Une tribune pour les luttes

Nouvelles acquisitions

Le Bulletin de la Médiathèque de Mille Bâbords n°20

1er semestre 2015

Article mis en ligne le vendredi 16 octobre 2015

contact-biblio chez millebabords.org

Permanences : le lundi de 14 à 17 h / le jeudi de 15 à 19 h

Abonnement 8 euros (ou plus par soutien). Gratuit pour les adhérents à Mille Bâbords.

I. Nous avons reçus

II. Les précédents bulletins

III. Principe de fonctionnement de la médiathèque

pour voir le catalogue en ligne


Nous avons reçu...

LITTERATURE

  • Lu intégral, Marion De Dominicis, Association Sicania, Marseille, 2014.

… la phrase du début …« et puis le fil se casse »… n’est pas de moi, elle est dans un livre, Le silence et l’oubli et c’est là que ça se complique sérieusement. D’habitude quand tu lis …« et puis le fil se casse »… tu penses : « Ah oui ! Et comment ça ? La suite. Je continue, vite ! » eh bien non, pas du tout, là j’ai fermé le livre, et je n’ai plus eu qu’une idée depuis ce jour-là, il y a bientôt deux ans je crois, je n’ai plus eu qu’une seule idée : renouer le fil, retrouver l’auteur du silence et de l’oubli et tenter de lui expliquer la vraie vie du sujet, lui dire que la vie réelle et l’écriture ne tiennent qu’à un fil, qui s’il venait à rompre conduirait fiction et réalité à se séparer, à faire chambre à part, ne plus s’inviter ni s’éviter, ne plus se désirer, plus jamais …

  • Schluckebier, Georg K. Glaser, Ed. Rue des cascades, Paris, 2014, 176p.

À travers son héros, Schluckebier, G. Glaser représente une destinée typique de l’Allemagne du début des années 1930. Schluckebier est né pendant la guerre, dans un milieu pauvre de petit-bourgeois, et, après quelques écarts de jeunesse sans importance, il s’enfuit pour se soustraire à la rude autorité paternelle. Alors commence une carrière dont les diverses étapes se succèdent suivant une implacable logique : pensionnat, usine, maison de correction, prison…

INTERNATIONAL

  • Somali.e.s ? : Synthèse de lecture sur la Corne de l’Afrique, Collectif, Ed. Segments, 2014, 188p.

La raison première de mon intérêt pour cette région est l’absence d’État depuis plus de deux décennies, curieux de comprendre les mécanismes de pouvoir qui s’y substituent. Je n’ai jamais mis les pieds en Somalie, ne connais aucun Somalien, ne parle pas la langue et mes connaissances ne sont qu’une synthèse intellectuelle de mes lectures, une sorte d’abstraction lointaine. Je n’ai aucun lien direct, familial ou sentimental particulier avec ce pays.
J’ai écumé les bibliographies pour trouver à lire une quarantaine de livres et plus d’une centaine d’articles universitaires consacrés à la Somalie, écrits en français entre 1950 et aujourd’hui. Cet abrégé n’est qu’un résumé de ce qui m’a été accessible sur la Somalie, par le prisme de leurs auteurs, un peu de ce qu’il nous est donné à voir sur le sujet lorsqu’on en est aussi éloigné que nous le sommes, vous et moi.
Les deux premières parties, intitulées Somali et Somalies, sont consacrées aux définitions anthropologiques, économiques, historiques et politiques qui permettent à certains de se désigner comme «  étant somali  » ou à d’autres de les considérer comme tels. Les parties suivantes sont des tranches chronologiques. Somalie ? correspond à la période coloniale, du début du XIXe siècle jusqu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Pan-somali dresse le tableau de la société somali à la veille de l’indépendance de la République de Somalie en 1960. Somalie est l’histoire de cette république dont les structures étatiques s’effondrent en 1991. La période de guerre civile qui s’ensuit est développée dans la partie Ex-Somalie. À partir de la fin des années 90, le territoire somalien se fragmente entre tous les protagonistes de la guerre civile, dans un processus de Somalisation. L’apparition, la prise du pouvoir, puis les tentatives de pacification par différentes milices islamistes, ainsi que l’émergence de micro-États, constituent la partie intitulée Somalistan  ? qui s’étale, selon les sujets, jusqu’en 2014.

  • Karl Marx à Pékin : les racines de la crise en Chine capitaliste, M. Gaulard, Démopolis, Paris, 2014, 259 p.

