Une tribune pour les luttes

Olga Spitzer : une association sans contrôle

Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

Ajout Mille Bâbords le 1er juillet 2011 pour répondre à certaines demandes dans les nombreux commentaires postés après cet article..
A qui s’adresser ?

Article mis en ligne le lundi 6 juillet 2009


Ajout Mille Bâbords le 1er juillet 2011 pour répondre à certaines demandes dans les nombreux commentaires postés après cet article..

A qui s’adresser ?

http://www.maitre-eolas.fr/post/2011/04/14/All%C3%B4-la-boucherie-Sanzot

(...)

Résumons

- “Mon fils est en danger le week end chez son père qui consomme des stupéfiants” : Juge aux Affaires Familiales (JAF)

- “Ma petite fille est en train de se faire dépouiller de l’héritage de son père par sa mère” : juge des tutelles

- “Ma fille est déscolarisée, me tape dessus et m’impose son copain à la maison” : juge des enfants

- “Mon ex veut faire baptiser mon fils mais je suis athée” : JAF

- “Le fils du voisin se fait taper dessus à tout bout de champ” : attention c’est un piège, c’est au Procureur de la République (ou encore mieux au 119) qu’il faut s’adresser, puisque lui seul peut, hormis les parents ou le mineur lui même, saisir le juge des enfants

- “Je ne veux plus vivre chez ma mère parce que je ne m’entends pas avec mon beau-père” : d’abord en parler à ses parents dont l’un des deux peut saisir le JAF

- “Je veux utiliser les dommages et intérêts perçus par ma fille pour lui acheter un ordinateur” : juge des tutelles

- “Mon ex mari utilise des poupées vaudou pour me faire du mal et récupérer mon fils après ma mort. Je le soupçonne de venir d’une autre planète” : heu… probablement le juge des enfants là quand même (et peut être le juge des tutelles des majeurs)

- “J’arrive d’Angola où j’ai vu ma famille décimée sous mes yeux, j’ai une photocopie d’acte de naissance selon lequel j’ai 17 ans, je suis à la rue” : Aide Sociale à l’Enfance et juge des tutelles

- “Je ne veux plus payer de pension alimentaire pour cet enfant qui n’est pas le mien et que j’ai reconnu pour faire plaisir à ma femme quand je l’ai rencontrée” : tribunal de grande instance

- “Ma soeur m’a confié mon neveu et ne me donne plus de nouvelles” : JAF

- “Mon fils de 17 ans est apprenti et s’installe avec sa copine, il voudrait être indépendant” : juge des tutelles

- “Mon fils de 17 ans ne fait que des conneries, j’en ai marre d’être responsable, je veux l’émanciper” : juge des tutelles, qui va dire non et probablement transmettre au procureur pour saisine du juge des enfants

- “J’ai peur de mon mari qui nous frappe régulièrement moi et les enfants, je veux être protégée et je suis inquiète pour mon fils qui, à force de voir son père me traiter comme une merde, commence à m’insulter” : procureur, police, JAF et juge des enfants. Vite.


http://lesabusdesservicessociaux.e-monsite.com/categorie,vos-droits,4627209.html

VOS DROITS

L’avocat pour mineurs

  • Consultation dossier AEMO
  • Vous souhaitez attaquer en justice un magistrat....
  • La pension alimentaire
  • Le QPC
  • Contre les discriminations

    Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

    Olga Spitzer est une association d’utilité publique chargée d’actions de protection de l’enfance. Son action est mise en œuvre par le juge des enfants. Celui-ci peut mandater l’association dans le but de mettre en place par exemple, une action éducative en milieu ouvert (AEMO). Le principe de l’AEMO est simple : des éducateurs spécialisés analysent le
    contexte de vie et apportent aide et soutien aux familles qui rencontrent très souvent des difficultés matérielles, éducatives, d’hygiène de vie ou bien encore des difficultés en cas de séparation ou de divorce : elles doivent gérer des conflits de loyauté.
    Dans ce dernier cas,
    l’enfant se trouve au cœur de la discorde et est la main armée de l’un ou des deux parents. De nombreux faits divers récents relatent ces situations où chacun des parents tire l’enfant de son coté, espérant ainsi se venger de l’autre parent et le faire souffrir. Dans ce contexte précis,
    l’éducateur spécialisé endosse un rôle à la fois de médiateur dans les échanges qui ont lieu au sein de la famille et de protecteur de la sécurité et de l’intégrité de l’enfant. Il neutralise dans la mesure du possible tous les facteurs susceptibles de porter atteinte à l’enfant et protège ses droits individuels.


    Les convictions de l’éducateur et le déni des familles

    La réalité du terrain est toute différente et dépendante du profil hétérogène de ces éducateurs.
    Leurs actions étant légitimées par la justice, leur pouvoir n’a pas de limite. Ils profitent de familles fragilisées par les problèmes qu’ils rencontrent pour imposer une ligne de conduite idéale selon leur représentation et pour porter des jugements. Les relations qui se créent entre les individus sont donc très variables et dépendent précisément de la personnalité et du professionnalisme de l’éducateur. De la défiance à la confiance, certains éducateurs préfèrent
    travailler en toute sérénité avec la famille. D’autres éducateurs ignorent totalement la famille, se plaçant au dessus d’elle et lui imposent leurs idées et leur point de vue. Ils dénient totalement la famille alors que la loi prévoit au contraire que le lien familial soit préservé en priorité. Dans certains cas le placement de l’enfant est une mesure irrespectueuse car l’enfant ne peut s’épanouir et grandir sereinement qu’au sein de sa famille. Le placement peut être une menace pour la cellule familiale. Mais au lieu d’aider une famille, lorsque c’est possible, à résoudre ses problèmes, le placement en internat éducatif ou le placement en famille d’accueil parait pour l’éducateur la solution la plus facile à mettre en place.


    Le placement, une solution de facilité

    En effet, les éducateurs sont évalués sur leur capacité à trouver des solutions aux différents dossiers qui leur sont confiés par la justice. Dans ces conditions pourquoi s’exaspérer à tenter d’aider des familles pendant des mois, pourquoi mettre en place des actions régulières pour les accompagner à surmonter ces épreuves. Tout ce temps est impalpable et les résultats obtenus ne s’évaluent pas concrètement. La tentation pour l’éducateur de passer directement
    au placement de l’enfant prend tout sens. Il doit préparer et constituer des dossiers. Cette partie du travail est concrète et donne à l‘éducateur l’impression dans cette mission particulièrement, qu’il remplit son cœur de métier et qu’il agit. Celle-ci s’oppose totalement
    aux entrevues et aux temps d’écoute et d’analyse de la situation avec les familles. On peut légitimement s’interroger sur le fait que les éducateurs perçoivent une prime au placement ou bien n’obtiennent la reconnaissance de leur pair que dans ces missions.
    Les éducateurs doivent atteindre cet objectif de résultat. Ils perdent alors de vue qu’un enfant est au cœur de leur travail et que toute erreur d’appréciation se répercutera sur son avenir.
    Leur objectivité doit être remise en cause car bien qu’ils n’aient pas de lien de parenté avec le sujet, ils sont incités à agir pour atteindre cet objectif de résultat. La finalité n’ayant à ce stade plus aucun lien direct ou indirect avec le bien être de l’enfant.

    Les abus de pouvoir des éducateurs

    En outre dans certains cas, les familles doivent supporter en plus de leurs problèmes, les états d’âme et les susceptibilités des éducateurs. Ceux-ci ne supportent pas que leur autorité soit contestée par les familles dans la mesure où la justice les a conduites à l’AEMO à cause de leur incapacité à gérer seuls leur situation. Pour autant malgré cette mesure, les familles ne perdent pas leur esprit critique ou leur capacité d’analyse. Mais très souvent lorsqu’elles l’expriment, les éducateurs se sentent agressés et expliquent dans leur rapport au juge que la famille est réfractaire à l’autorité judiciaire et ne s’est pas soumise à la procédure. Les éducateurs abusent pleinement de leur pouvoir.
    Olga Spitzer n’est pas sous contrôle Une loi de 2002 permet aux familles de s’exprimer sur la procédure dont ils font l’objet. Les familles n’utilisent pas ce droit. En outre, aucun contrôle n’est effectué dans ces associations pour évaluer les actions des éducateurs. Lorsque les familles dénoncent des agissements abusifs, les éducateurs considèrent que ceci fait partie des risques de leur métier et qu’il est difficile pour les familles de se remettre en question. Les familles ne sont pas entendues et parfois sont complètement ignorées et disqualifiées. Dans ces conditions comment les familles en difficulté pourraient-elles demander de l’aide et faire appel aux associations
    sensées les épauler. Comment pourraient-elles avoir confiance en ces institutions ?

    Janette Rezgui
    _ Sociologue du Travail
    Et parent témoin

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    Vos commentaires

    • Le 9 juillet 2009 à 02:55, par Massardier Gilles En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Bonsoir,

      Je suis moi même éducateur, permanent dans un lieu de vie.

      Tout d’abord, qu’entendez-vous par "parent témoin" ?

      Ensuite, si je suis d’accord avec vous sur la fait que certains éducateurs sont dans la toute puissance vis à vis des familles, j’en ai croisé plus d’un en 3à ans de carrière, je trouve dommage, que dans cette critique massive que vous faites, vous ne preniez pas la peine de nuancer vos propos en accordant à notre profession d’une part le droit à l’erreur et d’autre part que biçen des éducateurs font un travail remarcable, tant auprès des familles, qu’auprès des enfants.

      Pour avoir travailler un temps dans le cadre de l’Aide sociale à l’enfance, et donc avec des familles, je peut témoigner de la difficulté à faire la part des choses. Protéger les enfants doit rester notre objectif premier, cela n’est pas toujours facile de mesurer de façon objective les risques encouru par les enfants. Il nous faut avant tout avoir un profond respect pour les gens que nous rencontrons, et que nous sommes "sensé" aider.
      Il me semble que parfois on privilégie abusivement le droit des parents, au détriment du bien de l’enfant...
      Je suis convaincu que la place d’un enfant est au sein de sa famille naturelle, mais pas à n’importe quel prix, et certainement pas au nom du droit.

      Gilles Massardier
      Permanent du lieu de vie "Le Passage"

    • Le 12 juillet 2009 à 17:11, par Claude En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Je voudrai élargir le débat et nuancer cette dénonciation en la replaçant dans le système de contrôle social qui a toujours existé pour les travailleurs sociaux. J’ai travaillé il y a + de 40 ans dans une association similaire (Sauvegarde de l’Enfance Marseille)et la mentalité était la même :" ne prenons pas de risque, plaçons !" ce qui m’a amené à démissionner rapidement.
      Ce qu’on appelle l’AIDE exige une formation adéquate et du temps. Or, actuellement, les travailleurs sociaux sont formés pour le contrôle, (on les prépare à travailler dans les prisons pour enfants ! ). De + ils sont le plus souvent surchargés de cas. Alors comment prendre le temps de réfléchir, de parler ???
      Replacer ce témoignage dans un cadre politique entraîne des questions sur le regard de notre société sur les enfants et les parents : tous suspects et à surveiller !!

    • Le 1er août 2009 à 17:29, par CIRANY En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      J’ai été bouleversée par votre article,sur les graves disfonctionnements de l’association OLGA SPIZERT.En décidant de placée ma fille dans des centres médico spécialisés .Ils ont gravements ,contribuer à nuire à l-avenir social et professionnedl de ma fille SABRINA,agée aujoud’hui de 16ans.Avec la complicitée du juges des enfants,de NANTERRE. Ma fille n-ai pas handicape mais souffre de dylexie.La prise en charge dans ces institutions innadaptes,sans apprentissages scolaires et cela depuis qu’elle à 6ans.Je m’y suis toujours opposée,j-ai alerter le juges des enfants ,Ils me l’ont placée dans un internat médico social.Au RAICY(93).Aujourd’hui ,elle a 16ans,et ne veut plus ,retourner dans cet internat,d’autant plus qu’elle a déjà fait l’objet,d’attouchements de la part du directeur adjoint de l’internat.Elle à honte et peurJe suis désespérée car je sais déjà que je ne serais pas entendue par la justice.Je ne suis pourtant pas une personne qui raconte n’importe quoi. J’aimerais savoir pourquoi ,les politiques ne ce penchent-ils pas sur ce problème ?Monsieur DEVEDJEAN,député et conseille général des hts ?Aurait peut-etre dses révélation à nous faire sur cet affaire.Il soutien l’ass OLGA SPIZERT.POUQUOI ? Toutes les manigances de cette association sont étouffées.Merci ,a vous de dénoncer le calvaire de nous les parents et de nos enfants,subit par ces mafieux. mme CIRANY.

