ignoré somptueusement tout ce qu’il y avait de pensée économique critique en France, nous ne nous sentons pas tenus d’accourir à leur premier claquement de doigts ;
2) leur demande étant suspecte à proportion de ce qu’elle est soudaine, nous sommes portés à supposer que leur position a été fragilisée, notamment par quelques révélations récentes, au point d’éprouver désormais quelque nécessité de se montrer «  pluralistes », « ouverts  » et d’une parfaite bonne volonté dialectique. Cette heureuse disposition nous paraît d’acquisition trop récente pour être vraiment sincère – et ne pas être visiblement intéressée. Or nous ne sommes pas décidés à leur rendre le moindre service. En d’autres termes, ils se découvrent dans la mouise : qu’ils ne comptent pas sur nous pour les en sortir !
3) eux qui ont eu accès à tous les lieux médiatiques en prenant soin d’en écarter tous leurs possibles contradicteurs, eux qui ont régné exclusivement sur un débat public ayant foulé aux pieds le pluralisme le plus élémentaire, eux qui ont eu toutes les tribunes, en voudraient une de plus et qu’au surplus ce soit nous qui la leur offrions pour faire leur petite démonstration d’« ouverture  » : ils peuvent se fouiller !
4) nous ne débattrons contradictoirement avec ces messieurs-dames que lorsque les conditions générales du débat contradictoire auront été rétablies, plutôt établies, dans l’espace médiatique qu’ils contrôlent de bout en bout, c’est-à-dire quand ils nous offriront non pas du «  débat » mais des vacances, et qu’on ne les verra plus à tout bout de champ dans Le Monde, Libération, l’Obs, France Inter, France « Culture », etc., etc. En attendant, qu’ils aillent se faire voir chez Plumeau !

Le Cercle des Déconnomistes

www.deconnomistes.org
les.deconnomistes chez gmail.com
Page Facebook : deconnomistes


Du 6 au 8 juillet 2012 Les Rencontres Déconnomiques.

www.deconnomistes.org
• les.deconnomistes chez gmail.com
page Facebook : deconnomistes
• Tél. 06 33 90 96 13

Depuis de nombreuses années, début juillet, le Cercle des Economistes organise les Rencontres
Economiques d’Aix-en-Provence.

Une poignée d’économistes, habituée à quadriller l’espace médiatique, monopolise le débat
public pour délivrer une réflexion et un discours économiques indigents.

Plutôt qu’une contre-manifestation, car force est de constater que les plus déconnants ne sont pas
ceux qu’on croit, Le Cercle des Déconnomistes a préféré créer « Les Rencontres Déconnomiques d’Aix-en-Provence » car les plus déconneurs sont parfaitement connus.

Celles-ci seront joyeuses, festives, un peu taquines, inventives, créatives, mais aussi studieuses.

Les Amis du Monde Diplomatique d’Aix-en-Provence, La Choucroute de Marseille, Le Repaire
d’Aix-en-Provence, Le Repaire de Marseille, Les facteurs d’images, Le Point de Bascule ainsi qu’Attac
Marseille et Attac Pays d’Aix sont les premières structures qui composent le Cercle des Déconnomistes.

L’ambition des Rencontres Déconnomiques est double :
Il s’agit d’une part de démontrer que la pensée économique est foisonnante, qu’elle ne se limite
pas à une pensée unique développée par et sur les médias dominants pour le plus grand profit
de l’oligarchie en place.

D’autre part, les Rencontres Déconnomiques «  expertiseront » ces experts pour mettre en évidence
les éventuels conflits d’intérêts.

Au programme des Rencontres Déconnomiques, il y aura des conférences, des animations de rue,
du théâtre, du cinéma, des lectures et de la musique.

Les Rencontres Déconnomiques se dérouleront dans les lieux de vie et dans les rues du centre
d’Aix-en-Provence, du 6 au 8 juillet 2012.


Des conférences :

Gilles Balbastre, journaliste et documentariste
«  Les nouveaux chiens de garde »
(film)
Gilles Balbastre débattra avec les spectateurs après la projection de son documentaire.

Jean-Philippe Desbordes, journaliste d’investigation
« L’économie dans les relations et les problématiques du management
 »
Les stratégies managériales, depuis près de cinquante ans, ne cessent d’infiltrer
le monde de l’entreprise pour mécaniser l’humain et plier ses « ressources » aux exigences
d’un économisme de plus en plus prédateur.