La crise économique se pro¬file en Chine. Les difficultés s’y accumulent, de manière toujours plus apparente. L’espoir d’un renouveau venu d’Asie, pour un capitalisme mondial affaibli, prend ¬fin. Au-delà de la rigidité du régime politique, ou des désastres écologiques facilement relevés par les observateurs les moins attentifs, la formidable croissance de la Chine la mène à cette crise inévitable. Et cela parce que depuis 1949, sous l’étendard d’un socialisme usurpé, le capitalisme et son cortège de contradictions s’y renforcent toujours plus. S’appuyant sur les outils théoriques élaborés par Karl Marx, ce livre est consacré à une analyse rigoureuse et critique de ce processus.

  • Resistencias locales, utopias globales, Raúl Romero G, Sindicato de Trabajadores de la UNAM, Mexico, 2015.

Cette revue réunit une série d’essais, de chroniques et analyses autour des résistances menées par les jeunesses de différents pays contre leurs politiques nationales et spécialement contre un système économique mondial qui réduisent leurs possibilités de développement.
Livre collectif dans lequel sont analysés les mouvements du Pase Libre au Brésil, des Indignés en Espagne, de l’Occupy Wall Street aux USA, le mouvement étudiant au Chili, les mouvements de victimes en Colombie et le Mouvement pour la paix avec Justice et Dignité et le #Yosoy132 au Mexique.

FEMINISME

  • Caliban et la sorcière : femmes, corps et accumulation primitive, S. Federici Ed. Entremonde, Genève, 2015.

Silvia Federici revisite ce moment particulier de l’histoire qu’est la transition entre le féodalisme et le capitalisme, en y introduisant la perspective particulière de l’histoire des femmes.
Elle nous invite à réfléchir aux rapports d’exploitation et de domination, à la lumière des bouleversements introduits à l’issue du Moyen Âge. Un monde nouveau naissait, privatisant les biens autrefois collectifs, transformant les rapports de travail et les relations de genre. Ce nouveau monde, où des millions d’esclaves ont posé les fondations du capitalisme moderne, est aussi le résultat d’un asservissement systématique des femmes. Par la chasse aux sorcières et l’esclavage, la transition vers le capitalisme faisait de la modernité une affaire de discipline. Discipline des corps féminins dévolus à la reproduction, consumés sur les bûchers comme autant de signaux terrifiants, torturés pour laisser voir leur mécanique intime, anéantis socialement. Discipline des corps d’esclaves, servis à la machine sociale dans un formidable mouvement d’accaparement des ressources du Nouveau Monde pour la fortune de l’ancien.
Le capitalisme contemporain présente des similitudes avec son passé le plus violent. Ce qu’on a décrit comme barbarie et dont aurait su triompher le siècle de la raison est constitutif de ce mode de production : l’esclavage et l’anéantissement des femmes n’étaient pas des processus fortuits, mais des nécessités de l’accumulation de richesse. L’auteur nous invite à partager son regard d’historienne et de féministe sur la situation actuelle et sur ses mécanismes.
Silvia Federici (née en 1942 à Parme en Italie) est une universitaire américaine, enseignante et militante féministe radicale. Elle est professeure émérite et chercheuse à l’Université Hofstra à New York.

HISTOIRE

  • L’occasion manquée : été 1984, quand le PCF se referme, R. Martelli, Éd. Arcane 17, Paris, DL 2014, 125 p.

En 1984, la direction du PCF est secouée par une crise d’une
ampleur inédite. Un mauvais résultat électoral en est le déclencheur. Mais au-delà, ce sont des questions existentielles profondes qui travaillent le monde des communistes français. Le communisme politique est-il en état d’affronter les bouleversements du monde et des sociétés ? Faut-il qu’il s’arc-boute sur ses « fondamentaux » ?Faut-il qu’il renonce au communisme ? Faut-il qu’il se « rénove »ou qu’il se « refonde » ? Ce qui s’est passé cette année-là dansle PCF a pesé sur le devenir de ce parti. Plus encore que lui-même, c’est toute la tradition française de l’alternative et de la révolution qui a été affectée.Roger Martelli est à la fois un historien du communisme etun témoin de cette commotion interne. Il livre ici son inventairedes faits et une réflexion sur la longue durée de l’histoiredu communisme et de la gauche en France.

  • Tenir la rue : L’autodéfense socialiste 1929-1938, M. Bouchenot, Ed Libertalia, Paris, 2014, 304 p.

