Une critique pertinente par Aude V. d’un bout du texte de Yves par ici : http://seenthis.net/people/intempestive
Pratiquer des prix vraiment à la portée des prolétaires (ce qui n’a jamais été le cas d’Agone) donc accepter de ne pas vivre de son travail pour la maison d’édition, par conséquent avoir un autre boulot pour la financer.
Je lis les bouquins d’Agone en bibli municipale ou libertaire, je suis contente de leur matérialité, que ce ne soient ni des textes en ligne (illisibles à partir de 10, 15.000 signes) ni des brochures photocopiées moches, et que les gens payés à les faire ne passent pas le (...)