La crise environnementale, quasi incontrôlable, que nous connaissons non seulement annonce la catastrophe vers laquelle nous allons, mais elle reste aussi accrochée au colonialisme structurel qui domine dans les pays du « premier monde » à l’égard du troisième ou des pays « émergeants ». C’est le cas des inversions de l’entreprise parastatale Électricité de France dans l’isthme de Tehuantepec, Oaxaca, Mexique (note du traducteur), dont les projets de parcs d’éoliennes ont entraîné une violence génocidaire contre le peuple Binnizá (Zapotèque).