Manifesten, 59 rue Thiers, 13001
Manifesten, 59 rue Thiers, 13001
Un groupe de maraudeurs marseillais de retour de Briançon, propose une discussion collective autour de leur récente expérience auprès de migrants dans cette zone frontalière, samedi 27 février à 16H "pétantes" à Manifesten, 59, rue Thiers à Marseille.
De retour de quelques jours à quelques semaines passées dans les montagnes à la frontière entre la France et l’Italie, du côté de Briançon, nous souhaitons partager collectivement ce que nous avons vu et vécu pour témoigner, mais aussi et surtout pour s’organiser depuis Marseille.
On pourra témoigner sur la situation à la frontière et aux alentours, que ce soit sur l’état actuel du dispositif policier mais aussi du réseau des solidaires et des différents lieux et collectifs actifs.
L’idée est surtout d’échanger et de se motiver sur ce qu’il est possible de faire en ayant plus ou moins de temps, d’énergie ou d’envies... Ce ne sera donc pas une conférence d’expert.es sur la question mais une envie de témoigner, de répondre aux interrogations concrètes et de s’organiser, soit depuis Marseille, soit en prévoyant de
remonter dans le Briançonnais.
La réunion à Manifesten se tiendra de 16 à 18h. En raisons du contexte, on devra vraiment fermer à 18h pétantes, donc on commencera à l’heure (!) pour se laisser le temps de la discussion.
D’ici là, vous pouvez jeter un œil ou une oreille ici ou là.
Vos commentaires
# Le 22 février 2021 à 09:29, par Mireille Urbain En réponse à : Retour de maraudes dans le Briançonnais
Je suis régulièrement informée de la situation à la frontière italo-française ou franco-italienne, les abus étant exercés des deux côtés.
Ma remarque est donc d’ordre "pratique" : la réunion est programmée de 16 à 18h. Mais, pour être rentrée avant le "couvre-feu" (j’ai l’impression d’être de retour dans les années 1940 !) il est nécessaire de quitter la réunion aux alentours de 17h30. Alors l’avancer à 15h30 car deux heures pour les témoignages et la discussion c’est déjà peu ? Les réunions de milieu d’après-midi ne touchent qu’un public restreint et c’est bien dommage.
Cordialement.
Mireille U.