Dans la foulée de sa cinquième mission en Espagne, entre le 2 et le 13 décembre 2013, la Troïka – Commission européenne (CE), Banque centrale européenne (BCE) et Fonds monétaire international (FMI) – a applaudi le chemin parcouru jusqu’au sauvetage bancaire alors qu’elle continue à réclamer au gouvernement espagnol qu’il poursuive dans la même direction de l’austérité mortifère pour la population.
Concrètement, elle a demandé au gouvernement qu’il approfondisse la réforme du travail en flexibilisant encore plus le contrat à temps partiel, qu’il aborde la réforme fiscale en taxant de façon régressive la majorité de la population qui a le moins, etc.