contact : riposte.unedic.marseille chez gmail.com
Article mis en ligne le dimanche 29 juin 2014
contact : riposte.unedic.marseille chez gmail.com
Bonjour,
Père seul avec 2 enfants dont j’ai obtenu la garde quand il avaient 3 et 6 ans, j’ai été licencié en Février 2011 puis en ALD en 2012 et arrêt maladie longue durée depuis Février 2013, c’est depuis cette dernière date que je ne pouvais plus payer le loyer de mon logement familial, mes revenus exclusifs de la CPAM (1100 euros pour vivre à 3) ne me permettant plus de régler mes loyers (700 (...)
Le mardi 17 septembre 2013
La CAF comme Pôle Emploi cherchent à réduire artificiellement le nombre de ses allocataires et diminuer les aides sociales versées. L’argument du couple devient une arme parmi d’autres dans la main des administrations qu’elles utilisent à leur convenance contre les allocataires pour baisser ou supprimer les allocations. La chasse aux fraudeurs est en réalité une chasse aux pauvres.
Le mercredi 4 septembre 2013
Un contrôle par #Pôle_emploi de vos moindres faits et gestes. Les flics de l’emploi n’hésiteront pas à vous reprocher de n’être pas assez réactif si votre CV n’est pas à jour, si vous n’avez pas répondu assez vite à une offre, si vous avez refusé une offre, ou si vos critères de recherches sont trop étroits (CDI temps plein à 30 km de chez vous par exemple)
Le nouveau site pole-emploi.fr : Quand la recherche (...)
Le mercredi 10 juillet 2013
Depuis le 10 juin, plus de 150 marcheurs ont parcouru la France (à la Réunion, au sud et à l’est) pour porter la parole des chômeurs et précaires ! Dans une semaine, le samedi 06 juillet, la marche se terminera à Paris !
10h - RDV Porte de Clichy...pour la dernière étape de la marche jusque place de Stalingrad !
De 14h à 18h, venez-nous rejoindre au rassemblement - concert place de Stalingrad. Avec : (...)
Le samedi 6 juillet 2013
Vendredi, 21 Juin 2013
Les majorités se succèdent, mais les bons vieux enfumages prospèrent… sous la houlette du Medef. Depuis dix ans, un chiffre revient sur la table. Il varie d’une année sur l’autre. Parfois 300.000, parfois 500.000 ou 700.000… Il s’agit du chiffre des emplois soit-disant non pourvus. Décryptage d’un enfumage en « bande organisée ».
Et le Medef et le gouvernement de pleurnicher, (...)
Le dimanche 23 juin 2013
Un extrait de cet article a été publié dans le Combat Syndicaliste du mois d’octobre 2020, nous le partageons ici dans son intégralité.
Le mercredi 14 octobre 2020
Dans la première moitié de l’année 2020, le déferlement viral aura provoqué un ralentissement inédit de la dévitalisation marchande de la planète. Au cœur du confinement s’est alors diffusée une lucidité partagée, mais trop souvent désarmée et isolée, quant à l’urgence de faire barrage in extremis à la production du désastre.
Le 17 juin dernier, alors que la machine se ré-emballait de plus belle, plus de 70 (...)
Le mercredi 7 octobre 2020
Le régime fasciste de l’AKP continue et intensifie sa répression sanglante, les arrestations et la torture ciblant les kurdes, (parti démocratique des peuples) qui est le deuxième parti d’opposition en Turquie, par rapport à leur soutien aux manifestations pour Kobanê en 2014 (qui était à ce moment là aux mains de l’Etat Islamique). Toute personne opposée au régime est réprimée, torturée, réduite au (...)
Le lundi 28 septembre 2020
La terreur est de retour à Tila, Chiapas, manifestée par le réapparition du groupe paramilitaire Desarollo, Paz y Justicia [« Développement, Paix et Justice »]. Sans interruption, attaques à main armée, assassinats, barrages et de nombreuses autres agressions se succèdent à l’encontre des 836 membres des terres collectives ejidales qui viennent de récupérer leurs droits territoriaux.
Le mercredi 23 septembre 2020
Aux peuples du monde, A la Sexta nationale et internationale, Aux médias,
C’est avec douleur et rage que nous dénonçons la lâche attaque au cours de laquelle a été assassiné le compañero Pedro Alejandro Jiménez Pérez de l’ejido Tila, au Chiapas, le 11 septembre dernier, lorsque la population de Tila a été attaquée à l’arme lourde par le groupe paramilitaire "Paz y justicia", associé à des personnes liées (...)
