Lettre II.
Mon cher Usbek, je réponds tardivement à ta lettre car ici les événements filent comme au galop d’un cheval piqué par un éperon. Notre sultan et ses mages, médecins et astrologues guettent les avis du bon peuple à la loupe. Ses ministres condamnent ici pour pardonner là bas. L’un des (...)