Gérard Duménil, économiste, directeur de recherche au CNRS
«  D’où vient la crise, où vont le néolibéralisme et le capitalisme ? »

Gérard Filoche, inspecteur du travail
«  La dette et la destruction du code du travail »

Hervé Kempf
« Economie politique du post-capitalisme »

A quoi ressemblera une économie mondiale visant à sortir de la crise écologique
en assurant le plein emploi ? Et quel est le chemin pour y parvenir ?

Renaud Lambert, rédacteur en chef adjoint au Monde Diplomatique
« Conflits d’intérêts, la responsabilité des médias »

Depuis quelques mois, certains organes de presse semblent se soucier de la question
des conflits d’intérêts chez les économistes médiatiques.
Mais s’agit-il pour eux de s’interroger sur leur responsabilité dans ce domaine,
ou de profiter de l’émergence d’un nouveau « produit médiatique » ?

Frédéric Lordon, économiste, directeur de recherche au CNRS
Dans quel état de décrépitude se trouvera la zone euro quand se tiendront les Rencontres
Déconnomiques ?

Qui sont les responsables de cette historique déconfiture ?
Quelles parts y prennent respectivement les politiques, les médias et les « experts » ?

Gérard Mordillat, cinéaste et romancier
« Il n’y a pas d’alternatives »

Une oligarchie a confisqué le pouvoir. Mais quand la crise financière de 2008 met en péril
sa fortune et son patrimoine, l’Etat recouvre soudain toutes ses vertus. Ceux qui hier
le vilipendaient, réclament son secours à grands cris. Il n’y a pas d’alternative, il faut
sauver les banques !

François Ruffin, reporter et fondateur du journal Fakir
« Le protectionnisme »

Plutôt que la « démondialisation », estime le Cercle des Economistes,
mieux vaut un « accompagnement de la mondialisation ».
Et "sur ce point", comme sur tant d’autres, "il ne devrait pas y avoir débat",
écrivent ces experts.
Et bien si, au contraire, le moment est venu d’avoir ce débat : la "libre circulation
des capitaux et des marchandises
" conduit-elle au bonheur, ou au dumping social,
fiscal, environnemental ? Et le cas échéant, comment l’affronter de face ?

Fabrice Aubert, économiste politique marxiste.
« La crise... c’est la faute aux grecs »

Aujourd’hui, les politologues et économistes médiatiques parlent de « crise de l’euro »,
de « crise de la dette », de « crise de l’Europe », de « crise économique
 », mais oublient
de rappeler qu’ils ont en 2010 tout imputé aux... grecs.
De fait, la crise actuelle, dans ses fondements, serait d’origine grecque.
Il nous faut donc étudier, « avec la rigueur des sciences de la nature », en quoi la Grèce
est à l’origine de la crise.

Claude Escarguel, chef d’entreprise, économiste praticien
«  L’entreprise équitable : faire des salariés les copropriétaires de leur entreprise  »

L’entreprise privée obéit aux règles capitalistes selon lesquelles la totalité des profits
et des décisions sont monopolisées par les propriétaires du capital.
Les salariés représentent l’une des trois composantes de l’entreprise, avec les créateurs
et la finance qui représentent les deux autres composantes.
Au nom de cette évidence, le poids du collectif de l’ensemble des salariés d’une entreprise
privée ne devrait-il pas peser le tiers dans la répartition des profits ?

André-Jacques Holbecq, économiste politique
«  La monnaie et la dette »

Il y a une quarantaine d’années, les Administrations publiques et en particulier l’Etat français
étaient peu endettés, à l’instar de la plupart des autres nations, d’ailleurs.
En moins de quarante ans, nous avons accumulé une dette colossale qui dépasse
les 1700 milliards d’euros. Pourquoi ?
S’est-il produit quelque chose qui ait fait que l’on ait eu soudain besoin de recourir autant
à l’emprunt, alors qu’auparavant, on se suffisait à nous-mêmes ?
Et si tel est le cas, qui en bénéficie vraiment ?
Comment s’en libérer sans nous emmener dans une terrible récession ?

Jacques Le Bohec, chercheur en sociologie du journalisme
«  Les journalistes et l’économie, un regard historique sur la presse »

Jacques le Bohec explorera, d’une part les rapports entre les journalistes et l’économie
à l’aune du passé de ces deux aspects de la réalité, et d’autre part les conditions
de recrutement et de travail des journalistes.
Il tentera donc d’expliciter les soubassements de leur forte interdépendance et de suggérer
quelques voies de sortie de l’impasse mal éclairée dans laquelle nous nous trouvons.

