contact : riposte.unedic.marseille chez gmail.com
Article mis en ligne le dimanche 29 juin 2014
contact : riposte.unedic.marseille chez gmail.com
Le gouvernement vient de divulguer son projet de loi sur la négociation collective, le travail et l’emploi. Ce projet est une véritable contre-révolution libérale qui vise à détruire l’ensemble des protections collectives des salarié-e-s. Tout y passe : protection contre les licenciements, temps de travail et heures supplémentaires, médecine du travail, amplitudes horaires identiques pour les mineurs (...)
Le vendredi 26 février 2016
En cette période de crise et d’austérité, l’État et les Conseils Généraux baissent par tous les moyens le coût du travail. La redistribution sociale (RSA, chômage,…) est notamment visée : chasse aux « fraudeurs », soi-disant « trop-perçus », découragement administratif pour l’accès aux allocations…
Le Conseil Départemental du Gard (CDG) a dans sa ligne de mire les ressortissants européens pour lesquels il (...)
Le dimanche 20 décembre 2015
http://www.peuples-solidaires.org/
Nos missions
Nous voulons un développement solidaire de tous les peuples pour construire un monde où les droits fondamentaux sont universellement respectés (Statuts de Peuples Solidaires, Article 1er)
Cette mission se décline à travers quatre priorités stratégiques : défendre la souveraineté alimentaire, soutenir la dignité au travail, agir pour les droits des (...)
Le jeudi 17 décembre 2015
Parce que la dette ne sera jamais épongée, nous irons de CREF en CREF sans jamais voir le bout du tunnel.
La direction générale demande aux personnels de faire plus avec moins, nous refusons ce modèle productiviste inadapté à l’Hôpital Public .
Sans l’annulation de la dette, l’Hôpital est en sursis, aussi SUD vote Contre ce plan d’économie.
Le communiqué en p.j :
SUD APHM s’adresse à la Direction (...)
Le jeudi 10 décembre 2015
Face à des situations qu’elle estime litigieuses, la CAF fait sa propre police. Elle peut ainsi, de son propre chef, sans préavis et sans se préoccuper de la situation des allocataires, suspendre complètement le versement d’allocations ou, en cas de trop-perçus présumés, amputer l’allocation des sommes prétendument dues.
Le mercredi 11 novembre 2015
Car cette autoroute entre Castres et Toulouse, ce n’est pas "que" 62 km de bitume, c’est une artificialisation croissante et étalée, le territoire privatisé et à la merci des entrepôts logistiques, la mort des paysan.nes et du territoire pour laisser place à des zones commerciales et industrielles pour enrichir les plus riches.
NGE/Atosca, concessionnaire du projet autoroutier, fait installer des (...)
Le mercredi 27 décembre 2023
A l’occasion des 5 ans des Gilets Jaunes, CND vous propose de découvrir Les Magnifiques Sauvages.
Le jeudi 16 novembre 2023
Après plus de 6 mois de bataille acharnée, la dissolution des Soulèvements de la terre décidée par le gouvernement a la demande de la FNSEA a été annulée jeudi dernier par le conseil d’Etat.
Le mercredi 15 novembre 2023
Appel à rassemblement le 27 octobre devant le Conseil d’État, Mobilisation contre l’A69 Castres-Toulouse, communiqué sur la situation au proche-Orient et occupation d’un chantier des JO
Le mardi 24 octobre 2023
Après une 5e saison, commencée le 25 mars à Sainte-Soline et traversée comme une tempête, les Soulèvements de la Terre annoncent aujourd’hui leur 6e saison d’actions. Il aura fallu pour cela retourner une intense suite d’attaques gouvernementales et privées, faire front face à la dissolution jusqu’à sa suspension, faire face à la Sous-direction-anti-Terroriste et aux manœuvres de Lafarge ou de la FNSEA (...)
Le mercredi 18 octobre 2023
Vos commentaires
# Le 30 juin 2014 à 07:43, par colporteur En réponse à : Rien n’est réglé, tout commence
Il est dans la logique du pouvoir d’assigner chacun à ce qui lui est attribué comme place. Cette logique détermine ainsi un certain partage du sensible, c’est-à-dire une répartition de ce qui revient à chacun en fonction de sa place. Le partage du sensible, c’est donc tout d’abord un repérage des identités (lesquelles passent avant tout par les catégories socio-professionnelles, telles que « intermittents » ou même « artistes »), une distribution des visibilités et des modes de parole en fonction des lieux dans lesquels tel ou tel comportement, telle ou telle prise de parole est autorisée (théâtre, café, lieu de débat, etc.).