    • Le 5 août 2009 à 16:12 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Votre témoignage concorde exactement avec ce que j’ai pu constater au travers d’un voisin qui subit une intervention de l’association dans sa famille.
      L’éducateur fonctionne sur la base d’un shéma préconçu inflexible et ne tient aucun compte de la réalité des choses, ni des idées et sentiments de la famille. Il veut à tout prix imposer aux enfants une représentation qui n’a rien à voir avec la réalité.
      Il faudrait que chaque personne qui constate ou est victime d’un abus écrive au conseiller général de son secteur pour que le contrôle du département sur ces association soit renforcé

    • Le 27 août 2009 à 10:45, par BURN En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Actuellement en troisième année d’éducateur spécialisé, j’effectue mon stage à responsabilité dans un service d’AEMO. L’article, ainsi que les différents témoignage me questionne évidemment sur mon futur métier et sur l’ethique de cette profession. Il me semble que pour une sociologue, les propos de cet article ne sont que trop peu nuancé. A la manière des médias l’exemple choisi est érigé en vérité générale. Ce qui me semble dangereux compte tenu de la multitude de familles et de problématiques rencontrées ainsi que la multitude de pratiques professionnelles des travailleurs sociaux.Evidemment que l’accompagnement des familles ainsi que le travail avec l’humain n’a pas de solution miracle. Aiguisez son sens critique et se renseigner sur la politique sociale aujourd’hui permet de nuancer ses propos. 70% du budget des missions locales supprimés dans ces cinq dernieres années, baisse de toutes les aides aux associations, poste non renouvellé ou supprimés alors que l’accompagnement ne cesse d’augmenter...Nous avons besoin de plus de temps, de reconnaissance, de fond...pour faire un travail de qualité. Stop au directeur gestionnaire considérant les usagers en prix de journéé !!!MAIS SAVEZ VOUS QUE EDUCATEUR ET POLICIER NE SONT PAS LE MEME METIER ??

    • Le 28 août 2009 à 20:28, par lepèrede En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Le JAF m’a m’accordé un droit de visite et d’hébergement d’un week-end sur deux et la moitié des vacances.
      Cependant, la mère malheureusement alcoolique perturbe gravement son enfant et en outre elle ne respecte pas les ordonnances judiciaires.
      Donc de nouveau j’ai saisi le JAF et sollicité la résidence principale, nanti de nombreuses non-présentation d’enfant et une dizaine de P-V de gendarmerie, de police et de rapports du service social du collège à l’encontre de la mère défaillante. Avant de se prononcer, le JAF a missionné l’association OLGA SPITZER. Cette association, qui a réclamé 2000 €, a rendu son rapport dit médicopsychologique deux jours avant l’audience, et en conséquence sans possibilité de contre-expertise. De plus, l’association Olga Spitzer de sa toute puissance contredit les procès-verbaux de police, de gendarme et du collège.
      Et ne suffisant pas, cette association a modifié mes propos et, avec un style d’écriture différent, me dépeint dans son rapport comme une personne vulgaire et incohérente. Hélas,cela ne s’arrête pas là, puisque le rapport mentionne que la mère s’est présentée alcoolisée. Et, ensemble la psychiatre, employée par l’association Olga Spitzer, et la mère alcoolisée ont tenté de forcer l’enfant à témoigner contre son père, mais sans succès, alors l’association explique qu’un autre rendez-vous a été nécessaire, où d’ailleurs, l’enfant sous pression dira qu’il ne veut pas voir son père car il a fait peur à un chat sauvage. En conclusion l’association Olga Spitzer recommande le maintien de mon fils chez la mère et l’éloignement quasi total du père tout en proposant ses services d’AEMO, si comme convenu.
      Et la Juge a suivi le rapport en tout point.
      Ensuite j’ai rencontré un éducateur d’aemo, qui n’a rien compris à l’histoire du chat sauvage et qui de toute manière refusera de comprendre autre chose qui pourrait nuire à son propre intérêt.

    • Le 28 août 2009 à 20:39, par lepèrede En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Correction. C’est la juge des enfants qui a ordonné une mesure d’aemo et non le Jaf, qui lui a ordonné un droit de visite par l’intermédiaire d’un service de médiation. Et c’est très bien ainsi sauf pour l’enfant et les parents.

    • Le 4 septembre 2009 à 13:31, par Becky En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Mes neveux sont sous AEMO avec l’association Olga Spitzer et c’est absolument hallucinant.
      Depuis des années, ma sœur est harcelée par son ex-mari qui n’accepte pas le divorce et a d’ailleurs été reconnu malade par les experts … mais pas par le représentant de l’association Olga Spitzer qui est tombé en adoration devant lui et le trouve merveilleux.
      Cette personne fournit la matière pour écrire un Traité de la mauvaise foi. Exemples :
      • Le père a des accès de violence et se livre à des exhibitions sexuelles devant les enfants  ce n’est pas un problème. Le vrai problème pour le représentant de l’association c’est que ce ne soit pas un non-dit pour les enfants, qu’ils soient capables de verbaliser la chose car, précisément pour les aider à gérer ce vécu, ils sont suivis par des psy qui leur ont permis d’être capables d’en parler
      • Le père ment tout le temps aux enfants  c’est très bien, les enfants n’ont pas à connaître la vérité
      • Il leur fait des promesses qu’il ne tient pas  où est le problème ? Tenez-les à sa place…
      • Il refuse de leur dire où il les emmène en vacances  c’est normal les enfants n’ont pas à savoir
      • Il refuse de dire à la mère où il emmène les enfants alors que lui-même exige d’avoir cette information  c’est tout à fait normal
      • Le père harcèle un directeur d’école, l’appelle 15 fois dans la même journée pour se plaindre de ne pas bénéficier d’un traitement de faveur  il a raison et le directeur a tort car Monsieur a le droit d’avoir ce qu’il demande
      • Il lance des insultes (salope, sale pute) devant 10 témoins à la sortie de l’école  ce n’est pas vrai, tous les témoins mentent
      • Il traite ses enfants de salauds, salope, connards…  ce n’est rien, il dit cela parce qu’il est en colère
      • L’enfant revient de vacances avec une blessure datant de plusieurs jours qui n’a pas été soignée  circulez il n’y a rien à voir, c’est le médecin qui a fait un faux certificat
      Je m’arrête là mais il y en a bien d’autres
      Effectivement, il n’y a aucun contrôle, aucune objectivité, aucun professionnalisme et des intérêts financiers extrêmement douteux là-dessous.

    • Le 15 septembre 2009 à 16:08 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Parents de trois enfants, en couple, travaillant tous les deux, sans problème particulier, nous avons rencontré avec notre fille aînée il y a quelques années des difficultés considérables. Par un grand hôpital pédiatrique parisien, elle avait été reconnue comme ayant une personnalité psychopathologique. On nous avait bien indiqué que la cause n’était pas une carence éducative.

      Nous avons, suite à de multiples vols, fugues, violences exercées sur ses frère et soeur, pris contact avec une association pour pouvoir retrouver un peu de paix. Ce fut une grosse erreur car celle-ci sur les déclarations de notre fille a fait un signalement et très vite nous nous sommes retrouvés embarqués dans une histoire qui nous dépassait.

      Notre fille nous accusait de maltraitance psychologique. Sans aucune preuve et et dépit du rapport médical, elle fut placée et erra pendant de nombreuses années entre des multiples foyers, des familles d’accueil, des séjours de rupture et j’en passe.

      Ce fut la casse méthodique d’une famille : nous n’étions jamais entendus que ce soit par les travailleurs sociaux ou par le juge. Epreuve très douloureuse, où nous nous sommes beaucoup remis en question, nous n’en sommes pas sortis indemnes.

      Aujourd’hui, après avoir abandonné ses études, elle vit de petits boulots et n’a toujours aucune stabilité.

      Nous étions venus chercher une aide ; nous avons trouvé des ennuis, des accusateurs sans preuve, la douleur et l’incompréhension des placements...

      Les rapports faits par l’assistante sociale étaient navrants : truffés d’erreurs, d’approximation, de jugements hâtifs. Dans le bureau de la juge, nous n’avions jamais l’impression d’être entendus.

      Des années après, nous restons très blessés par ce que cela a entrainé comme bouleversements dans nos vies.

      Je suis depuis très dubitative sur la qualité des services sociaux. Et des associations qui travaillent avec.

    • Le 16 septembre 2009 à 07:30, par Saxo24 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Bonjour, maman de trois enfants que j’ ai élevé seule de 1998 jusqu’ en janvier 2008. Le fils de mon mari a exercé une dénonciation de maltraitance a mon encontre, enquète sociale, juge pour enfants, jugement avéré calomnieux. Mais cela ne suffit pas, comme un de mes enfants refuse catégoriquement de se tenir aux lois de l’école, et que l’ensemble de mes enfants (3) sont, dirons nous, pleins de vie, le juge à décidé de mettre une aemo judiciaire, mais cela ne suffit pas, comme l’éducatrice à vu a la maison les enfants se battre (que des garçons) elle a décidé qu’un internat serait le mieux pour eux, pour "reprendre" le travail qu’ils n’ont pas assimilés vers 2/3 ans. On me dit que c’est pour nous aider, que si l’on ne se fait pas aider, on peut nous y obliger. Je ne peux tolérer que quelque’un d’étranger à notre famille vienne l’immiscer dans notre intimité, de quel droit la justice, alors qu’il n’y a aucune maltraitance, qu’il a été reconnu que les enfants ont tout ce qui leur faut, continuerait à venir nous emmerder sans se soucier du mal que cela nous fait. Sans se soucier du fait ce stress a provoqué chez moi un tel bloquage que je ne puis avoir d’autres enfants, de quel droit permet ton aux pseudos juges et éducateurs d’abuser et d’abuser encore, quand va t’on enfin fiche la paix aux gens qui on été reconnu par jugement comme parents aimants, et présents. Si quelqu’un a une solution ou sait vers qui je dois me tourner, s’il vous plait dites moi le. Merci.

    • Le 17 septembre 2009 à 17:34 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Selon l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme,
      “1. Toute personne a droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance.
      2. Il ne peut y avoir ingérence d’une autorité publique dans l’exercice de ce droit que pour autant que cette ingérence est prévue par la loi et qu’elle constitue une mesure qui, dans une société démocratique, est nécessaire à la sécurité nationale, à la sûreté publique, au bien-être économique du pays, à la défense de l’ordre et à la prévention des infractions pénales, à la protection de la santé ou de la morale, ou à la protection des droits et libertés d’autrui”

      La Cour des droits de l’homme a jugé que des mesures d’assistance éducative constituent une ingérence dans la vie privée et familiale qui “méconnaît l’article 8 sauf si, “prévue par la loi”, elle poursuit un ou des buts légitimes au regard du second paragraphe de cette disposition et est “nécessaire, dans une société démocratique”, pour les atteindre. La notion de “nécessité” implique une ingérence fondée sur un besoin social impérieux, et notamment proportionnée au but légitime recherché” (CEDH 1er juillet 2004, Couillard Maugery c. France, no 64796/01, 21 juin 2007, Havelka et autres c. République Tchèque, n° 23499/06, 26 juillet 2007, SCHMIDT c. FRANCE no 35109/02).

      Une mesure d’AEMO ne devrait donc être ordonnée qu’en cas de besoin social impérieux, c’est-à-dire si l’absence d’intervention de l’Etat risquait d’entraîner un trouble social. Malheureusement la justice française ne respecte pas ce principe et ordonne des mesures d’AEMO, sans nécessité, simplement parce qu’une famille a déplu à une assistante sociale ou en prenant parti pour l’un des conjoints divorcés, dans le cadre d’un conflit après-divorce.
      Et ensuite l’organisme d’AEMO va tenter d’imposer un modèle, poser des normes affectives, etc… sans égard pour les convictions des intéressés qui n’ont plus aucune liberté.

      Tout cela est intolérable mais que faire ? Les familles concernées ont rarement les moyens d’aller en appel et devant la Cour des droits de l’homme.

      De surcroît, limiter les ingérences dans la vie privée et familiale aux cas où elles sont impérieusement nécessaires entraînerait une énorme perte financière pour ces associations, style Olga Spitzer, OSE, etc… qui vivent de cela. Raison pour laquelle vous ne verrez jamais une mesure d’investigation et d’orientation éducative (IOE) concluant que tout va bien et qu’il n’y a pas besoin de s’en mêler. Dès que l’on met un doigt dans l’engrenage, c’est fichu.

      Il y a chez eux une tripotée de gens que l’on n’imagine pas une seconde travailler dans les banlieues difficiles, là où on aurait vraiment besoin d’éducateurs. Donc, on ordonne des AEMO abusives

    • Le 29 octobre 2009 à 23:03, par Plancq martine,maman et mamie en colère En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      vous !certains éducateurs ou(educatrices) du service AEMO(dans le niort) arreter de vous cacher derrière votre mission judiciaire pour diffamer les familles, harceler, acharner, menacer de placement des enfants quand ont ne fais pas ce que vous voulez !!surtout quand il n’y a rien de justifié,c’est honteux ce n’est plus de la prévention c’est de l’inquisition,la gestapo !hop !on fait un rapport et le juge se base dessus n’oublier pas que si vous plaisez pas a l’éducatrice elle fera tout pour vous entassez !car elle n’aime pas etre remise a sa place ! mais que font les juges bon sang !actuellement je fais une petition pour soutenir ma fille et je compte porter au procureur de la république d niort etsi il faut a la presse et pourquoi pas la télévision !pour que tout le monde soit au courant des pratiques de ces gens la !!il faut dénoncer !!je me tiens a la disposition pour en parler au journal qui voudra bien publier mon témoignage et meme la tévision je vuex combattre cette infamie que l’on fait subir aux familles !

