Une tribune pour les luttes

« C’est la faute à Voltaire » : Une association en colère

Article mis en ligne le mardi 28 juin 2005

« C’est la faute à Voltaire » : Une association en colère

Depuis sa création en 1996, l’association a pour objectif principal de faciliter l’accès aux mots (Lecture - Ecriture) de personnes en situation d’exclusion sociale.

Pour mener à bien cet objectif « C’est la faute à Voltaire » développe différentes actions de terrain auprès des plus démunis (mise en place d’ateliers écriture, lecture, création de bibliothèques au sein de foyers d’hébergement, résidences sociales...).

L’association a constitué au fil du temps, au regard du développement de son activité, une équipe salariée de 11 membres composée principalement de personnes qui en utilisant les atouts de l’association franchissent une étape dans leur parcours professionnel pour rebondir vers des postes non subventionnés dans le droit commun.

L’utilité sociale de notre démarche est reconnue ne serait-ce que par le nombre croissant de partenaires, de donateurs, de participants aux différentes actions menées... qui s’impliquent à nos côtés.

Cette année, la lutte contre l’exclusion sociale et le retour à l’emploi sont annoncés comme de priorités du gouvernement.
Pourtant, dans les faits, la politique gouvernementale mise en place a des conséquences préjudiciables sur l’activité que nous menons et nous place dans une situation très préoccupante.

Nous souhaitons que cette réalité de terrain soit connue, aussi, nous vous convions à un point presse afin de vous exposer plus avant notre situation :

Jeudi 23 juin à 11h30

A « C’est la faute à Voltaire »
27, cours Franklin Roosevelt - 13001 Marseille
(à 2 pas de la station de Métro Réformés - Canebière)
Tél. 04 91 47 90 71

Comptant vivement sur votre présence

Meilleures salutations

Natacha Clary

Directrice

P.-S.

Ndlr : nous n’avons pu publier dans Cette Semaine ce communiqué qui ne nous est parvenu que le 22/6/05. Nous jugeons cependant nécessaire de relayer cette info afin de contribuer à alerter les nombreux amis que compte "La faute à Voltaire" (qui ne mérite certes pas de se retrouver le nez par terre...).

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