contact : riposte.unedic.marseille chez gmail.com
Article mis en ligne le dimanche 29 juin 2014
contact : riposte.unedic.marseille chez gmail.com
Nous, personnels du collège Mallarmé situé dans le 13e arrondissement, serons demain vendredi 17 avril massivement en grève pour dénoncer le traitement réservé à notre collègue contractuel de l’Atelier Relais.
Les Ateliers Relais sont avec les Classes Relais des « dispositifs » qui visent à lutter contre le décrochage scolaire en prenant en charge des « collégiens en risque de marginalisation scolaire ». (...)
Le jeudi 16 avril 2015
Plus d’infos dans la journée …
Mercredi 7/01
20 h 45 : Plus d’information à venir jeudi dans la matinée
17 h : un copain est sorti. Quatre autres sont toujours en garde à vue.
16 h 30 : Rassemblement de soutien en cours devant le commisariat de Noaïlles
Communiqué du 7 janvier 2015
CAF : Répression contre les allocataires pour cause de syndicalisme
Ce matin à la CAF de Malaval, cinq usagers ont (...)
Le mercredi 7 janvier 2015
Lors de la manifestation des chômeurs et précaires pour la justice sociale qui a réunit aujourd’hui 3000 personnes à Paris et a rassemblé des milliers de manifestants dans diverses villes en régions, une partie du cortège est allée rendre visite aux "états généraux" du parti socialiste.
Le but de cette action était d’y intervenir en y lisant le texte qui suit. Décidé à rester muré dans ses certitudes, à (...)
Le samedi 6 décembre 2014
http://www.primitivi.org/spip.php?article664
Les accueils des CAF sont maintenant fermés depuis 10 mois :
temps d’attente de plusieurs mois pour obtenir un rendez-vous ; trois heures de queue dans la rue au minimum ; numéro payant pour prendre rendez-vous (et environ une heure d’attente en ligne soit une vingtaine d’euros) ; augmentation des contrôles et radiations ; dossiers qui se perdent ; (...)
Le mercredi 19 novembre 2014
Signer la version en ligne : http://0o.mj.am/nl/0o/szr5t.html
★ Ne doutez jamais qu’un petit groupe de gens réfléchis et engagés puisse changer le monde. En fait, c’est toujours comme cela que ça s’est passé.★ - Margaret Mead (1901 - 1978) - Anthropologue.
PETITION - FERME-USINE... mais qui blanchit le lait des 1000 vaches ?Cher-es ami-es,Parce qu’un autre modèle agricole est possible, Agir pour (...)
Le dimanche 16 novembre 2014
« Ce ne sont pas les casseroles qui vont faire avancer la France ». Le gouvernement piétine : il souhaite « tourner la page », mais pas un déplacement de Macron ou de ses ministres n’est à l’abri du son des casseroles et huées des opposants à la réforme. Personne ne souhaite un retour à la normale qui signifierait la fin de la mobilisation : notre force et détermination restent intactes. Chacune des 100 (...)
Le lundi 24 avril 2023
Le 21 mars, quelques jours après le passage en force par 49-3 de la réforme des retraites, et en réaction à la réquisition des grévistes de Fos-sur-Mer, une manifestation spontanée s’est déclenchée sur le campus de Lettres, puis de Droit d’Aix-en-Provence. Après cela, les étudiant.es se sont réuni.es en Assemblée Générale, ont décidé d’occuper la zone de l’amphithéâtre Guyon, et de s’organiser dans un Comité (...)
Le samedi 15 avril 2023
Depuis trois semaines, l’assemblée générale interprofessionnelle rassemble, chaque mercredi, plusieurs secteurs pour construire la grève générale. Parmi ceux-ci, nous sommes nombreux et nombreuses à faire partie des métiers du travail reproductif. En soignant, éduquant, nettoyant... Nous permettons chaque jour à d’autres de continuer à vivre et à travailler en leur apportant les ressources (...)
Le mercredi 12 avril 2023
Appel à renforcer les alliances internationales pour l’eau et à soutenir les luttes contre les méga-bassines en France
Le lundi 10 avril 2023
En présence des délégations de 45 établissements dont 38 délégations élues en assemblée générale
Le mardi 4 avril 2023
Vos commentaires
# Le 30 juin 2014 à 07:43, par colporteur En réponse à : Rien n’est réglé, tout commence
Il est dans la logique du pouvoir d’assigner chacun à ce qui lui est attribué comme place. Cette logique détermine ainsi un certain partage du sensible, c’est-à-dire une répartition de ce qui revient à chacun en fonction de sa place. Le partage du sensible, c’est donc tout d’abord un repérage des identités (lesquelles passent avant tout par les catégories socio-professionnelles, telles que « intermittents » ou même « artistes »), une distribution des visibilités et des modes de parole en fonction des lieux dans lesquels tel ou tel comportement, telle ou telle prise de parole est autorisée (théâtre, café, lieu de débat, etc.).