    • Le 30 octobre 2009 à 13:38 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Etes vous sure qu’il ou elle est bien éducateur(trice) ? Car ils ne se gênent pas pour faire intervenir une assistante sociale qui n’a aucune compétence en la matière au lieu d’un éducateur mais ça vous ne l’apprendrez que très tard ou peut être jamais.
      Et l’assistante sociale joue les psy, n’hésite pas à contredire le pédopsychiatre, casse les enfants avec ses gros sabots.
      Et ensuite les juges se fient à leurs mensonge, c’est du déni de justice
      Il faut vraiment agir contre ça

    • Le 30 octobre 2009 à 23:50, par Plancq martine,maman et mamie en colère En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      ma fille habitait dans le nord avec ses enfants suite a son divorce mal passé(son mari completement cinglé reconnu en psychiatrie qui la tapait ainsi que les enfants donc plaintes police service sociaux qui mettent leur nez et voila ! elle a ensuite déménagé dans le niort, 5 enfants qui s’adorent , 30 ans ses enfants c’est ses yeux !service social, juge familial et juge des enfants suivi éducatrice d’aemo !ca fait 5 ans que ca dure !je ne peux pas tout raconter car c’est trop il n’y a rien contre elle les enfants sont bien mais on continu !!l’AEMO a meme mis le directeur dans sa poche pour dire que mon petit fils ne fait rien a l’école fausse évaluation heureusement que celui ci a pris chez lui toutes ses bonnes note chez lui ca contredit ce qu’ils disent vous vous rendez compte jusqu’a où ils vont !! je que tout le monde le sache ma fille a un avocate qui n’a peur d’attaquer et a fait appel mais en attendant !!la loi de 2002 article 8 du droit civil et familale il faut l’invoquer !devant la cour européenne des droit del’homme porter plainte il faudrait que tout le monde toute ces familles le fassent l’aide judiciaire ca existe pour prendre un avocat (pour ceux qui n’ont pas les moyens c’est ce que ma fille fait moi je suis entrain de faire une petition dans le nord j’habite roubaix, et ma fille en fait une dans le niort ont veut taper trés haut et ont va le faire !!ca suffit !ils vont foutre en l’air des familles où il ne faut pas !mais ils ne vont pas aller a ceux qui en ont besoin là c’est trop dure pour eux !messieurs et mesdames les juges faites des controls et effectuer des sanctions sur ces services !!regarder bien vos dossiers que vous traiter arreter de mettre des mesures d’aemo ou il ne faut pas !arreter de d’étruire des familles ou alors changer de métier ! vous ferez moins de grosses fautes professionelles !! vous arriver encore a vous regarder dans une glace ?et dormir la nuit ben bravo !!elle est belle la justice !!

    • Le 9 novembre 2009 à 13:48, par Kipik En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      C’est monstrueux. C’est la même chose chez moi : l’assistante sociale de l’AEMo va au collège pour convaincre le principal de dire que mes petits-enfants ne travaillent pas bien alors qu’ils ont 12 et 13,5 de moyenne.
      La juge acceptera-t-elle de regarder leurs bulletins plutôt que les mensonges d’une assistante sociale ?

      Ces gens se sentent tellement tout puissants qu’ils n’hésitent pas à faire un rapport qui est un tissu de mensonges alors qu’ils savent qu’il y a des preuves écrites montrant leur mauvaise foi.

      Mais là encore, les juges regardent-ils les preuves quand elles montrent la malhonnêteté des intervenants en AEMO ?

    • Le 10 novembre 2009 à 22:12, par plancq martine En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      a mon avis les juges traitent "par dessus la jambe" toutes les preuves que la famille apporte qui peut contredire ce que l’aemo ecrit dans chacun de ses rapports ( qui sont diffamatoires,et faux !)ce qui veut dire que les loups ne se mangent pas entre eux !qund il y a vraiment des enfants martyrisés (et dieu sait qu’il y en a !)le service on ne le voit pas souvent intervenir !trop compliqué pour eux !décembre 2008 l’ex mari de ma fille (celui dont il est l’instigateur d’où la situation de ma fille depuis 5 ans ne supportant pas le divorce)est venu de roubaix chercher ses deux enfants dans le niort et n’a pas voulu les ramenés, ma fille a porté plainte pour non représentation d’enfants et a du se déplacer jusqu’en dans le nord pour les rechercher avec la police !auparavant elle avait mis au courant l’aemo pour qu’ils interviennent c’était leur role !ils n’ont pas bougés ils ont téléphoné au pere qui s’en foutait !ils n’ont rien fait(rien à foutre !!) tout ca il ne note pas dans leur rapport ! en sachant que le pere était dangeureux preuves à l’appui.aprés ça il diront qu’ils sont la pour la prévention des enfants !je dirai plutot q’ils sont là pour anéantir les familles !!nous toutes les familles dans le meme cas faisont un signalement pour abus de pouvoir, violation de la vie privée et familiale, deni de justice,contre les aemo, et juges qui ne prennent pas en comptes toutes les preuves justifiant leur honnêtée, et qui se base sur des rapports erronés des aemo ont demandent justice ! devant la cour européenne des droits de l’homme

    • Le 16 novembre 2009 à 17:50, par parents disqualifiés En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Le gouvernement vient d’entériner, sans concertation, 2 textes qui vont démultiplier des affaires Outreau solo.

      Voir le communiqué de presse du 23 mars 2009 de l’UNASEA, FN3S, UNIOPSS :
      « Conflits familiaux : l’intérêt de l’enfant au moins offrant ! »

      Puisque la facturation des enquêtes sociales passe de 1300 € à 500€.

      Avec en plus, un désengagement de l’Etat qui renonce à garantir la protection de tous les enfants et de la cellule familiale, au profit d’une normalisation administrative et financière impossible.

      Puis il y a ce projet de loi de Nadine Morano réformant l’adoption. (2 pétitions à signer sur les sites : « Le fil d’ariane France assos » et « la justice de l’arbitraire »)(Autres sites : SEFCA puteaux2, ASP DP, EXACTIONS.NET(reportage à envoyé spéciale sur France 2 en 2008)

      Le France manque d’enfant à offrir à l’adoption.

      Nos enfants seront de plus en plus des proies de ces institutions : « ASE » et « JAF ou tribunal des enfants ».

      Toutes les familles et les enfants peuvent être victime de ces institutions au rabais.

      L’affaire Outreau, ce n’est rien d’autre que la résultante des déviances de cette institution : A.S.E et là, ils étaient plusieurs familles inculpées face à un juge.

      L’abbé Wiel, que j’ai entendu lors d’une de ces conférences, disait qu’entre le début de l’affaire et l’instant où ce dossier se retrouva sur le bureau du juge Burgaud, il s’est passé 18 mois.

      Lisez le seul article que j’ai lu sous le nom : " l’aide sociale à l’enfance dans la tourmente" "l’autre fiasco d’Outreau" du nouvel observateur, fait par Sophie des Deserts en 2006. Elle y parle d’une enquête sociale menée par les "Tatas"

      Mme Pernod (nom ad hoc), AS du conseil général qui fit l’enquête sociale en 1996, se laissa manipuler et subjuguer :
      - par une famille dont la respectabilité était liée qu’à des signes extérieurs de fausses bienveillances.
      - une municipalité qui a délaissé cette enfant et cette citoyenne seule face à quartier entier.

      Ce fut une enquête sociale à charge exclusivement faite de fausses accusations pour de basses raisons de vengeances.

      Le but des fausses accusations étant de manipuler des tiers qui détiennent une autorité, afin de faire discréditer, de priver d’une jouissance, quelqu’un que l’on veut neutraliser, voire nuire en le vidant de ce qui le qualifie comme enfant, citoyenne, propriétaire, mère, infirmière, locataire.

      S’en prendre à un enfant pour régler un différent avec sa maman, c’est la pire des lâchetés.
      Bien que venant
      - d’une famille au dessus de tout soupçon : la famille Pérolini/Fournier. Leur notabilité est probante tellement elle se voit ;
      - d’une mairie communiste. Feu Mr Guigou eut la double casquette : maire (1995-2007), conseiller général (1982-2008) !

      Devant tous les juges depuis 1996, je traîne cette discréditation et cette disqualification.
      2005, la juge du JAF Lorenzini, place un enfant de 10 ans chez un addict chronique de 63ans, en attente d’une greffe de foie, sans aucune autre mesure de protection.
      3mois après, mon fils se réveille, son père est dans le coma pour la raison exacte pour lequel j’avais demandé aide et protection durant ces 10ans ! Il vivait dans un logement immonde de désordre et de saleté.
      Les Gamma GT et les VGM ne sont pas des preuves de justice ! C’est ce qui m’a toujours été dit !
      Je fus, et suis toujours, qualifiée de "polémique" bien sur !
      Lorsque, comme dans ma famille, vous avez comme ami le président de la Chambre syndicale des huissiers du Var, Vincent Beluffi et sa femme, avocate et partie pris, Maître Conte à Hyères les palmiers. Vous ne pouvez être que COUPABLE

      Et l’intérêt supérieur d’un enfant de 10ans conforme à la CIDE passe aux oubliettes pour favoriser les intérêts de leurs amis.

      Le 13 novembre 2008, le juge des enfants, le juge Sabatier ne l’a bien dit clairement :
      -  « n’ayez aucun espoir de recours ! Pas même à la cour européenne »
      -  Puis mon fils a 14ans, la moindre procédure durera 2ans et plus, si appel !
      -  Gaspar aura 18ans avant toutes fins de procédure. Ce serait de l’argent investi inutilement.

      Le juge Burgaud avait sur son bureau un dossier chaud/brûlant. Pouvez t-il instruire autrement ?
      Et tant que l’on parlera du juge Burgaud sur toutes les coutures,
      On ne parlera pas de l’enquête sociale et de ses fonctionnaires en dessous de tout, imbus de leur statut puisque reconnu« professionnels de l’enfance » par le conseil général.

      Tant que l’on parlera de moi comme d’une "auto biographie : - de mauvaise citoyenne"
      - d’une mauvaise mère"
      - d’une mauvaise infirmière"
      La Famille Pérolini/Fournier ainsi que la mairie se protégeront de leurs exactions inhumaines envers un enfant.
      Elles ont, toutes les 2, intérêts à ce que l’ASE et le Juge des enfants continuent toujours plus dans cette poussée dans l’opprobre.

      Le juge des enfants, le juge Sabatier ne s’en est pas privé le 13 novembre 2008,
      Ce fut un « one-juge/man-show », si la fonction intrinsèque d’un juge des enfants, c’est « l’intérêt supérieur de l’enfant », son exaltation dans sa litanie des maladies psychiatries dont je serai ( ?) atteinte est hors sujet.
      Disqualifié à ce point une mère devant son enfant de 13ans : c’est de la maltraitance ! bien que venant d’un magistrat !
      2 réflexions :
      - que peut-il se passait dans la tête de mon fils de 13 ans en entendant cette discréditation venant d’un juge sensé le protéger !
      - comment sortir mon fils des griffes de ce malveillant !

      Que du pire qui ira se surajouter au pire, puisque ensuite, l’ASE et le parquet transforment votre enfant en argent qui va faire vivre les institutions qui les emploient. Un enfant placé en famille d’accueil leur rapporte 6000€ par mois. 1 enfant !

      Et il y a 50% de placements abusifs : soit 77000 enfants en France. - 25% pour mauvaise évaluation au départ.
      - 25% qui ne devraient pas se prolonger.
      Une étude récente publiée par l’Insee, indique clairement un lien entre le placement d’un enfant en famille ou foyer d’accueil et une forte probabilité pour celui-ci, dans l’avenir, de devenir un SDF.
      Chaque année, 34000 enfants placés risquent de devenir SDF. Ils passeront du statut de “placés” à celui de “sans domicile fixe”

      Sachant qu’un enfant placé coûte la modique somme de 6000 euros mensuel aux contribuables.
      Calculez : si l’on place 3 enfants (donc 18 000 euros mensuel) d’une même famille pour manque de logement et que ce placement dure 3ans : faîtes les calculs 648 000 euros.
      VOUS AVEZ BIEN LU 648 000 EUROS. Avec cette somme l’état aurait pu leur offrir un pavillon.

      Ne serait-il pas mieux d’aider la famille en lui allouant une somme (géré par un service spécial) par mois pour avoir un logement convenable. Mais, non, ces 2 institutions préfèrent détruire une famille et laisser ces gens dans la précarité.

      L’intérêt supérieur du pompier pyromane, ce n’est pas le feu, mais son intervention face à lui.

      Ici, c’est pareille, l’intérêt supérieur de ces institutions, ce n’est pas votre enfant, mais le nombre de dossier qui va alimenter leur budget de fonctionnement.
      Tous moyens légaux, classiques, conventionnels me sont interdit puisque court-circuité par des « puissants » : le pot de fer, contre le pot de terre. Un pot de terre spolié, mise à la rue, sans revenue.
      Je veux passer une semaine de vacances avec mon fils.

      Blog : parents-disqualifiés-enfants-placés. 1° ETAPE

    • Le 16 novembre 2009 à 18:54, par parents-disqualifiés-enfants-placés.over-blog.com En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Protection de l’enfance : « La situation nSociété 01/10/2009 à 14h44

      Protection de l’enfance : « La situation n’est pas satisfaisante »

      La Cour des comptes pointe la mauvaise application de la loi de 2007 sur la protection de l’enfance.

      Les structures d’accueil des jeunes en danger seraient trop peu contrôlées et les rôles mal répartis entre judiciaire et administratif.

      15 réactions

      Le premier président de la Cour des comptes Philippe Séguin, à l’Elysée, le 13 janvier 2009. (AFP Gerard Cerles)
      ·
      Les jeunes en danger pâtissent d’une application « pas satisfaisante » de la loi sur la protection de l’enfance, a jugé jeudi la Cour des comptes, estimant que les structures d’accueil sont trop peu contrôlées et les rôles mal répartis entre judiciaire et administratif.

