Une tribune pour les luttes

Première victoire en justice pour le Ravi !

Article mis en ligne le samedi 19 janvier 2019

Nous sommes relaxés face à l’Odel Var dans l’une des procédures bâillons initiées par ses dirigeants pour entraver notre liberté d’informer.

Le TGI de Draguignan, le 19 décembre, a relaxé le Ravi concernant notre enquête « De l’Odel sous les ponts » que l’Odel Var, son directeur et sa DRH, estimaient diffamatoire.

Une première victoire en justice nous permet aujourd’hui de publier l’archive de cet article que Marc Lauriol et Magali Sparano ont tenté de censurer. Partagez-le !

Mais la pression continue !

le Ravi n’est pas encore tiré d’affaire ! Le lundi 10 décembre nous étions convoqués devant la Cour d’appel d’Aix-en-Provence pour tenter, là aussi, d’obtenir justice toujours face à l’Odel Var. Marc Lauriol, son directeur (et élu LR), n’a pas non plus aimé l’enquête « Les élus d’abord, les enfants après » (Cf le Ravi n°151, mai 2017).

Que décidera le juge lors du délibéré le 28 janvier prochain ? Suspens.

Nos capacités d’enquêter sont entravées et une pression financière pèse sur notre titre. Nous devons assumer des frais de justice. Mais redisons-le :

On ne se taira pas !


L’acharnement judiciaire contre le Ravi se poursuit ! Ils veulent bâillonner le Ravi !

25 novembre 2019

L’Odel Var (Office départemental d’éducation et de loisir dirigé par Marc Lauriol, conseiller départemental LR), avec sa DRH, nous ont attaqué à une deuxième reprise, pour "diffamation", concernant une nouvelle enquête (« De l’Odel sous les ponts », le Ravi n°159, février 2018) ! L’affaire a été jugée le 21 novembre au TGI de Draguignan. Le délibéré sera rendu le 19 décembre.

L’Odel et sa direction ont refusé de répondre à nos questions, négligé de demander un droit de réponse en préférant attaquer en justice...

Et ce n’est pas la première fois que l’Odel Var et son directeur nous font un procès ! Suite à la publication de notre enquête, « Les élus d’abord, les enfants après », ils nous ont déjà assigné en diffamation en nous réclamant plus de 30 000 euros !

Après avoir été renvoyé à quatre reprises, un premier procès a eu lieu le 18 septembre, à Draguignan. Nous avons été condamnés à 2000 euros de dommages et intérêts ainsi qu’à 2000 euros d’amende avec sursis au regard du caractère jugé "diffamatoire" de l’expression.

Mais nous avons déposé un recours en appel (suspensif) qui sera jugé à Aix-en-Provence le 10 décembre.

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