D’aucuns s’imaginent probablement pouvoir aborder ce nouveau printemps et même les suivants en toute sérénité puisque douillettement oubliés au fin fond d’une province totalement déshéritée et vivant plus ou moins du produit de leur terre, des bios en quelque sorte. Mais l’État veille et a réinventé l’état d’urgence.