      « La situation n’est pas satisfaisante », a déclaré lors d’un point presse le président de la Cour des comptes Phillippe Séguin, en présentant un bilan de la loi sur la protection de l’enfance en 2007.
      Il a évoqué un risque de « maltraitance institutionnelle » contre les enfants. « L’insuffisance » la plus « préoccupante » concerne l’exécution des décisions de justice, selon la Cour, qui a relevé des « délais très excessifs », pour les décisions de placement par exemple.
      « Ballottés d’institution en institution »

      « On constate que le parcours des enfants protégés est souvent long et chaotique. Les enfants, déjà fragilisés, subissent donc les effets des défauts d’organisation de la prise en charge », a affirmé Philippe Séguin, rappelant que la protection de l’enfance représente environ 6 milliards d’euros par an.

      « Souvent ballottés d’institution en institution et dans certains cas, faute de solution adaptée, ils sont remis à leurs familles et parfois même hébergés à l’hôtel », a-t-il dénoncé, relevant qu’à Paris en 2006, « 65 jeunes confiés à l’aide sociale à l’enfance étaient hébergés à l’hôtel ! ».
      La Cour a aussi regretté que « les juges ordonnent 82% des mesures » alors que « de nombreux cas (…) pourraient et devraient être traités par le département ».

      « La qualité des prises en charge est trop peu contrôlée », a aussi relevé la Cour, notant que « les aides financières » aux familles ou « l’intervention d’un travailleur social » à domicile « constituent une forme de soutien épisodique dont personne ne cherche à mesurer l’efficacité ».

      « Un contrôle tous les 26 ans ! »
      Quant aux établissements d’hébergement, « la plupart des départements s’appuient » sur les associations qui les gèrent « trop souvent sans les remettre en cause ». « Au rythme actuel, un établissement du secteur associatif est contrôlé par l’Etat en moyenne tous les 26 ans ! », a déploré Philippe Séguin, estimant même que « personne ne contrôle quoi que ce soit ».
      Philippe Séguin a appelé les conseils généraux à « assurer leur rôle central », comme la loi de 2007 les y incitaient, notamment en revoyant les autorisations d’accueil trop anciennes.
      « L’offre est donc rigide et souvent on a l’impression que c’est elle qui conditionne les décisions plutôt que l’analyse du besoin réel des enfants », a ajouté Philippe Séguin.

      La Cour a aussi regretté que les départements ne reçoivent « pas systématiquement » les informations concernant les enfants en danger, « notamment parfois celles connues des médecins ou de l’Education nationale ».

      La protection de l’enfance a concerné 300.000 jeunes en 2007, dont la moitié fait l’objet d’un placement hors de la famille et l’autre de mesures éducatives.

      La protection administrative, baptisée Aide sociale à l’enfance (ASE), est confiée au département.

      Les juges prennent par ailleurs des mesures que selon la Cour « rien de distingue au fond des décisions » prises par l’ASE.

      L’enquête a porté sur 17 départements, 18 tribunaux de grande instance, 8 Cours d’appel, 5 services départements de protection judiciaire de la jeunesse et « plusieurs » associations.

      (Source AFP)
      ’est pas satisfaisante »

    • Le 16 novembre 2009 à 19:12 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      un enfant placé, c’est un bracelet electronique pour neutraliser un citoyen génant.

      la france est hors la loi vis à vis de la CIDE.
      20° anniversaire de la honte.
      en France le plus gros maltraitant étant ASE.
      ces "professionnels" de l’enfance sont imbus de leur position car ils savent que quoiqu’il en soit le juge du JAF ou des enfants va entériner leur avis au détriment des parents, mais surtout des enfants. (cf lire travail avec les parents d’enfants placés de jerome barbereau )
      c’est dégoulinant de "bientraitance"
      jamais un éducateur ne se positionne autrement !

      puis il ne font aucun effort puisque les juges n’écoutent qu’eux !
      aucun recul !

      ceux ci transforment votre enfant en "budget de fonctionnement"

      car chaque enfant rapporte 6000euros par mois, à ASE .

      - parents-disqualifiés-enfants-placés.over-blog.com
      - ASP DP
      - eclma puteaux
      - la justice de l’arbitraire
      - le fil d’ariane-france
      - exactions.net (reportage à envoyé spéciale en 2008)

    • Le 16 novembre 2009 à 19:17 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      extrait du rapport de la cour des comptes au 1° octobre 2009.
      philippe Seguin denonce la gabgie financiére et des resultats inexistant.

      coroborer par un rapport de INSEE de 2006 ou il est stipulé que l’enfant placés continuait sa vie en étant SDF.

      ..............................
      « Un contrôle tous les 26 ans ! »
      Quant aux établissements d’hébergement, « la plupart des départements s’appuient » sur les associations qui les gèrent « trop souvent sans les remettre en cause ».

      « Au rythme actuel, un établissement du secteur associatif est contrôlé par l’Etat en moyenne tous les 26 ans ! »,

      a déploré Philippe Séguin, estimant même que « personne ne contrôle quoi que ce soit ».

      Philippe Séguin a appelé les conseils généraux à « assurer leur rôle central », comme la loi de 2007 les y incitaient, notamment en revoyant les autorisations d’accueil trop anciennes.

      « L’offre est donc rigide et souvent on a l’impression que c’est elle qui conditionne les décisions plutôt que l’analyse du besoin réel des enfants », a ajouté Philippe Séguin.
      La Cour a aussi regretté que les départements ne reçoivent « pas systématiquement » les informations concernant les enfants en danger, « notamment parfois celles connues des médecins ou de l’Education nationale ».
      La protection de l’enfance a concerné 300.000 jeunes en 2007, dont la moitié fait l’objet d’un placement hors de la famille et l’autre de mesures éducatives.
      La protection administrative, baptisée Aide sociale à l’enfance (ASE), est confiée au département. Les juges prennent par ailleurs des mesures que selon la Cour « rien de distingue au fond des décisions » prises par l’ASE.
      L’enquête a porté sur 17 départements, 18 tribunaux de grande instance, 8 Cours d’appel, 5 services départements de protection judiciaire de la jeunesse et « plusieurs » associations.

      (Source AFP)

    • Le 27 novembre 2009 à 14:00, par Maman horrifiée En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Il ne faut pas s’étonner que les personnels des associations aient un sentiment de toute puissance.

      Les juges leur signent des chèques en blanc et refusent de prendre le temps regarder les preuves de leurs mensonges et de leur incompétence

      le département les paie sans rien contrôler

      Ils font ce qu’ils veulent, payés par nos impôts, en commençant par détruire l’équilibre de nos enfants

      Et juste pour rire, est-ce que quelqu’un les a déjà vus auprès des mineurs vraiment en difficulté dans les quartiers difficiles ?

    • Le 29 novembre 2009 à 15:30, par rem En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Je suis un père de deux enfants, je vis avec ma femme et nos deux enfants. Suite à une lettre envoyée par ma belle aux services sociaux de ma ville, on se retrouve ma femme et moi sous une enquête sociale et psychiatrique.

      Je n’ai pas encore rencontré l’éducateur qui est chargé de faire l’enquête. J’espère qu’il ou elle sera quelqu’un de neutre et objectif.

      Mais l’expérience que j’ai eue avec les services sociaux, qui ont mené à cette enquête, me laisse perplexe quant au fonctionnement des institutions.

      J’ai assisté à un montage mensonger qui avait pour but de prouver des accusations de ma belle mère. La question que je me pose aujourd’hui pourquoi ces gens ont menti délibérément ? Parce que dans mon cas on peut parler de mensonge.

      Et plus généralement que ce qui pousse un professionnel à abuser des ses pouvoirs ?
      Pourquoi ce travail que je juge délicat, est confié qu’à une personne ?

      J’ai lu dans le forum un éducateur qui demande à ce qu’on leur accorde le droit à l’erreur, je suis d’accord avec lui que tout le monde peut se tromper, mais vous détruisez quand même des vies d’innocents.

      Aujourd’hui un médecin qui commet une erreur médicale peut être poursuivi. Pourquoi une assistante sociale ou un éducateur, qui comment une erreur ne peut pas être poursuivi et surtout continue à exercer sans même une blâme de sa hiérarchie ?

    • Le 3 décembre 2009 à 12:11, par martine plancq En réponse à : je fais appel à tout les educateurs de bonne foi et travaillant vraiment pour l’enfant

      appel a tout les éducateurs demandons votre aide pour combattre Les mauvais éducateurs qui font de l’abus de pouvoir qui favorise des placements abusifs alors que cela ne doit pas etre !! ils détruise l’enfant et la famille !dénoncez les ! car vous les bons qui faitent vraiment votre travail avec respect et bonne foi ces gens là nuisent a la profession pour défendre vraiment les enfants qui sont maltraités qui parfois n’est pas le cas !ce qui ouvre le droit d’abus de pouvoir !de certain educateurs(trice)

    • Le 4 décembre 2009 à 12:21, par martine plancq En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      un médecin soigne, voila la difference par contre on peut poursuivre un médecin avec la loi là ce sont des éducateurs, service sociaux qui sont protégés justement par la loi ils exercent sous le couvert de la loi, se cachent derriere des actes judiciaires c’est la loi qui punit !vous comprenez ? les parents demandent justice à la loi celle ci justement qui les couvrent !c’est pour ça qu’il faut s’accrochez et combattre.ne leur faite pas confiance aucun service sociaux faite attention a ce que vous dites, a l’école ou creche aussi.demandez del’aide a la voix de l’enfant qui défend justement ces abus de pouvoir defendeuse d’efants aussi(Mme versini)qui était au gouvernement et qui l’on démis de son poste car elle dérangeait !! il y a une pétition qui tourne sur internet allez sur:mesopinions.com et signer faite attention a vous et votre enfant car le cas de ma fille ou elle se trouve actuellement (5ans que ca dure)c’est sur des dénonciations fausses de son ex mari

    • Le 15 décembre 2009 à 23:13, par plancq martine En réponse à : loi de 2002-361, toujours actuelle en 2009 concernant ordonnance de placement provisoire par juge enfant

      avis à toutes les familles, la loi de 2002-361 article 1184 du code de procédure civile toujours d’actualité en 2009(vérifié)lorsqu’un placement provisoire a été ordonné en urgence par le juge des enfants , sans audition préalable de la famille (donc déja placé), le juge des enfants doit avoir l’obligation de recevoir la famille dans un délai de 15 jours a partir de la date de l’ordonnance qu’il a délivré , s’il ne le fait pas les enfants doit être remis a la famille. c’est une loi que les familles ne savent pas et donc ne s’en servent pas ce qui arrange bien certains juges !moi je vais m’en servir car cela fera 15jours ce mercredi et toujours rien de la part du juge alors ma fille fera valoir ce droit et reprendra ses enfants, faites pareil allez y !!nous aussi nous avons des roits ils faut s’en servir !!! pour nos enfants et arréter cette destruction des familles, les enfants qui n’ont pas lieu d’être placés, et les abus de pouvoir de certain services sociaux martine plancq

    • Le 28 décembre 2009 à 19:21, par rms63 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Je vis la même chose que votre fille, mon mari nous violentait, je l’ai dénoncé et fait expulser, il a été condamné 2 fois à quelques mois de prison avec sursis, il avait mordu à sang mon enfant de 6 mois, puis il l’étouffait avec un oreiller jusqu’à suffocation et j’en passe, comme il a reconnu les faits pour mon plus grand fils il n’a plus le droit de le voir mais il peut voir mon plus petit, en point rencontre, j’ai un cancer du sein, donc j’élève seule mes enfants, on ne veut pas prendre en compte mes problèmes de santé et on m’oblige à faire 100 kms chaque week-end pour que cet homme puissent voir son fils. Comme je ne me suis pas présentée au point rencontre pendant plusieurs mois, il a déposé plainte pour non représentation d’enfants, j’ai été condamné à 2 mois de prison avec sursis pour le plus petit et relaxée pour le plus pour état de nécessité, il a perdu ses droits parentaux sur mon fils aîné pour faute grave. Evidemment le point de rencontre ne remet que des rapports en faveur des parents maltraitants, toutes les personnes de la profession de la protection des enfants (pôle victime, psy) sont au courant mais personne ne bouge de peur d’être agressées par les parents maltraitants. De plus mon ex a réussi à me faire surveiller en demandant une aemo au juge des enfants, aemo qui devait m’aider, mais en vérité, l’éducatrice ne fait que surveiller mes moindres faits et gestes,je me suis donc mise en colère, en lui disant que l’on ferez mieux de nous laisser tranquille et elle est allée dire à l’école et autre, que je m’étais mise en colère. je ne m’attends pas à avoir un bon rapport de sa part et de la part du point rencontre. J’ai donc parlé avec certains parents à la sortie du point rencontre et là je me suis aperçue que beaucoup de parents bientraitants se faisaient traiter comme des chiens comme moi. Ce centre se trouve à Clermont-ferrand, je me demande si nous ne devrions pas faire une pétition nationale pour que tout cela bouge. Et que les parents bientraitants ne souffrent plus d’abus de pouvoir. Et quant aux médias je les ai contactés et ils ne veulent pas parler de ce genre d’affaire, cela ne les intéressent pas. Vous pouvez m’écrire si vous le souhaitez,rms63_chris chez hotmail.com. Nous devons tous nous mobiliser pour dénoncer ces abus de pouvoir qui concernent des milliers de personnes, j"ai déjà pu rallier quelques personnes à ma cause. J’espère à bientôt.