La politique commence lorsque le partage du sensible est mis en question, c’est-à-dire lorsqu’il devient comme tel à la fois le terrain et l’enjeu de la lutte. Autrement dit, une lutte devient politique lorsque des individus et des groupes ne revendiquent plus leur place et leur identité. Lorsqu’ils assument de devenir indiscernables, et par là même, tendanciellement ingérables, là où le pouvoir se caractérise toujours plus par un souci de gestion, de faire de toute activité, invention ou forme de vie un objet de gestion.
Dans la lutte des intermittents, quelques personnes ont commencé à dire : "il ne s’agit pas des intermittents comme profession, il ne s’agit pas des privilèges dus à l’artiste, qui n’est pas le seul à avoir besoin de temps pour penser et inventer ; il s’agit de ce qu’il y a de commun au-delà des métiers et des places ; il s’agit de la situation commune qui nous est faite, et qui détermine l’existence d’une communauté de fait". Alors, nous sommes dans un régime de parole et d’action qui tend à brouiller les principaux éléments de gestion du pouvoir, c’est-à-dire qu’un régime d’énonciation politique est apparu.
# Le 2 juillet 2014 à 08:49, par Christophe Haleb En réponse à : Pensée In situ, danser avec le contexte spécifique
C’est bien un combat idéologique qui est mené avec le régime spécifique de l’intermittence, artistes et techniciens du spectacle.
Le capitalisme spéculatif et son dérivé néo libéral inventent la réal politique qui tourne en boucle comme l’audiovisuel avec le réalité show. Formes mortifère qui réduisent l’homme et le monde à une vision unidimensionnel, sans d’autre expérience a proposer que l’apathie.
Je crois que c’est la créativité des artistes et leurs fantasmes à vouloir et à pouvoir changer le monde par la multitude des visions déployées qui génère chez Gattaz une haine profonde. Et à travers lui c’est toute l’idéologie de sa bande de néo libéraux qui exprime sa détestation des autres, de tous les autres. La haine qu’ils expriment à notre endroit spécifique d’artistes et d’intermittents du spectacle, est liée à notre capacité à mettre à nu la réalité, c’est à dire à montrer l’infamie, la vulgarité, l’obscénité, et le cynisme de cela même qu’ils tiennent pour réalité.
Nous jouons des simulacres et des symboles. Nous ne cherchons pas la répétition du même, nous pouvons provoquer le système de pensée et de valeur, nous imaginons et expérimentons d’autres formes de vies possibles.
Si notre régime est spécifique c’est qu’au delà de la discontinuité et de l’hyper flexibilité qu’il induit il nous permet surtout de penser autrement nos rapports à la vérité, au pouvoir et à nos conduites individuelles.
Nous ne sommes pas le problème mais une partie de la solution, et c’est la que ça blesse. Vouloir faire du déficit un problème est une fallacieuse idée monsieur Gatazz ! Aucun autre secteur que la culture en France ne propose 8% de croissance à un pays en crise, et en plus de ça, l’art, la culture et les travailleurs du secteur se paient le luxe de proposer un modèle d’économie basée sur la répartition et la solidarité qui avec quelques petites précisions fonctionne. C’est ça qui le rend Fou allié Gatazz, monstrueusement fou. Car lui et sa bande n’ont pas d’autres solutions à proposer mis à part l’enrichissement personnel et la mise à sac programmée du pays.
Nous sommes autrement libre et égaux, dans notre finitude, libre de choisir ce qui nous autorise à exécuter ou à refuser un commandement, d’obéir ou de désobéir, c’est à dire d’habiter, de travailler et d’aimer dans un autre rapport à la justice que celui de la démesure des managements d’entreprises et des vies pathologiques. Et cette vérité là, la bande à Gatazz elle n’en veut pas, elle préfère le programme de destruction et de mort proposé par le néo libéralisme, celui de la pensée unique, sans alternative, celui de l’identité fixe, du patriarcat, de l’autoritarisme, du nationalisme, fascisme.
Pour eux il y aura toujours trop de différences, trop d’intermittences, trop d’étrangers, trop de vies. Nous avons à faire à des hommes et des femmes malades du pouvoir. Ce sont les plus dangereux, et l’histoire est monstrueusement la pour nous le redire, attention les monstres sont dans la maison, Pouvons nous faire interner les chefs du commandement par un tiers ? Le fascisme est de retour, il est parmi nous, en nous même. La seule question philosophique qui tienne alors du jeune XXI siècle est celle de la résistance à notre devenir Fasciste.