Le mercredi 23 septembre 2020
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Vos commentaires
# Le 30 juin 2014 à 07:43, par colporteur En réponse à : Rien n’est réglé, tout commence
Il est dans la logique du pouvoir d’assigner chacun à ce qui lui est attribué comme place. Cette logique détermine ainsi un certain partage du sensible, c’est-à-dire une répartition de ce qui revient à chacun en fonction de sa place. Le partage du sensible, c’est donc tout d’abord un repérage des identités (lesquelles passent avant tout par les catégories socio-professionnelles, telles que « intermittents » ou même « artistes »), une distribution des visibilités et des modes de parole en fonction des lieux dans lesquels tel ou tel comportement, telle ou telle prise de parole est autorisée (théâtre, café, lieu de débat, etc.).
La politique commence lorsque le partage du sensible est mis en question, c’est-à-dire lorsqu’il devient comme tel à la fois le terrain et l’enjeu de la lutte. Autrement dit, une lutte devient politique lorsque des individus et des groupes ne revendiquent plus leur place et leur identité. Lorsqu’ils assument de devenir indiscernables, et par là même, tendanciellement ingérables, là où le pouvoir se caractérise toujours plus par un souci de gestion, de faire de toute activité, invention ou forme de vie un objet de gestion.
Dans la lutte des intermittents, quelques personnes ont commencé à dire : "il ne s’agit pas des intermittents comme profession, il ne s’agit pas des privilèges dus à l’artiste, qui n’est pas le seul à avoir besoin de temps pour penser et inventer ; il s’agit de ce qu’il y a de commun au-delà des métiers et des places ; il s’agit de la situation commune qui nous est faite, et qui détermine l’existence d’une communauté de fait". Alors, nous sommes dans un régime de parole et d’action qui tend à brouiller les principaux éléments de gestion du pouvoir, c’est-à-dire qu’un régime d’énonciation politique est apparu.
# Le 2 juillet 2014 à 08:49, par Christophe Haleb En réponse à : Pensée In situ, danser avec le contexte spécifique
C’est bien un combat idéologique qui est mené avec le régime spécifique de l’intermittence, artistes et techniciens du spectacle.
Le capitalisme spéculatif et son dérivé néo libéral inventent la réal politique qui tourne en boucle comme l’audiovisuel avec le réalité show. Formes mortifère qui réduisent l’homme et le monde à une vision unidimensionnel, sans d’autre expérience a proposer que l’apathie.
Je crois que c’est la créativité des artistes et leurs fantasmes à vouloir et à pouvoir changer le monde par la multitude des visions déployées qui génère chez Gattaz une haine profonde. Et à travers lui c’est toute l’idéologie de sa bande de néo libéraux qui exprime sa détestation des autres, de tous les autres. La haine qu’ils expriment à notre endroit spécifique d’artistes et d’intermittents du spectacle, est liée à notre capacité à mettre à nu la réalité, c’est à dire à montrer l’infamie, la vulgarité, l’obscénité, et le cynisme de cela même qu’ils tiennent pour réalité.
Nous jouons des simulacres et des symboles. Nous ne cherchons pas la répétition du même, nous pouvons provoquer le système de pensée et de valeur, nous imaginons et expérimentons d’autres formes de vies possibles.
Si notre régime est spécifique c’est qu’au delà de la discontinuité et de l’hyper flexibilité qu’il induit il nous permet surtout de penser autrement nos rapports à la vérité, au pouvoir et à nos conduites individuelles.
Nous ne sommes pas le problème mais une partie de la solution, et c’est la que ça blesse. Vouloir faire du déficit un problème est une fallacieuse idée monsieur Gatazz ! Aucun autre secteur que la culture en France ne propose 8% de croissance à un pays en crise, et en plus de ça, l’art, la culture et les travailleurs du secteur se paient le luxe de proposer un modèle d’économie basée sur la répartition et la solidarité qui avec quelques petites précisions fonctionne. C’est ça qui le rend Fou allié Gatazz, monstrueusement fou. Car lui et sa bande n’ont pas d’autres solutions à proposer mis à part l’enrichissement personnel et la mise à sac programmée du pays.
Nous sommes autrement libre et égaux, dans notre finitude, libre de choisir ce qui nous autorise à exécuter ou à refuser un commandement, d’obéir ou de désobéir, c’est à dire d’habiter, de travailler et d’aimer dans un autre rapport à la justice que celui de la démesure des managements d’entreprises et des vies pathologiques. Et cette vérité là, la bande à Gatazz elle n’en veut pas, elle préfère le programme de destruction et de mort proposé par le néo libéralisme, celui de la pensée unique, sans alternative, celui de l’identité fixe, du patriarcat, de l’autoritarisme, du nationalisme, fascisme.
Pour eux il y aura toujours trop de différences, trop d’intermittences, trop d’étrangers, trop de vies. Nous avons à faire à des hommes et des femmes malades du pouvoir. Ce sont les plus dangereux, et l’histoire est monstrueusement la pour nous le redire, attention les monstres sont dans la maison, Pouvons nous faire interner les chefs du commandement par un tiers ? Le fascisme est de retour, il est parmi nous, en nous même. La seule question philosophique qui tienne alors du jeune XXI siècle est celle de la résistance à notre devenir Fasciste.