    • Le 1er janvier 2010 à 20:06, par debrabant En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      vos article est une réalité les services concernant nos enfants ase ddsp nous considéres comme écervelés et leurs attitude est totalement condéscendante a notre egard familles issus de milieux défavorisées...debrabant stéphanie de perigueux

    • Le 8 janvier 2010 à 16:56, par Gilles Massardier En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Pour ce qui est du droit à l’erreur, les choses sont plus complexes que pour un médecin qui travaille en général à partir de symptômes clairs, répertoriés, s’il fait une erreur de médicaments par exemple, cela peut ce prouver, ou si il y a une erreur durant une opération. Pour un éducateur, en dehors d’une fautes évidentes de sécurité ou s’il y a maltraitance de sa part, ou si comme je l’ai vu, il fait de faux rapport, il y a faute et en général, c’est puni par la loi... Mais une erreur d’orientation par exemple peut être faites en toutes bonne foi, il est alors très difficile d’évaluer le degré de faute. J’ai moi même fait une fois le forcing pour qu’un jeune rentre chez sa mère, cela semblait la meilleur solution, ce fut, la suite le prouva, une erreur. Suis-je coupable d’avoir voulu essayer de faire rentrer ce jeune dans sa famille ? Je me suis trompé, mais continuer le placement aurait pu donner les mêmes résultats...
      Il y a trop de paramètres en jeux pour que la faute soit clairement établi dans ce type de situation.
      encore une fois pour beaucoup d’entre nous, nous faisons de notre mieux.
      cordialement

    • Le 9 janvier 2010 à 15:01, par Brigitte En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Maman horrifiée et enfants terrorisés : des assistantes sociales-ASE-sont en insécurité au domicile du père fortement alcoolisé et prennent la fuite y laissant les enfants au domicile ’du père’.Des droits de visite supprimés pour violences et alcoolémie chez le père,les procédures abusives : AEMO,IOE et re-AEMO ’ramène’le papa en justice et mentent d’un commun accord,convoquent incessament la mère (sans pension alimentaire-délit organisé dont tous ces services sont complices)afin de lui faire perdre son emploi,dérangent les enfants pendant leurs cours (3 ans),ne les écoutent pas pour ’remettre’les enfants chez le père en récidive alccolique et toujours condamné à payer une pension qu’il ne paie pas:les conséquences:une mère de famille sans emploi et diabolisée par ces services et un père sacralisé.Ce que cela coûte à l’Etat et au contribuable pour briser intégralement une cellule familiale:on appelle cela:L’AVENIR DE L’ENFANT:on leur apprend la ponctualité (absence aux cours,l’assiduité (convocations incessantes),on ameute la famille maternelle isolant la mère de sa propre famille par leurs diffamations:les enfants assumeront dès leur premier salaire l’assistance à leur père qui les a volontairement abandonnés.Tout ceci avec l’accord du JUGE:LE SERVICE PUBLIC DE LA JUSTICE.

    • Le 9 janvier 2010 à 15:09, par Brigitte En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Mme Cirany,je suis révoltée aussi par les abus de pouvoir des services de la SAUVEGARDE (Loire),ont détruit ma vie,brisée celle de mes enfants:que de propos calomnieux,discriminatoires et surtout ce sont EUX qui manipulent les enfants,ils s’en servent d’objet A BUT LUCRATIF tout simplement ;ils prennent des familles comme PROIE,des familles relativement bien installés avec quelques biens pour les SPOLIER au détriment des LOIS contenues dans les Codes (civil,pénal etc).Un scandale:l’avenir de nos enfants n’est pas beau et inquiétant avec ces parasites de la société payés par le Contribuable !

    • Le 9 janvier 2010 à 15:21, par Brigitte En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Mme Planoq Martine,
      Je suis partante avec vous pour dénoncer les fonctions honteuses des services sociaux qui démolissent tout sur leur passage.
      Mes enfants et moi en sommes victimes,dans la LOIRE,on s’acharne,on harcèle,on ment,on va partout (famille de la mère,école,médecin),on met la mère plus bas que terre ;la violence et l’alcoolémie doit être plus valorisante pour l’éducation des enfants (surtout qu’il les a abandonnés par le délit d’organisation frauduleuse d’insolvabilité quant au paiement de pension alimentaire - plus de 5 ans - et dont ces services pseudo-socio SONT COMPLICES conformément à l’article 314-8 du CODE PENAL !

    • Le 10 janvier 2010 à 17:13, par Becky En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Bien sûr, tout le monde peut commettre une erreur de bonne foi. Il y a des tas de gens qui font de leur mieux mais qui peuvent se faire avoir car il y a aussi des tas de manipulateurs pervers qui trompent leur monde.
      L’important c’est d’avoir essayé d’être impartial et objectif, d’avoir écouté tout le monde.

      Mais que dire quand une mesure d’AEMO est confiée à une assistante sociale sans aucune intervention d’un éducateur ou d’un psychologue ?

      Que dire quand ladite assistante sociale remet au juge un rapport rempli de mensonges aussi bêtes que écrire qu’elle n’a pas vu l’enfant quand elle l’a vu, ou qu’elle n’a pas vu et entendu ce que 5 personnes ont vu et entendu, en sachant que le juge ne voudra pas même pas regarder les preuves de ses mensonges parce qu’il délègue entièrement son pouvoir juridictionnel à cette association ?

      Que dire quand ladite assistante sociale, qui n’a sans doute jamais entendu parler de Françoise Dolto, interdit aux enfants de raconter ce qu’ils sont subi parce que cela ne convient pas à ses préjugés ?

      Que dire quand l’assistante sociale prend aveuglément le parti du parent qui pose problème, contre les enfants ?

      Quand elle essaie de les culpabiliser ?

      Quand elle va rencontrer les équipes pédagogiques pour essayer de les convaincre qu’il y a des problèmes là où il n’y en a aucun ? Quand elle se joint au parent à problème pour harceler les enseignants au point que – ce sont des êtres humains – ils finissent par en vouloir inconsciemment à l’enfant ?

      Que dire quand l’assistante sociale dénie l’application de la Convention sur les droits de l’enfant et le droit des enfants de demander l’assistance d’un avocat ?

    • Le 16 janvier 2010 à 17:26, par viktor En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      bonjour ;je suis victime de systeme ;hontuex ;je reside en bretagne ;on n’a pas plus a la pmi aeomo ; on est puni ;actuellement notre fils de 12 mois est place ;notion de l’article 375 ;enfant en danger ou succeptible de l etre ;de la causerie ; societe deguisee ;ou le malheur des uns fait le bonheur des autres .bretagne dpt 29

    • Le 23 janvier 2010 à 10:05 En réponse à : loi de 2002-361, toujours actuelle en 2009 concernant ordonnance de placement provisoire par juge enfant

      Il faut aussi exiger le respect de l’article 388-1 du code civil, dernier alinéa : le juge a l’obligation de s’assurer que l’enfant a été informé de son droit d’être assisté d’un avocat
      L’intervention d’un avocat aux côtés de l’enfant peut limiter les dégâts

    • Le 1er février 2010 à 13:10, par Caroline En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Il faudrait que les éducateurs de bonne volonté dénoncent certaines pratiques : les rapports préconisant des mesures AEMO strictement inutiles, voire nuisibles, pour faire rentrer l’argent, les assistantes sociales à qui on donne le travail des éducateurs alors qu’elles sont INCOMPETENTES pour le faire, etc...

    • Le 8 février 2010 à 19:22, par forriar En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Nous vivons actuellement une situation similaire. Couple stable avec trois enfants. Nous avons toujours rencontré avec notre ainé qui a toujours présenté un comportement opposant. Il y a un an la situation est devenu explosive,impossible de le contrôler vol et fugue en plus. Nous avons fait appel au juge des enfants craignant pour lui et le reste e notre famille. Avec une mesure aemo écourté par notre fils par son non adhésion à cette mesure de nouveau fugue, et chantage à un soi-disant "suicide" la juge avec notre accord décide le placement. Et la DEBUT D UNE LENTE DESCENTE AUX ENFERS avec les services de l’ase, notre fils nous accusant également de maltraitance psychologue voir même physique. La non prise en considération de notre parentalité, la rupture totale. Et bien entendu les mensonges, les inventions calomnieuses. Dans quel but ? surement pas l’intérêt de notre fils qui je précise a été diagnostiqué comme présentant lui aussi, et cela par un pédopshy renommé, comme présentant un trouble opposition provocation avec une propension naturelle à contourner les règles, ne remettant absolument pas en cause nos valeurs éducatives. Refus de la magistrate et de l’ase de prendre en considération ce diagnistic. L’ase refuse même de mettre en place notre droit de visite et d’hébergement. Nous avons à plusieurs reprises alerté la magistrate, mais toujours sans réponse. Je viens d’écrire au président du conseil général. Totalement deséspéré, nous cherchons de l’aide,peut-être un soutien, ou peut etre tout simplement la possibilité de partager notre souffrance avec des personnes dans la même situation

    • Le 13 février 2010 à 21:41 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      abus de pouvoir et mépris des familles titre plus que vrai olga spitzer abuse de leur droits et continura puisque c’est sous couvert de l’état les enfants ne sont jamais écoutés . vous devriez avoir honte simplement de pouvoir vivre et lorsque j’en aurais fini avec notre affaire je trouverais les noms de tous ceux qui nous ont fait vivre ça . moi aussi je dénoncerais caché vos enfants se sera votre tour

    • Le 6 mars 2010 à 19:21, par Nath80 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      je suis sous le coup d’une aemo judiciaire suite au signalement d’une bande d’incapable ma fille de 5 ans été scolariser en milieu normal et été trés dissiper signalement car trop active, dangereuse pour elle et les autres besoin de voir un psycomotricienne, une psychologue et tous les reste koi et cela se passais de plus l’année dernier en cp !!3 autres enfants donc 1 avec un gros retard scolaire et placer en ime et un autre handicapé entre 50 et 80% en ime également et mon dernier fils scolariser normalement !! suite a cela convoquer devant le juge des enfants expertise médical demander là tous va bien les enfants sont suivis réguliérement par les spécialistes et cette foutu aemo ou l’on veut maintenant m imposer de prendre rdv auprés des ecoles des enfants avec les educatrices aemo sinon elles m’ont juste dis qu’elle serait obligés de signaler au juge les difficultés dans l’execution de leur misson !! mes enfants vont bien ils sont chaque jours a l’école et de plus ma fille est a ce jour scolarisé en Cliss avec un ppi et un sessad derriére !!je suis marier commercante avec mon mari implanté en savoie depuis novembre 2008 !!!je suis obligé de fermer mon commerce deux fois par mois pour me rendre au rdv avec les educatrices dans le cadre de la mesure aemo !!! il faut arrêter y en a marre !!!!j’ai bien envie de faire un courrier au juge car on nous impose des contraintes de partout j’ai autres choses a faire ke de courir a droite et a gauche pour leurs faires plaisir !!!!!!

    • Le 15 mars 2010 à 13:48, par Anne Laure C En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Il est exact qu’il n’y a absolument aucun contrôle sur l’activité de l’association Olga Spitzer aussi dénommée service social de l’enfance.

      La plupart des juges des enfants (il y a peut-être des exceptions et il serait bien qu’ils se manifestent) lui font aveuglément confiance, entérinent ses rapports sans même prendre la peine d’examiner les preuves contraires apportées par les parents ou les enfants.

      Partant de là, l’association ne respecte pas grand-chose, ni les conventions internationales et lois sur les droits des enfants, ni les dispositions du Code de l’action sociale et des familles régissant ses interventions dans le cadre de la protection de l’enfance, ni son propre règlement. Elle ne respecte pas davantage les droits et libertés garantis par la Constitution et la Convention européenne des droits de l’homme et des libertés fondamentales comme la liberté de conscience des individus, le droit au respect de la vie privée et familiale.

      L’association Olga Spitzer n’a pas de respect pour les enfants qui, en son sein, sont considérés non pas comme des personnes, mais comme des objets.

      L’association Olga Spitzer est financée par le Conseil général qui coiffe la protection de l’enfance dans chaque département.

      Le seul espoir de mettre fin à ces pratiques sectaires d’un autre âge serait que, chaque fois que sont constatés des abus, incompétences, mensonges ou malhonnêtetés intellectuelles, la victime ou ses parents adresse une lettre au Président du Conseil général pour lui signaler les faits et solliciter qu’il prenne les mesures nécessaires pour remédier à la situation.

    • Le 17 mars 2010 à 12:21, par glentir En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Du défaut de droit des enquêtes sociales type IOE, AEMO.
      IL suffit de lire l’ouvrage dans la collection précis Dalloz "Droit et libertés fondamentales" Louis FAVOREU, pour comprendre que les enquêtes de"justice" des services sont pénalement répréhensibles, art 432-4 du code pénal.
      Pour porter atteinte aux droits fondamentaux, il faut respecter une procédure, Juge, Police.
      Les habilitations justices sont contraires au droit objectif et à la Constitution.
      Le mieux serait de supprimer le concept
      d’utilité publique, car ce mot appartient au droit subjectif.
      Certains élus ont une "burqa" sur la tête et ferait bien de se plonger dans l’étude du droit, ce qui nécessite quelques années de lecture.
      Il existe un code constitutionnel (Litec) qui devrait être connu par tous les élus, comme le code de la route.
      En vérité sans le dire on a voulu une justice privée à des fins "monétaires".
      La justice est rendu par les services publiques qui dépendent in fine de la souveraineté populaire (chère au Général de GAULLE).
      Les services sociaux n’ont pas qualité à agir, à ester encore moins à faire des enquêtes de police.