« Vous devrez être des animateurs. Donc pas d’âme de vaincu d’avance parmi vous, mais des cœurs bien trempés décidés à vaincre, que rien ne doit rebuter. La responsabilité est lourde, les délais sont courts avant la bataille décisive qui doit mener soit au triomphe du fascisme, soit à la prise du pouvoir. Après l’Italie, l’Allemagne, l’Autriche, l’Espagne, c’est au tour du prolétariat français de livrer la bataille décisive. »Circulaire de formation des TPPS.
La manifestation d’extrême droite à caractère insurrectionnel du 6 février 1934 provoque une réponse immédiate des partis de gauche, qui décident de s’allier afin de ne pas subir le sort des Italiens et des Allemands, défaits par le fascisme mussolinien et le national-socialisme. Ce rassemblement mène à la victoire électorale du Front populaire en mai 1936, immédiatement suivie d’un mouvement de grève sans précédent qui débouche sur l’obtention de nombreux droits, notamment les congés payés.
Matthias Bouchenot aborde dans cet ouvrage un angle mort de l’histoire des années 1930 : celle des groupes d’action et des groupes d’autodéfense de la SFIO (Parti socialiste), principalement dans la fédération de la Seine. Embryon d’armée révolutionnaire pour les uns, simples groupes chargés d’assurer la sécurité des cortèges, des meetings et des chefs politiques pour les autres, les « Jeunes Gardes socialistes » (JGS) et les « Toujours prêts pour servir » (TPPS) refusaient de laisser la rue aux ligues d’extrême droite et rêvaient de vivre des lendemains qui chantent.
Constituant l’aile gauche de la SFIO, ouverts aux tendances communistes révolutionnaires (trotskistes, luxemburgistes), proches des libertaires, les TPPS et les JGS incarnent l’image la plus éloquente du « Front populaire de combat ».

HISTOIRE OUVRIERE

  • L’anarchisme, La Commune de Barcelone : Rapport d’Helmut Rüdiger, M. Olivier, H. Oelher ; A. Guillamon, Ed. : Ni patrie ni frontières, Paris, 2015, 183 p.

Nous ne prétendons pas, dans ce livre, donner des réponses aux nombreuses questions que le passé nous a laissées. Nous espérons toutefois relancer la discussion autour des questions de la prise du pouvoir par la classe ouvrière et du contenu du socialisme après la révolution. Les 17 et 19 juillet 1936, pour contrer le coup d’État franquiste, les prolétaires se saisissent eux-mêmes des armes dans les casernes et les arsenaux. Ils se défendent à Barcelone, à Madrid, dans le nord de l’Espagne, en Aragon, au Levant, en Estrémadure et en Andalousie et conquièrent ainsi le pouvoir de leurs propres mains. Le gouvernement de la République les avait trahis et avait refusé de leur fournir les armes. Une fois victorieux, les travailleurs se trouvent aux côtes de la CNT, maîtres du pouvoir. Ils étaient organisés par cette dernière depuis de très nombreuses années.
Aujourd’hui, de nombreux militants ignorent que les instances dirigeantes de la CNT et de l’AIT justifièrent théoriquement et politiquement leur collaboration avec la bourgeoisie antifranquiste et les staliniens. Les explications cyniques d’Helmut Rüdiger offrent un témoignage saisissant et très actuel sur la façon dont des révolutionnaires décident de tourner leur veste, en arguant toujours de la prétendue « arriération » des prolétaires et de « conditions nationales spécifiques » qui empêchent de mener à bout la révolution sociale.

Ce livre présente plusieurs documents pour mieux comprendre les enjeux de l’anarchisme d’Etat autour du « rapport secret » d’Helmut Rüdiger, document rédigé pour la CNT à l’occasion du congrès de la FAI de 1937 et qui fut finalement traduit et publié en Espagne :
- une introduction d’Agustín Guillamón,
- une contribution d’Agustín Guillamón sur Les Amis de Durruti en France,
- et un témoignage de Hugo Oehler sur l’insurrection de Barcelone en mai 1937.

  • La révolution sans attendre. L’épopée d’une anarchiste à travers l’Ukraine (1902-1919), M. Nikiforova, Ed. Mutines Séditions, (sept. 2014) 2ème ed. mars 2015, 148 p.

Etrangement, ni Voline, ni Archinov, pas plus que des historiens comme Skirda ou Avrich ne font une place à Maria Nikiforova dans leurs récits, alors que Makhno lui-même relate sans hésiter plusieurs épisodes qui donnent un éclairage sur les activités de la compagnonne.Après une condamnation à mort en 1908 sous le régime tsariste pour des expropriations et le meurtre d’un flic, suivi d’une évasion du bagne sibérien et d’un tour du monde, elle revient en Russie début 1917 pour participer au processus révolutionnaire en cours. A la tête d’un détachement de gardes noirs, soutenue par de nombreux ouvriers d’Alexandrovsk, ville d’où elle était originaire, mais aussi par des marins de Kronstadt, ses qualités d’oratrice autant que ses capacités pratiques installèrent rapidement sa renommée à travers tout le territoire ukrainien.Fermement convaincue qu’il fallait approfondir le processus révolutionnaire en cours, elle n’hésitait pas en fonction des rapports de force sur place, à défier les autorités locales, même soi-disant « révolutionnaires », à exiger des contributions auprès de la bourgeoisie et des propriétaires terriens, à mener des expropriations (armes, vivres, argent et bâtiments, etc.), ce qui lui valut bientôt d’être mise au pilori des « anarcho-bandits » par le pouvoir bolchévik...

