Si les organisations censées représentaient le peuple avaient assumé leur responsabilités à Marseille comme dans d’autres villes, ne s’étaient pas contenter de réfléchir ou de commenter la question, nous n’aurions pas vécu ça vendredi. Moi aussi je me suis fait contôler, je savais pas vraiment où je mettais les pieds, je savais que ça ne serait pas glorieux, mais cette fois-ci c’était hallucinant. J’ai bien cru que je mettais trompée, que j’étais à une manif de flics (d’ailleurs je leur ai demandé). C’est toujours facile de dire que ce sont les casseurs, les totos, des lanceurs de projectils, quand depuis un (...)