Deus ex-machina
Concernant la jouissance angoissée et destructrice qui suppure de ce confinement morbide (et qui soit dit en passant apporte de l’eau au moulin du Docteur Freud et de son instinct de mort que Mme Roudinesco, me semble-t-il, a mis en doute…), je m’étonne que personne n’ait fait référence à « L’Ange Exterminateur » de Buñuel, plutôt qu’à « La Peste » dont on nous rebat les oreilles sur tous les médias. Où l’on voit que pour qu’advienne le jour d’après, il suffit de tout recommencer comme avant... même s’il faut remplacer un peu de vaisselle cassée, en l’occurrence quelques vieilles poteries de la « (...)