Ce groupe est une honte, un scandale permanent, avide de fric à tous prix, notamment au prix de la santé des travailleurs, de la démocratie des pays dans lesquels il s’implante, de l’économie locale et mondiale, de l’emploi et de l’environnement.
Alstom n’a qu’un seul avenir, la condamnation judiciaire de ses dirigeants [1] et la dissolution complète du groupe pour laisser la place à des petites entreprises contrôlées par les travailleurs, génératrices de plus d’emplois et de plus de richesses pour les salariés et les collectivités.