    • Le 3 avril 2010 à 21:23, par cassidile En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Je suis un père victime de des Nases(ASE). Je n’ai pas accepté de m’agenouiller, alors l’éducatrice a fait un rapport mensonger, favoritiste, sexiste, uniquement à charge et le JDE a décidé de me retirer la RA de mes enfants, alors que ceci ne fait pas partie de ses prérogatives et qu’il n’a été démontré aucun danger.

      J’ai raté le délai d’appel, à présent le JDE me refuse une seconde audience, il est en tort, et je vais engager une action auprès du doyen des juges.Je déclare la guerre au JDE.

      Trois jugements successifs et une expertise psychiatrique ont jugé que je n’ai jamais démérité et que ce serait mauvais pour les enfants de remettre en cause la RA. Mme l’éduc a balayé tout ça en 8 pages de mensonges.

      Je dépose plainte contre l’éducatrice pour incapacité, favoritisme, rapport uniquement à charge, etc... etc....

      Je dépose également une plainte à la Halde pour rapport sexiste.

      J’ai demandé la consultation de mon dossier à l’ASE, ils m’ont refusé. J’écris au préfet. Ils ne peuvent pas refuser, mais bien sûr, je vais découvrir des choses qui les gênent. A moins que le dossier soit vide (... vidé...), ce qui sera encore pire pour eux.

      Ne vous laissez pas faire. Les educs ASE et certains JPE sont les pires prédateurs des familles.

      Ils peuvent toujours crier au scandale, les faits sont là, irréfutables, ils crèvent les yeux et détruisent les enfants.

      Les familles d’accueil subissent aussi les fantasmes destructeurs de ces personnes.

      Contactez moi, je peux aider certaines personnes . Aide de premier niveau certes, mais il faut bien commencer par la première marche..... Ne vous laissez pas abattre, défendez vous, ils n’ont pas tous les droits, ils se contentent de les prendre parce que les parents ne savent pas qu’ils peuvent se défendre, ils jouent sur l’intimidation.

      cassidile-dogo chez yahoo.fr

    • Le 9 avril 2010 à 16:50, par Léa En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Il y a quelque chose qu’il faut savoir car cela explique beaucoup d’abus, de rapports mensongers ou grossièrement incompétents.

      1) on confie des mesures d’action éducative à des organismes privés (Olga Spitzer = service social de l’enfance, OSE et autres) ;

      2) les juges laissent à ces mêmes organismes le pouvoir de décider s’ils doivent intervenir dans une famille (IOE, enquête sociale) ou s’il faut poursuivre les mesures déjà ordonnées (AEMO, placement) ;

      3) personne ne contrôle leur activité, ils font absolument ce qu’ils veulent ;

      4) ces organismes privés sont payés par le Conseil général. Comment ?

      Article 3 de l’arrêté du 1er décembre 2005 (JO du 13 décembre 2005 - Numéro 289 - Page 19176 à 19177)
      "Les dépenses des services mentionnés à l’article 1er qui délivrent des prestations d’action éducative en milieu ouvert sont prises en charge dans les conditions prévues par le décret du 22 octobre 2003 susvisé, sous la forme d’un prix de journée. Les services perçoivent un prix de journée pour chaque personne faisant l’objet de la mesure exercée et dans la limite de la durée fixée par l’autorité judiciaire."

      Les services mentionnés à l’article 1er sont les "établissements et services qui sont habilités, conformément à l’article L. 313-10 du code de l’action sociale et des familles, à mettre en oeuvre les mesures éducatives, les mesures d’investigation et les mesures d’enquêtes sociales ordonnées par l’autorité judiciaire en application de l’ordonnance du 2 février 1945, du décret du 18 février 1975, ou encore de l’article 1183 du nouveau code de procédure civile susvisés, et dont les prestations font l’objet d’une tarification arrêtée par le représentant de l’Etat dans le département en application des dispositions du b du III de l’article L. 314-1 du même Code"

      Attention, "la tarification du service d’action éducative en milieu ouvert est fondée sur le nombre de journées et non sur celui des prises en charge" cf. : COMMISSION NATIONALE DU CONTENTIEUX DE LA TARIFICATION SANITAIRE ET SOCIALE Contentieux n° A.96.070, Séance du 26 octobre 2001
      (en ligne : http://www.sante-sports.gouv.fr/dossiers/cntss/2001/oct01/a96070.pdf)

      En clair, l’organisme touche le prix de journée pour la durée de l’AEMO fixée par le juge et non pas en fonction de ses interventions.

      Ce prix de journée est négocié chaque année avec le département sur la base du budget de l’année précédente de l’association et de ses prévisions d’activité.

      Par exemple, le prix de journée a été fixé à 11,17 € dans le Val de Marne en 2009, à 12,24 € à Paris (bulletin municipal officiel de la Ville de Paris du 9 juin 2009, page 1475), à 16,80 € dans l’Essonne pour 2008…

      ILLUSTRATION

      Par exemple, pour un prix de journée de 12 €, si un juge des enfants ordonne une AEMO pour un an, l’association touchera 12 x 365 = 4.380 €

      S’il y a 4 enfants dans la famille ce sera 4.380 x 4 = 17.520 €
      ET CELA QUOIQU’ELLE FASSE….
      Exemple : l’association colle une assistante sociale, même pas un éducateur, sur le coup, et l’assistante sociale consacre 5 heures par mois pendant 10 mois à la famille (on enlève les vacances), l’association touche 350 € de l’heure. QUI DIT MIEUX ?

      Ne soyons pas surpris qu’une association à but non lucratif se paie des locaux somptueux, des psychiatres copains qu’ils font venir de l’autre bout de la France et sans doute beaucoup d’autres choses scandaleuses dans le genre...

      Et bien entendu, pour ne pas perdre la manne, à la fin de la première durée d’AEMO on se dépêche de pondre un rapport disant qu’il faut continuer, que les enfants ne sont pas bien éduqués, même si c’est archi-faux, etc…

    • Le 12 avril 2010 à 14:19, par francoise fournier En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      réponse à Lea :
      je suis françoise fournier, en préparation des 4 ème assises nationales de la protection de l’enfance, sur Marseille.
      - je participe à une émission de radio : "Radio Galére" où il sera débattu des sujets abordés lors de ses assises "sans les parents"

      vous pouvez intervenir en direct les lundi à 19h, suivant le sujet du jour :
      -ce soir, c’est la loi du 5 mars 2007.

      pour que les auditeurs comprennent nos combats, j’aimerai qu’à chaque sujet abordé, il y est :
      - un support à la loi,
      - des témoignages de professionnels de l’enfance,
      - de parents bien attendu.....

      mes blogs :
      parents-disqualifies-enfants-places.over-blog.com/
      syndrome-alienation-institutionnelle.over-blog.com/

    • Le 17 avril 2010 à 10:39, par Marik En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      C’est un scandale financier et judiciaire.

      Pourquoi les juges ordonnent-ils des mesures d’assistance éducative à tort et à travers ?

      Pourquoi ne peuvent-ils pas respecter la liberté de conscience des individus ?

      Pourquoi refusent-ils de contrôler les organismes privés auxquels ils confient ces mesures ?

      Pourquoi la protection de l’enfance est-elle dévoyée dans des règlements de comptes après divorce ou de voisinage ?

      Pourquoi la justice accepte-t-elle de se laisser instrumentaliser par des hommes et des femmes qui veulent seulement pourrir la vie de leur ex-conjoint ?

      De quoi ont-ils peur ces magistrats qui n’osent pas dire non à cette dérive ?

      Pourquoi les départements acceptent-ils de payer des sommes pharamineuses à des organismes privés sans exercer aucun contrôle sur ce qu’ils font ?

      Avec un tel système, il ne faut pas s’étonner que les enfants véritablement maltraités soient abandonnés à leur triste sort, tandis que des assistantes sociales incompétentes s’acharnent sur des enfants aimés, entourés et bien élevés.

      Et si l’on distribuait seulement la moitié des sommes gaspillés dans des mesures d’assistance éducative infondées pour aider les familles qui en ont besoin tout le monde serait gagnant, sauf ces organismes qui se sucrent en détruisant des familles.

      .

    • Le 28 avril 2010 à 12:00, par Yasmina En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Hier un bébé de 10 mois est mort de déshydratation après 5 jours d’agonie, seul dans son berceau...

      C’est une réalité insoutenable.

      Le Conseil général avait signalé la situation de cet enfant aux services sociaux, le juge des enfants avait ordonné une mesure d’assistance éducative renforcée confiée à ... une association.

      Les travailleurs sociaux ce cette association n’ont rien fait, ont laissé périr ce bébé.

      Vraisemblablement étaient-ils trop occupés à persécuter des familles saines, sur la base de dénonciations calomnieuses, sous prétexte d’inquiétude sur le devenir psychologique d’enfants trop bien dans leur peau.

      Quand les pouvoirs publics cesseront-ils de donner carte blanche à des associations qui ne font l’objet d’aucun contrôle ?

      Quand les pouvoirs publics prendront-ils les mesures qui s’imposent pour que les enfants réellement en danger soient effectivement protégés et que l’on cesse de jouer le jeu de pères ou de mères pervers narcissiques qui instrumentalisent les services judiciaires et sociaux pour se venger des conditions d’une séparation ?

      QUI SAURA SONNER LE TOCSIN ??????????

    • Le 28 avril 2010 à 16:33 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      L’émoi provoqué par la mort atroce de ce bébé pourra-t-il provoquer enfin une réaction des pouvoirs publics ?
      La protection de l’enfance est aujourd’hui inefficace parce qu’elle est dispersée et confiée à des organismes privés dont aucune autorité ne contrôle la compétence et les interventions.
      Selon la Cour des droits de l’homme, l’assistance éducative doit être ordonnée seulement en cas de danger grave, de besoin social impérieux.
      En France, on ordonne une mesure d’assistance éducative pour tout et n’importe quoi. Sous prétexte de craintes pour la construction psychologique d’un enfant ou autres balivernes, le juge des enfants et les services sociaux se transforment en bras armé d’un parent qui cherche à nuire à l’autre après un divorce, (ce qui a pour résultat de faire perdurer indéfiniment les conflits puisque tant que celui qui joue la victime bénéficie d’une oreille complaisante, il n’a aucune raison de cesser).
      Pendant ce temps, de nombreux cas où une intervention serait véritablement justifiée car il y a de véritables carences éducatives avec un danger avéré pour l’enfant ne sont pas traités.
      Or ces cas où l’enfant est vraiment en danger ne sont pas si nombreux.
      Il n’y a pas besoin de plus de moyens pour s’occuper d’eux, il faut faire en sorte que les moyens ne soient pas détournés pour être affectés à une quantité invraisemblable d’affaires ne relevant pas de l’enfance en danger.

    • Le 3 mai 2010 à 19:17, par angelique En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Bonjour,

      J’ai besoin de votre aide, pour les abus des services sociaux, j ai beaux faire des effeorts, mais il y à toujours un problème dès le retour de mon enfant.

      sa deviens inssuportable aidez moi..

      je me dois me confier de ses abus qui me rabaisse et ne trouve plus les moyens pour me défendre..

      merci

    • Le 22 mai 2010 à 16:34, par Michel En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Bonjour.
      Ma compagne viens de subir ce genre de "désagrément". Suite a un rapport mensonger mis en oeuvre par son ex , pour ne pas rendre la garde des enfants et surtout pas les allocation qu’il touche ,sur elle , ainsi, que sur moi , fait par l’ASE des hautes Pyrénées , a Tarbes , nous avons été qualifiées sur le jugement du JPE de Tarbes Meme MC.A , de drogués , alcooliques et violents , sans que rien , ni aucune preuve , examen médical ou enquête quelle que soit ne soit faite, simplement sur les rapport honteusement mensonger des services sociaux qui ont un partis pris bien affirmé pour le père , une collusion évidente , voire même douteuse avec l’assistante sociale et les éducatrices du secteur ouvert mandaté par le département.Toute consultation des dossiers nous a été refusé , ont ils quelque chose a cacher ? Nous avons écrit , en recommandé a cette JPE , et depuis cinq mois n’a pas "dénié" nous répondre , nous avons demandé a ce qu’elle mandate des enquêtes policières , des expertises médicales pour preuve de notre bonne fois, et la justice fait le "mort" et le rapport ainsi que ce jugement cours toujours au vues et sus de tout le monde.Cela nuis a ses enfants qui sont tombés dans les mains d’incompétents de toute sorte , psy , educs , qui font des "rapports" bidons après des rencontres de trente minutes en cinq mois et jusqu’à des tests encore plus bidons déclarant son fils de sept ans en grande souffrance car il ne veux pas dessiner de pieds a ses bonshommes !!!!sa tête ne serait donc pas en accord avec son corps , dixit la psy , ça porterais a rire si ce n’était pas pris autant pour argent comptant par tout ces soit disant "bien pensants " incompétents. Mais cela est déjà bien mieux je dois dire que les rapports de l’ASE qui j’en suis témoin , ne nous ont vu que dix minutes en deux ans !!! Cela brise notre vie sociale , rends nos rapports curieux et bizarres avec tout service social , et bien sur empêche que je puisse postuler a une place de cadre a la ville , place refusée après divulgation de ces rapports administratifs honteux.Qui as dit que ces services étaient au service du citoyen ? De l’enfance ? Tout prouve que non . Pourquoi nos gouvernants dilapident t’ils l’argent des contribuables dans tant d’incompétences et avec autant d’acharnement ? J’ai honte de mon pays !