Alain Persat, sociologue
«  Aujourd’hui on ne nous parle que d’argent »

Analyse critique de la monnaie dette, propositions fiscales et monétaires.
«  Mais la valeur est le travail »
Analyse critique du système éducation / salariat / retraite, propositions économiques.
«  Comprendre nos erreurs économiques pour proposer des solutions »
Ecologie, démocratie, droit à la paresse et droit à la richesse, décroissance et partage.

• René Teboul, maître de conférences en économie politique
« Les origines de la pensée économique »

Dans les premiers temps de la formation de cette discipline, les « économistes »
se voulaient d’abord pragmatiques, donnant des recettes d’abord pour la conduite
des affaires de l’Etat. La plupart d’entre eux étaient protectionnistes et interventionnistes.
Ils ne se voulaient pas théoriciens au sens où l’économie l’entend aujourd’hui.
La plupart des solutions avancées aujourd’hui pour sortir de la crise sont déjà là,
qu’il s’agisse du resserrement des inégalités, de la réforme fiscale, ou encore de l’utilisation
de la monnaie pour stimuler la croissance.
C’est seulement à partir d’Adam Smith et de sa fameuse « main invisible » que les
économistes vont commencer à faire croire que l’économie politique peut devenir une
science et donc s’affranchir d’un projet politique.


Des animations

La Choucroute de Marseille
Le Grand Mamamouchi,
personnage de Molière dans « Le bourgeois
gentilhomme », déambulera dans les rues d’Aix pendant 3 jours

Cécile Mazan-Guindon
lectures publiques et extérieures de textes de Jean-Marie Harribey.

Les sketchs
« La conférence de Richie Job »
« La poule aux œufs d’or »

Une inauguration officielle avec Les cantatrices engagées.
Le thème des rencontres officielles étant « Et si le soleil se levait aussi à l’ouest »,
une déclaration finale sera rédigée répondant à la question «  nos économistes
médiatiques sont-ils aussi à l’ouest ?
 »

Remise de prix pour clôturer les Rencontres Déconnomiques :
Le prix canard du confit d’intérêt
Le prix Babar de l’énormité de la tromperie
Le prix de l’expert à 2 balles
Le prix de la boule de cristal
Le prix de l’économiste le plus à l’ouest
Le prix de l’agent double à la pensée unique


Du théâtre

Jean-Luc Derlon
«  D’un retournement l’autre, une comédie sérieuse sur la crise
financière en 4 actes et en alexandrins
 »
de Frédéric Lordon.


Du cinéma

« Les nouveaux chiens de garde »
Un film de Gilles Balbastre et de Yannick Kergoat.

Les médias se proclament « contre-pouvoir ». Pourtant, la grande majorité
des journaux, des radios et des chaînes de télévision appartiennent à des groupes
industriels ou financiers intimement liés au pouvoir.
Au sein d’un périmètre idéologique minuscule se multiplient les informations
prémâchées, les intervenants permanents, les notoriétés indues, les affrontements
factices et les renvois d’ascenseur.
Débat animé par Gilles Balbastre.

• « Margin Call »
Un film de JC Chandor -
(1h47)
Pour survivre à Wall Street, sois le premier, le meilleur ou triche.
La dernière nuit d’une équipe de « Traders », avant le crash.
Pour sauver leur peau, un seul moyen : ruiner les autres.


De la musique

• La fanfare Ernst Lavolé

• Les cantatrices engagées


Des expositions

Les différentes éditions du Monde Diplomatique dans le monde.

« Les dommages collatéraux de Nicolas Sarkozy »
Photos de Vincent Lucas.

« Festi - fric », les monnaies complémentaires.


Les lieux

• Les salles de Pays d’Aix association

• Les cinémas Le Mazarin et Le Renoir

• La salle Tavan • La salle du Bois de L’Aune

• La Cité du livre :
amphithéâtre de la Verrière

• Les restaurants Les Cousins,
Chez Charlotte et Le Drôle d’Endroit

• Le CREPS

• La brasserie Le Mansard

• La MMSH

• Les facs de Lettres et d’Économie
d’Aix-en-Provence

• Le parc Jourdan

• La librairie Harmonia Mundi

Partenaires

• Le Monde Diplomatique

www.reporterre.net

• Les Amis du Monde Diplomatique

• Ma Terre

• Politis

• Les éco de la terre

• « Là-bas si j’y suis »
L’émission de Daniel Mermet

• Fokus 21

• CQFD (Ce qu’il faut détruire)

• Le Ravi

• APEAS

• Forum Harmonia Mundi

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