Un détail, à l’attention de celleux qui posent encore aux libertaires en prétendant maintenant, en décembre 2014, six mois après la parution de ce livre, condamner vertement que certain-e-s puissent condamner un texte qu’ellils n’auraient peut-être pas lu.
A lire les défenseurs d’Escudero, depuis la parution de son livre, il n’existerait que deux personne : celle qui ne l’a pas lu et condamne, on ne sait trop pourquoi (stalinisme, maoïsme, bouffée de totalitarisme s’acharnant sur un pauvre auteur innocent) ; celle qui l’a lu et approuve nécessairement que l’on discute sur de telles bases. Le cas de (...)