Les inculpés du Cannet sont les victimes de pratiques administratives arbitraires et injustes, qui brisent des vies inutilement. Leur révolte, si elle a eu lieu, était légitime pour dénoncer une situation de violences physiques et psychologiques et de mise en danger des personnes retenues.
La Cimade dénonce les poursuites engagées, qui sont la caricature d’une politique répressive inutile et discriminatoire. Elle demande l’acquittement des inculpés et appelle à se rassembler pour les soutenir lors de leur procès, le 26 novembre au TGI de Marseille.