Si nous sommes scandalisés par les déclarations et les actes commis envers la ministre de la justice, nous le sommes tout autant par la politique du gouvernement envers les sans-papiers et par l’acharnement de l’état contre les Rroms. Cette politique est en partie grandement responsable de la libération de la parole raciste.
Soyons clairs, il n’y a pas d’un coté un racisme normal, légitime, voire légal contre les pauvres et les sans-droits et un racisme qu’on peut qualifier de « souillure pour la République ».