Derrière les avancées démocratiques et économiques affichées, la Birmanie n’est pas un État de droit : l’impunité, la corruption et les violations des droits de l’homme sont toujours monnaie courante.
Le régime birman a décidé d’attirer les capitaux étrangers en libéralisant ses règles d’investissement et en accordant des avantages fiscaux aux investisseurs étrangers.
Mais la Birmanie ne saurait être considérée simplement comme un pays dont on peut exploiter à bas coût la main d’œuvre et piller les ressources naturelles...