Á Oaxaca, les murs racontent des histoires. Sur un mur bariolé, Zapata semble vouloir refaire sa révolution. La moustache vibrante de ses colères homériques. Plus loin, une gamine regarde des papillons s’envoler vers la mort qui plane au-dessus d’elle. Même pas peur ! semble-t-elle dire en disparaissant au coin de la rue. Posée sur une façade, une femme-fleur palpite au cœur d’un épi de maïs. Ses désirs sur le point d’éclore en mille morceaux.