    • Le 29 mai 2010 à 18:29, par Pick En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Je suis Éducateur Spécialisé et effectue des mesures de type AEMO pour un service social bien connu de Marseille depuis 3 ans.

      Alors pour rétablir un peu de vérité :
      Salaire en début de carrière 1240 Euros net
      Actuellement 1330 Euros net

      Aucune prime n’existe, ni de risque ni de déplacement ni pour les placements !!!!!!!!

      L’objectif principal étant le maintien à domicile, il faut savoir que si un placement doit être réalisé on peut considérer que c’est un échec !

      J’interviens en binôme avec une assistante sociale et nous faisons le même boulot, Éducateur Spécialisé et Assistante Sociale ont eu la même formation sur la protection de l’enfance et l’échange éducatif.
      A deux nous avons + ou - 65 enfants sous mesure éducative.
      Le prix de journée est de 8,60 Euro, en gros on a 0,20 de budget par enfant et par mois pour réaliser des repas ou des sorties éducatives afin de mieux connaître l’enfant.
      On passe en moyenne 1h30 dans les familles toute les 2 semaines.
      Alors c’est sûr en cas de situation urgente (maltraitance, incident grave, fugue, inceste) on passe plus de temps et essayons de réagir rapidement.

      Les services agrémentés pour exercé des mesures judiciaires passent en commission tous les 2 ans pour valider leur projet et re-négocier leur agrément.
      Les services financeurs (cg) décident du prix de journée, depuis la loi de 2007, des rapports circonstanciés doivent leur être envoyé afin d’informer de la situation des enfants suivis.
      il arrive régulièrement que les budgets alloués ne soient pas versés en temps voulu, les services sociaux travaillent donc à crédit et doivent sans cesse solliciter leurs forfait de paiement.

      Toutes les mesures éducatives sont sous-traités par des associations, les services d’état (Pjj) et territoriaux (Cg)exerçant d’autre type de mission et de mesures éducatives.

      Les familles ont accès aux rapports écrits destinés aux juge pour enfants.
      Ces rapports sont accessible 1 mois avant la fin de mesure éducative.

      Le placement :
      il existe peu de place en foyer (gérer par les conseils généraux, directement affiliés ou là aussi financé et orienté vers des associations)
      Nous ne touchons aucune prime !!!!

      Les travailleurs sociaux ne décident de rien, même soumettre une idée à un magistrat est proscrite. Nous ne pouvons que relater des faits et apporter un avis extérieur sur les fonctionnements familiaux.
      Nous ne décidons pas de garder une mesure éducative ou de orienter vers tout autre service ou mesure.

      Alors après ces bribes d’informations j’espère que les précédents avis seront moins mitigés.
      Je me tiens à disposition pour toutes informations complémentaires.

      Deux textes prévaut dans le cadre de mesure éducative, l’article 375 du code pénal et la loi de 1945 sur la protection de l’enfance. Ces textes expliques clairement les raisons, droits et devoirs.
      La Convention européenne des droits de l’homme précise la nature et l’obligation à défendre ou protéger les droits de chaque individu (enfants compris).
      De plus la France a également ratifier en 1989 la Convention Internationale relative aux droits des enfants.

      Enfin je vous conseille un site qui pourra je l’espère mieux vous informer.

      http://www.droitsenfant.com/index.htm

    • Le 29 mai 2010 à 22:15 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Le principe de l’AEMO c’est de détruire une famille. Une assistante sociale a mis en place une AEMO soit disant pour aider une mère de 3 enfants en bas âge. Elle était là pour épauler la maman et lui donner quelques conseils. Elle est allée chez cette famille seulement 5 fois et a constaté que la maman était une maman maltraitante et l’a trainé devant le juge d’enfant pour un placement. Tout ce qu’elle avait appris à l’école, l’AEMO l’a appliqué sur cette famille.
      Heureusement que cette famille a été soutenu par tous les professionnels qui cotoyaient ses enfants.
      Le juge a ordonné une enquête et celle ci s’est averait tres satisfaisante.
      Cette famille a du reprendre une vie normale mais ne fait plus confiance aux assistantes sociales et surtout aux jeunes educateurs qui se croient tout permis et peuvent détruire toute une famille.
      Je souhaite que du bonheur à cette famille

    • Le 29 mai 2010 à 22:26 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Je suis tout à fait d’accord avec vous !!!!!
      Ma famille a subi une injustice !!! Une AEMO nous a accusé de parents maltraitants alors que nos enfants se portent très bien. Elle a demandé un placement de mes enfants, heureusement que mon avocat et moi avions toutes les attestations des professionnels qui disaient le contraire. Nous avons eu une enquête sociale qui est très favorable !!!!! La juge a classé notre dossier. Mais je peux vous dire que j’ai la haine contre cette AEMO et je pense aux autres familles qui ont subi cette injustice et qui malheuresement n’ont pas pu se défendre.
      Je suis prete à alerter les medias !!!!

    • Le 30 mai 2010 à 16:06, par Pick En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      C’est facile de raconter une histoire sans indiquer de source ou sans signer son message.
      Juste pour confirmer que quoi que peut analyser ou préconiser un travailleur social, la dernière décision appartient bien aux juges des enfants !
      Alors avant de dire encore et encore des sornettes, ayez l’honnêteté de reconnaître vos tords et arrêter de stigmatiser des situations en mélangeant tout !

      Pour résumer je vous cite : "Une assistante sociale a mis en place une AEMO" ----> mais bien sûr, elle a vu de la lumière et elle est rentrée. Elle a dû se dire "tiens j’ai que ça à faire d’embetter les gens !!!"

    • Le 6 juin 2010 à 21:28, par Michel En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Bonjour
      Je tiens a vous poser quelques questions sur un fonctionnement d’une mesure d’AEMO qui me semble très curieuse , avant d’en faire part a la presse et au conseil d’état. j’attends donc une réponse de votre part rapidement.Cela commence par un jugement ou la Mère de famille est diffamée par l’ASE , diffamation prise pour vérité par Mme la Juge sans aucune enquête , ou la maman est déclarée droguée et alcoolique , violente même ,sans que rien n’étaye ce témoignage , et en plus totalement faux !Je suis moi même témoin de l’incompétence totale de l’ASE , de rapports falsifiés a charge pour cacher, une totale méconnaissance du terrain ,et du travail inexistant et bâclé.
      La dessus son fils est placé, dans une famille d’accueil, avec sois disant tout ce qu’il faut,et là, cet enfant doit être mieux que chez lui !!! Des Rats, Pas de chauffage de tout l’hiver , en proche montagne , y ai vu des, moins huit degrés dans sa chambre , aucun éducateur , assistante sociale deux fois trente minutes en six mois, pas d’école,45 km a pieds pour rentrer les week end dans sa famille !Pouvez m’expliquer en quoi ce genre de mesure est pour le bien fait de l’enfant ?? Que deviens l’argent des contribuable qui sert a financer des lieux même juste acceptable ?La famille d’accueil ne touche rien depuis maintenant une année... J’ai a ce jour les moyens de saisir presse et télévision afin de témoigner de tout ceci et de faire suffisamment de publicité a tout ça , avec les noms des responsables , cela se passe dans les Hautes Pyrénées.Je souhaite rencontrer le Médiateur et vite car l’avenir d’enfants et de familles est en jeu et la juge fait la morte malgré un courrier en recommandé...
      Michel

    • Le 7 juin 2010 à 15:01, par francoise fournier "agathe" En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      contactez :
      "lesabusdesservicessociaux"

      nous sommes 2 millions de parents en réseaux un internet.

      et dans toute la France.
      ne restez pas seul.

      je suis Agathe,
      les lundi soir à 19h , j’ai une émission sur "RADIO GAL2RE"

      "AU SECOURS ! Les services sociaux disent aider nos enfants"
      tel 04.91.08.28.10

      ce soir 7 juin 2010, interviendra Sandrine Porcher auteur d’un livre :

      "NON ASSISTANCE A ENFANTS EN DANGER"
      plaidons tous coupables.

      les 28,29 juin 2010 sur Marseille, ce sera les 4ème assises nationales de la protection de l’enfance.

      lors de cette manifestation,
      il n’y aura pas de place à la parole des parents de ces enfants victimes.

      http://syndrome-alienation-institutionnelle.over-blog.com/

      http://parents-disqualifies-enfants-places.over-blog.com/

      à bientôt

    • Le 8 juin 2010 à 13:58, par Véronique En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Si éducateur et assistant de service social ont la même formation, pourquoi y a-t-il 2 métiers, 2 formations, 2 diplômes ?

      C’est en vertu de cette formation qu’une assistante sociale peut dire à un enfant qu’elle rencontre pour la première fois qu’elle ne veut pas entendre ce qu’il a à dire et qu’il ment ?

      Savez-vous que les juges entérinent presque systématiquement les rapports des services sociaux, même quand il y a des preuves contraires.

      J’ai vu un dossier où 5 témoins différents démentaient la version d’une assistante sociale, 2 psychiatres et un pédiatre demandaient à être entendus parce qu’ils connaissaient bien la famille et ne pouvaient pas accepter de laisser passer les délires de cette AS : la juge n’a même pas voulu lire les témoignages et les lettres, elle a dit qu’elle n’avait pas le temps et que le rapport de l’AS suffisait ?

      Or, la formation d’un assistant de service social, et peut-être celle d’un éducateur si vous dites que c’est la même chose, n’est pas suffisante pour lui permettre de juger des gens.

      On voit surtout dans la pratique de l’intolérance et de la bêtise, de la part de personnes qui n’ont aucune notion de psychologie et veulent seulement formater les gens selon un modèle unique, celui qu’elles connaissent.

    • Le 8 juin 2010 à 14:07, par Tallula En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Si les juges des enfants regardaient les dossiers, cela se saurait....

      Tous les problèmes viennent du déni de justice dont sont victimes les familles qui se trouvent prises dans le désastreux engrenage de l’assistance éducative.

      On peut se demander à quoi servent les 6 années minimum d’études des juges, si c’est pour s’en remettre à une assistante sociale pour décider du sort d’enfants.

      Quand un travailleur social décide d’imposer envers et contre tous sa vision personnelle (ou celle de l’association dont il dépend) des relations familiales, cela ne peut pas aller parce que chacun à droit à sa liberté de conscience et que le monde ne peut pas être uniforme.

    • Le 11 juin 2010 à 13:58, par Carrotcake En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Il faut parler de ce que l’on connait.

      Il s’agit de l’article 375 du code civil et non du code pénal.

      Ce n’est pas parce que des textes protecteurs existent qu’ils sont systématiquement appliqués.

      La France se fait régulièrement condamnée par la Cour européenne des droits de l’homme pour violation des dispositions de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales.

      Souvent les juges des enfants ne respectent pas les droits des familles. Si on n’a pas les moyens d’avoir un bon avocat, l’accès au dossier est un véritable parcours du combattant et arrivé à l’audience on n’a que le droit de la fermer, le juge vous balance qu’il ne croit que les services sociaux parce que ce sont des professionnels (!!! de quoi ????).

      Les juges oublient d’informer les enfants de leur droit de demander un avocat alors que l’article 388-1 du code civil les y oblige.

      Il y a des assistantes sociales (enfin au moins une) qui entrent en fureur parce que des enfants ont obtenu l’assistance d’un avocat.

      Il y a des juges et des assistantes sociales qui vous rient au nez lorsque vous évoquez la convention internationale des droits de l’enfant et aussi la convention européenne sur l’exercice des droits de l’enfant.

      La plupart des gens concernés par ces problèmes ne peuvent pas avoir recours à des avocats pour les défendre. Et beaucoup d’avocats intervenant dans ce domaine ont peur d’invoquer des règles de droit et des principes, ils préfèrent essayer de se concilier les juges et conseiller aux intéressés d’essayer de mettre l’assistante sociale de leur côté quitte à mentir et à renier leurs valeurs morales.

      Monsieur Pick, vous faites surement correctement votre travail mais réveillez vous, vous ne vivez pas dans le monde de oui-oui.

      Vous n’êtes pas beaucoup payé mais à la tête de votre association, il y a des administratifs qui sont là pour faire rentrer l’argent.

      Il y a des décisions de justice qui sont injustes et des gens qui n’ont pas les moyens matériels ou intellectuels de se défendre et d’exercer toutes les voies de recours.

      Il y a des assistantes sociales qui prétendent oeuvrer dans des domaines - éducation, psychologie- dans lesquels elles ne sont pas compétentes, il y en a qui sont de mauvaise foi et d’autres qui se laissent manipuler. Mais que ce soit par bêtise ou malhonnêteté, le résultat est le même : des rapports partiaux gobés sans réfléchir par le juge et des enfants qui soufrent à la fin.

    • Le 11 juin 2010 à 14:06, par Carrotcake En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      D’accord M. Pick c’est un raccourci

      En réalité vous avez :

      1) une délation

      2) une enquête sociale par une assistante sociale qui fait un rapport qui ne conclut jamais que la famille est bien (logique, elle ne peut pas être 100% conforme aux normes de l’AS)

      3) un juge qui lit la conclusion du rapport et rien d’autre, ne veut pas entendre la famille, ni regarder les pièces qu’elle apporte.

