Je ne vois aucun-e salarié-e, ancien-ne ou actuel-le, parmi les signataires hormis le patron ! Pourtant avec le turn-over que connait la maison d’édition, on aurait pu imaginer qu’ils essayent d’en contacter. À moins qu’aucun-e salarié-e ayant travaillé aux éditions Agone ne se reconnaisse dans ce texte...