  • Syndicalistes et libertaires : Une histoire de l’UTCL (1974-1991), T. Rival, : Alternative Libertaire, Paris, 2014, 316 p.

Raconter l’action de l’Union des travailleurs communistes libertaires (UTCL) dans le syndicalisme des années 1970-1980, c’est raconter la période de « l’insubordination ouvrière » de l’après Mai 68, la lutte contre le recentrage de la CFDT, l’émergence des gauches syndicales, l’irruption des coordinations de grévistes, la formation des SUD... A travers les pratiques du petit groupe d’ouvriers turbulents qui formait l’UTCL, ce livre permet de s’interroger sur la portée révolutionnaire du syndicalisme d’action directe.
En 1976, un groupe de jeunes ouvriers est exclu de l’Organisation révolutionnaire anarchiste (ORA) et fonde l’Union des travailleurs communistes libertaires (UTCL). Adeptes du syndicalisme d’action directe, ils se trouvent rapidement engagés dans la résistance au recentrage de la CFDT.Alors que, durant les années 1980, le reflux des luttes sociales est fatal à une partie de l’extrême gauche, l’UTCL survit en liant son destin à cette gauche CFDT qui, fidèle à l’esprit de Mai 68, engendrera les syndicats SUD. Des grandes grèves de 1974 à l’irruption des coordinations de grévistes en 1986, raconter l’histoire de l’UTCL, c’est avoir en toile de fond une tranche d’histoire du mouvement ouvrier. Enquêtant sur l’UTCL, puisant dans des archives jusque-là inexplorées de la confédération CFDT, cette étude cherche à cerner le rôle qu’a joué ce courant révolutionnaire original, à la fois syndicaliste et libertaire.

ECONOMIE

  • La malfaçon : Monnaie européenne et souveraineté démocratique, F. Lordon, Ed. Les liens qui Libèrent, 2014, 304p.

L’européisme est devenu le pire ennemi de l’Europe. Ne voulant plus que « l’Europe » intransitivement, c’est-à-dire sans le moindre égard pour ses contenus concrets, prêt s’il le faut à martyriser des peuples entiers, en Grèce, au Portugal ou en Espagne, il est devenu une obstination aveugle auquel il est temps de mettre un coup d’arrêt. Au-delà de ses pires désastres économiques, sa tare majeure, et congénitale, est politique : le déni absolu de toute expression des souverainetés populaires. Certains, à gauche, continuent cependant de croire qu’on pourra changer l’euro austéritaire en un euro social. Mais, la crise présente l’a assez démontré, une monnaie unique aimable suppose d’être parachevée par une union politique authentique… que l’européisme présuppose sur le mode de la pure pétition de principe sans jamais vouloir en analyser les exigeantes (et improbables) conditions de possibilité. Aussi bien l’urgence économique et sociale que la disponibilité immédiate des institutions matérielles et symboliques de la souveraineté commandent alors de réexaminer de près l’option des monnaies nationales. Sous deux codicilles cependant : 1) reconstruire les concepts de souveraineté et de nation d’une manière qui les rendent irrécupérables par l’extrême-droite ; 2) réaffirmer que défaire la monnaie européenne, de toute façon aussi mortifère que non-viable, n’exclut nullement de continuer à œuvrer pour l’approfondissement résolu de tous les autres liens entre les peuples européens – et enfin de faire Europe autrement que par l’économie ! –, ni même de penser à refaire un commun monétaire européen, sous la forme non plus d’une monnaie unique mais d’une monnaie commune.

  • Bancocratie, E. Toussaint, Ed.Aden, Bruxelles, 2014, 455 p.

Les gouvernements des pays les plus industrialisés ont fait exploser la dette publique pour sauver les banques privées qui sont à l’origine de la plus grande débâcle économique et financière du capitalisme depuis les années 1930. Partout, le remboursement de la dette et la réduction du déficit budgétaire sont devenus les parfaits alibis pour imposer des politiques d’austérité. Ainsi, l’ensemble des gouvernements européens et la Troïka mènent une offensive - sans précédent depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale - contre les droits économiques et sociaux des populations. Ce livre permet de comprendre comment est survenue la crise, l’impact de la déréglementation bancaire, la logique poursuivie par les banques privées, les manipulations et crimes auxquels ces dernières se livrent régulièrement avec la complicité et le soutien des gouvernements et des banques centrales.

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