Quand on n’ose plus parler publiquement, à l’école ou même en famille, de peur des conséquences (surveillance, licenciements, prison), quand les enseignants dénoncent les élèves et leurs parents, les élèves leurs professeurs, et que la ministre interdit de penser en classe, quand les tribunaux condamnent pour des paroles (prononcées de plus de manière inconsidérée sous le coup de la colère ou de l’alcool) on est loin de a belle unanimité sur la liberté de caricaturer mais en marche directe si nous ne réagissons pas vers le totalitarisme .
Soutien à Jean-François Chazerans ! (...)