Que l’on puisse en 2013 louer "la mission civilisatrice de la France" dans son ex-empire colonial relève de la mauvaise foi la plus révoltante. Je refuse de croire que ce gros monsieur, PDG d’une grande entreprise soit un imbécile. C’est plutôt un individu dénué de toute humanité, un sociopathe qui, comme les SS des camps d’extermination nazis, est l’incarnation de ce que Kant appelait le Mal radical (Radical Böse). Il représente surtout un grand danger, car à l’encontre des derniers SS qui bientôt disparaîtront de ce monde, ce monsieur bien vivant est visiblement doué de la parole et sait qu’on l’écoute. (...)