Je me permets de répondre à titre personnel et non pas au nom de la commission Médiathèque.
La remarque est juste. Cela dit, il me parait important de mettre le focus sur une des thèses centrales du livre : les Etats ne sont pas une fatalité et ils ne représentent pas un progrès dans l’évolution de l’humanité mais sont le résultat d’une évolution sous la contrainte, la coercition, la violence et l’affirmation d’une classe sur l’autre. L’Etat n’est pas une institution qui modère et régule les rapports de force dans la société mais le "fondé de pouvoir de la classe dominante". Toujours. Partout.
Et le bouquin (...)