J’ai lu le papier d’Yves Coleman. Il semble nécessaire pour les ex-salariés d’Agone ayant mis à nu le patron et ses "collaborateurs" de reprendre l’outil de travail qu’ils ont contribué à bâtir dans le leurre d’une autogestion possible. Enfin si la crise de la maison d’édition associative Agone peut ouvrir les yeux au plus grand nombre sur le fonctionnement des associations culturelles... c’est tant mieux. Quelques perles à entendre sur la radio La locale où Benoît revient sur le naufrage de la galère Agone (il y est question entre autres de Mermet, Chomsky, Orwell, Rosat, Bouveresse, etc.) et c’est très (...)