La politique commence lorsque le partage du sensible est mis en question, c’est-à-dire lorsqu’il devient comme tel à la fois le terrain et l’enjeu de la lutte. Autrement dit, une lutte devient politique lorsque des individus et des groupes ne revendiquent plus leur place et leur identité. Lorsqu’ils assument de devenir indiscernables, et par là même, tendanciellement ingérables, là où le pouvoir se caractérise toujours plus par un souci de gestion, de faire de toute activité, invention ou forme de vie un objet de gestion.
Dans la lutte des intermittents, quelques personnes ont commencé à dire : "il ne s’agit pas des intermittents comme profession, il ne s’agit pas des privilèges dus à l’artiste, qui n’est pas le seul à avoir besoin de temps pour penser et inventer ; il s’agit de ce qu’il y a de commun au-delà des métiers et des places ; il s’agit de la situation commune qui nous est faite, et qui détermine l’existence d’une communauté de fait". Alors, nous sommes dans un régime de parole et d’action qui tend à brouiller les principaux éléments de gestion du pouvoir, c’est-à-dire qu’un régime d’énonciation politique est apparu.
# Le 2 juillet 2014 à 08:49, par Christophe Haleb En réponse à : Pensée In situ, danser avec le contexte spécifique
C’est bien un combat idéologique qui est mené avec le régime spécifique de l’intermittence, artistes et techniciens du spectacle.
Le capitalisme spéculatif et son dérivé néo libéral inventent la réal politique qui tourne en boucle comme l’audiovisuel avec le réalité show. Formes mortifère qui réduisent l’homme et le monde à une vision unidimensionnel, sans d’autre expérience a proposer que l’apathie.
Je crois que c’est la créativité des artistes et leurs fantasmes à vouloir et à pouvoir changer le monde par la multitude des visions déployées qui génère chez Gattaz une haine profonde. Et à travers lui c’est toute l’idéologie de sa bande de néo libéraux qui exprime sa détestation des autres, de tous les autres. La haine qu’ils expriment à notre endroit spécifique d’artistes et d’intermittents du spectacle, est liée à notre capacité à mettre à nu la réalité, c’est à dire à montrer l’infamie, la vulgarité, l’obscénité, et le cynisme de cela même qu’ils tiennent pour réalité.
Nous jouons des simulacres et des symboles. Nous ne cherchons pas la répétition du même, nous pouvons provoquer le système de pensée et de valeur, nous imaginons et expérimentons d’autres formes de vies possibles.
Si notre régime est spécifique c’est qu’au delà de la discontinuité et de l’hyper flexibilité qu’il induit il nous permet surtout de penser autrement nos rapports à la vérité, au pouvoir et à nos conduites individuelles.
Nous ne sommes pas le problème mais une partie de la solution, et c’est la que ça blesse. Vouloir faire du déficit un problème est une fallacieuse idée monsieur Gatazz ! Aucun autre secteur que la culture en France ne propose 8% de croissance à un pays en crise, et en plus de ça, l’art, la culture et les travailleurs du secteur se paient le luxe de proposer un modèle d’économie basée sur la répartition et la solidarité qui avec quelques petites précisions fonctionne. C’est ça qui le rend Fou allié Gatazz, monstrueusement fou. Car lui et sa bande n’ont pas d’autres solutions à proposer mis à part l’enrichissement personnel et la mise à sac programmée du pays.
Nous sommes autrement libre et égaux, dans notre finitude, libre de choisir ce qui nous autorise à exécuter ou à refuser un commandement, d’obéir ou de désobéir, c’est à dire d’habiter, de travailler et d’aimer dans un autre rapport à la justice que celui de la démesure des managements d’entreprises et des vies pathologiques. Et cette vérité là, la bande à Gatazz elle n’en veut pas, elle préfère le programme de destruction et de mort proposé par le néo libéralisme, celui de la pensée unique, sans alternative, celui de l’identité fixe, du patriarcat, de l’autoritarisme, du nationalisme, fascisme.
Pour eux il y aura toujours trop de différences, trop d’intermittences, trop d’étrangers, trop de vies. Nous avons à faire à des hommes et des femmes malades du pouvoir. Ce sont les plus dangereux, et l’histoire est monstrueusement la pour nous le redire, attention les monstres sont dans la maison, Pouvons nous faire interner les chefs du commandement par un tiers ? Le fascisme est de retour, il est parmi nous, en nous même. La seule question philosophique qui tienne alors du jeune XXI siècle est celle de la résistance à notre devenir Fasciste.