10 h en bas des marches de la gare Saint-Charles
10 h en bas des marches de la gare Saint-Charles
pour les soutenir et participer à une action collective non-violente
Après plus de quatre mois de camp et de négociations infructueuses, les situations des camps de Provence n’ont toujours pas évolué :
A Cavaillon, le camp n’a strictement rien obtenu.
A Aix, malgré les propositions avancées par les campeurs, les autorités ne donnent aucun avis favorable.
A Marseille, après quatre mois de camp à la Porte d’Aix et vingt nuits d’hôtel prises en charge par la préfecture, les campeurs se sont retrouvés de nouveau à la rue.
Le jeudi 11 mai, un campement a été organisé dans le parc de l’église de la Major. Le lendemain matin, il s’est fait évacuer.
Suite à ce dernier camp, la mairie a proposé des chambres double en hôtel jusqu’au lundi 14, avec promesse d’obtenir une chambre individuel dès le lundi. Pourtant mardi matin, tous se sont retrouvés à la rue malgré l’engagement de la mairie à faire des propositions de relogement.
Les campeurs et les associations n’attendent plus rien de ces propositions.
Le succès de l’action dépend de la mobilisation de chacun.