En raison de leur plus grande fragilité, les enfants sont les premières victimes des accidents nucléaires.
Les études épidémiologiques nécessitent des moyens financiers importants et s’étalent sur de nombreuses années. Les problèmes psychologiques sont difficiles à mettre en évidence et à quantifier. Le lobby nucléaire est puissant et essaye de banaliser la question, minimise les effets des faibles doses : la collecte des données est retardée, les informations sont dissimulées, les rapports des observateurs sont discrédités, les scientifiques indépendant se voient refuser l’accès aux données.
Même l’OMS est mise en cause pour son inféodation à ce lobby !
Tout cela complique la mise en évidence des dangers bien réels de la radioactivité sur la santé des enfants.