Que se passe-t-il aujourd’hui dans la lutte antinucléaire, vingt-cinq ans après Tchernobyl et quatre ans après le début de la catastrophe de Fukushima. Peut-on parler de régression dans la lutte antinucléaire ? Si oui, pourquoi ? Quelles peuvent, néanmoins, être nos pistes de réflexion et d’action ?