    • Le 13 juin 2010 à 00:07, par Pick En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      M.Carrotcake permettez moi de présenter ma liste :

      1) Le signalement est établit et transmit au conseil général qui soit traite la situation (avec coopération des familles) soit transmet au procureur de la république si condition de vie de l’enfant est urgente ou famille non coopérante (abus, addiction, violence...) ou clôturer le signalement

      2) Le procureur peut décider de transmettre les informations préoccupantes au juge pour Enfants après recueil des éléments sociaux et familiaux ou clôturer le signalement

      3) Le juge peut ouvrir un dossier de protection de l’enfance ou clôture la situation

      4) Le juge peut décider d’une mesure d’enquête sociale ou d’investigation, il peut également se passer de cette mesure. Il reçoit la famille et l’enfant en question pour poursuivre ou arrêter la prise en charge judiciaire.

      5) La mesure d’investigation ou d’enquête rend ses conclusions au juge, retour devant le juge pour tout le monde

      6)Le juge peut décider d’une mesure éducative de protection type AEMO ou de l’arrêt de la situation

      7) La mesure d’AEMO rend ses conclusions, la décision revient une nouvelle fois au juge.

      Enfin sachez qu’un juge à l’obligation de recevoir la famille et les enfants concernés, que chacun est libre de se présenter et d’être assisté d’un avocat.
      Je ne comprends votre paragraphe 2 : "elle ne peut pas être 100% conforme aux normes de l’AS" quelles sont ces normes mis à part les articles 375 et la loi de 1945 relatives à la protection de l’enfance ?

      Vous savez la plupart des mesures éducatives que je suis amené à faire concerne du soutien à la parentalité, des parents déboussolés en quête de réponse et de soutien avec qui nous cherchons le mieux dans la prise en charge de leurs enfants. Certaines de ces familles habitués à évoluer dans cette société de consommation nous repère comme un service jetable.
      Une partie de ces mesures s’avère inutile et ne sont là qu’à défauts d’une prise en charge plus classique ou d’un isolement des parents : famille élargie, amis, école, médecin...

      Sur 35 enfants dont je suis en référence, 15 nécessite un simple soutien, 10 sont des jeunes ayant des problèmes de comportement, 5 dont la situation demeure précaire et préoccupante et 5 difficile d’accès avec des familles qui ne coopère pas.
      Il est vraisemblable que ces 5 dernières mesures vont être stoppé si aucun éléments ne peut être apporté, il faudrait un constat de maltraitance ou une situation avérée pour agir.

      Les familles doivent être entendu dans leurs demandes et souhaits mais il ne faut pas rendre plus compliqué les situations et tenter de maintenir le dialogue avec les travailleurs sociaux.
      C’est sûr la fierté en prend un coup et on se sent blessé que des inconnus viennent s’immiscer dans notre vie privée mais l’intérêt reste celui du bien être de l’enfant.
      Il n’y a aucun plaisir à retirer des enfants, juste des regrets d’en être arrivé là.

    • Le 13 juin 2010 à 00:24, par Pick En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Je reprécise, éducateurs spécialisés et Assistants sociaux ont la même formation sur le module "protection de l’enfance", après il y a des spécificités propres à chacun des corps de métier.

      Je suis d’accord avec vous : le seul pouvant juger reste le Juge des Enfants.Le juge peut ensuite demander des expertises indépendantes (psychologique, psychiatrique, médicale...) pour analyser au mieux la situation et statuer.

      Après concernant l’aspect psychologique, un module important de formation y est consacré de même qu’une partie conséquente sur le développement de l’enfant, ces techniques enseignées et reconnus sont à la base des interventions éducatives.

      Comment avez-vous pu avoir accès à un dossier, vous êtes avocate,travailleur social, greffier ?

      Que connaissez-vous de la pratique au quotidien, il serrait mieux d’apporter une critique constructive qui permette réellement de faire avancer le problème au lieu de sans cesse généraliser toutes les pratiques.
      Oui il y a des incompétents parmi les travailleurs sociaux mais c’est partout pareil, on sort pas du même moule.

    • Le 13 juin 2010 à 00:34, par Pick En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Mea-culpa pour l’article 375 ;-)

      Je veux bien tout entendre sur nos interventions, dérapages, prise de position etc. Mais les familles, quelles sont leurs places et responsabilité dans tous ça ?
      Je vous rappelle qu’il existe les textes de loi de 2002 relatives aux droits des usagers censés mieux accompagner et renseigner des droits et devoirs de chacun dans les "prestations offertes".

      Nul n’est censé ignoré la loi, et donc mieux connaître ses droits.

      Après sur le reste de votre commentaire je suis en grande partie d’accord avec vous, mais minimiser vos propos svp.
      Les incompétents représentent une minorité tout comme les familles pour lesquels une mesure éducative n’est pas approprié.
      La grande partie des mesures éducatives concernent malheureusement des carences importantes où il ne faut pas être un énarque pour faire ce triste constat d’échec parental.

    • Le 17 juin 2010 à 13:50, par Carrotcake En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Je veux dire que les assistantes sociales ont leur propre représentation de ce que doivent être les relations familiales et que, malheureusement, le système leur donne le pouvoir de l’imposer. Exemple : les enfants doivent aimer leurs deux parents, si ce n’est pas le cas, peu importe les raisons, elles essaient (maladroitement et cela peut faire des dégâts) de les redresser.

      Je veux dire que la protection de l’enfance est maintenant détournée, instrumentalisée dans des contentieux après divorce et que, bien souvent, les intervenants sociaux prennent le parti d’un parent, celui qui sait le mieux jouer les victimes, et oublient qu’ils devraient protéger les enfants et pas le père ou la mère.

      Et pendant que l’on se perd à prolonger les conflits post-divorce (ne pas se leurrer, le seul moyen pour les arrêter serait de ne pas s’en occuper), des enfants véritablement en danger ne sont pas protégés parce que, pour eux, personne n’ira se plaindre.

      Croyez vous réellement qu’un juge peut se faire une opinion sur la situation d’une famille à l’occasion d’une audience de 30 minutes dans son cabinet, alors que les intéressés sont sous l’empire du stress provoqué par une rencontre judiciaire à laquelle ils ne sont pas habitués ?

      Croyez vous réellement que toutes les personnes concernées aient les moyens de payer un avocat ou qu’un avocat désigné par l’aide juridictionnelle ait les moyens de véritablement étudier les dossiers ?

      Etudier et comprendre un dossier d’assistance éducative, ce qui veut dire lire et réfléchir sur toutes les pièces et écouter les intéressés après les avoir mis à l’aise, représente de nombreuses heures de travail. Aucun juge ne passera 10 ou 20 heures à étudier un dossier et, pour un avocat, cela représente plusieurs milliers d’euros.

      Donc le rôle du juge et de l’avocat cela ne protège de rien.

      Il y a certes des avocats d’enfants qui font correctement leur boulot mais ils ne sont pas forcément considérés par les juges et souvent les familles ne savent même pas que les enfants ont ce droit.

    • Le 22 juin 2010 à 16:59 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      1) on confie des mesures d’action éducative à des organismes privés (Olga Spitzer = service social de l’enfance, OSE et autres)

      Je defende ca !

    • Le 17 septembre 2010 à 02:44 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      J’ai lu votre message, s’il est toujours d’actualité, je dénonce avec vous ces pratiques.

      Cdlt

    • Le 30 septembre 2010 à 02:33, par vicky En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      j ai ete victime mon enfant place a l ASE directement suit a une fausse attestation de 40 pages et complice du pére...Aucune enquete avant L ase touche de l argent mais ils ont peur de la presse.ET olga spitzer touche d énorme subvention de la part du pére de mon fils...Ils ont dit que je fesais de mon fils un enfant roi accusations contre moi les pires.. inventions sur mon enfance.Battue par le pére de mon fils et il a obtenue la garde je vie a Paris et lui en Belgique.J ai menace que la presse sans melerai et ils ont peur...Ils touchent beaucoup d argent le pére etant tres riche la donation a été importante mais mon fils a ete placé six mois a L ASE tous corrompus...C est un drame pour ses méres qui passent par ses associations

    • Le 30 septembre 2010 à 02:50, par vicky En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      oui une assistante peux tout faire je viens d une famille modeste et j ai reussi a paris, on m a repproche de voyage bcp avec mon fils et dans faire un enfant roi.J avais les moyens de ne pas travaillé et d avoir des revenus importants des accusations ont ete faites sur moi et avec des mois d enquetes il s est averée que c etait faux mais les assistantes sociales jalouses de mon train de vie pourtant le pére etait poursuivi pour non paiement de pension coups et blessures a plusieurs reprises menaces de mort et il n a pas reconnu l enfant tout de suite...Il a la garde en belgique et moi je vie a paris.Un conseil les assistantes sont jalouses le juge peut etre bon mais c est elle qui font la plui et le beau temps et l argent gagne tjrs sur les moins riches

    • Le 30 septembre 2010 à 02:55, par vicky En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Aucune enquete avait ete faite avant que son pére conduise directement notre fils au juge avec un complice qui a fait une attestation de mensonges de 40 pages !!!!

    • Le 18 octobre 2010 à 16:49, par chouchou En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      BONJOURS je suis une famille d’accueil qui vien d’etre licencier suite a l’abus de pouvoir d’une jeune educatrice je trouve dommage que celle ci ses bute contre moi au detriment des deux petite fille que j’acceuillais depuis l’age de 3mois et elle mon ete retire a l’age de 6ans de plus les parent de cette enfant on demenager pour ne plus travailler avec cette educatrice mais malheureusement en vin car la petite est dans une autre famille et desormais suivie par une autre educatrice dans cette histoire qui a payer de sa personne (pas l’educatrice) la famille d’accueil et surtout la petite qui ne comprent toujours pas pourquoi elle a ete retire on lui a dit que sa tata n’a pas respecter les regles et a moi on ma dit que c’etait pour un conflit de loyaute ses facille de detruire une enfant et des educatrice qui n’on pas de coeur pour elle se n’est qu’une situation de plus un numero de dossier en attendent cette petite fille n’a plus le droit de nous voir j’ai un droit d’ecriture mais on ne lui lit pas les courrier on me les renvoie alors que je fesait se metier depuis 8ans sans jamais eu de probleme avec les autre service et que a l’heur d’aujourd’hui je ne sas toujours pas ce qui a pu ce passer mais je me bat avec les moyen que j’ai il me reste le tribunal car je veu bien etre punis lorsque je fait des erreur mais pas etre punis si je n’en fait pas

    • Le 19 octobre 2010 à 13:34 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Vous avez eu de la chance. Pour mes petits cousins, la juge à Nanterre a refusé d’entendre pédiatre et psychiatrzs qui avaient pris la peine d’écrire pour dire qu’ils voulaient être entendus car l’assistante sociale mentait. Elle a refusé de lire les avis d’autres professionnels, elle n’a pas voulu écouter l’avocat des enfants, elle a dit qu’elle n’avait pas de temps à perdre et que seul comptait ce que racontait l’assistante sociale qui était manifestement achetée par la mère des enfants. UNE INCROYABLE INJUSTICE dont le point de départ est bien l’incompétence ou la cupidité d’Olga Spitzer

    • Le 9 novembre 2010 à 13:33, par arnaud En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      bonjour,

      Aujourd’hui nous nous sentons victime d’un abus et d’une dénonciation calomnieuse de la par d’une AS

      Les faits:Le 15 juillet notre fille agée de 2ans est mordu par un chien ,alors qu’elle se trouvé chez des amis pendant notre travail à 300km de notre entreprise(nous gérons l’été 7 salariés et 5 points de vente)
      Les pompiers nous ayant indiqué que notre présence n’était pas obligatoire et que les blessures n’était en rien vital,nous ne nous sommes pas rendu a l’hopital et avons confié plein pouvoir à notre amie ,qui déjà avait fait piqué son chien dans l’heure qui à suivi l’incident.

      L’assistante social de l’hôpital à signalé une maltraitance/et/ou une négligence et le juge des affaires familiale ,sans nous entendre à demandé une enquête a AGEP.

      Comment d’un banal accident ,une AS peut elle présumer d’une maltraitance ou négligence.

      Cette dernière s’est sentie outragré du fait que nous ne nous rendions pas a l’hopital.

      L’hôpital à garder 5 jours ma fille pour quelques points de sutures.J’ai dit a l’époque que si mon enfant n’était remis a la personne responsable de celle ci le lundi ,je déposerai plainte contre l’assistante social ,donc de là elle s’est permis de faire un rapport calomnieux.
      En résumé ,aujourd’hui les services sociaux souhaiterai voir les parents ne plus travaillé ,car ils veulent les obliger à être présent 24H/24 auprès de leurs enfants.

      Lorsque votre enfant est à l’école ,il faudrait ne pas aller travailler au cas ou.

      Aujourd’hui je souhaite me retourner contre cette assistante sociale et contre ceux qui ont participé a cette cabale ,mais personne ne souhaite communiquer le rapport fait par les services sociaux.

      Comment obtenir ce rapport

      Merci de votre aide

      Arnaud Basset

    • Le 12 novembre 2010 à 13:56, par Yasmine En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Je peux confirmer que les assistantes sociales d’Olga Spitzer peuvent être dangereuses, ce à partir du cas d’une famille que je connais bien (j’ai eu tous les enfants comme élèves).

      La mère a des comportements exhibitionnistes et incestueux. Une cour confie la garde des enfants au père, avec un droit de visite pour la mère. Après quelque temps, les deux aînés refusent d’aller chez leur mère. A part ça, ils sont très bien, pas de problème à l’école ou dans les activité extra scolaires, ils sont appréciés des autres enfants, bien élevés.

      Le plus jeune continue les séjours chez sa mère, il est en échec scolaire dès l’âge de 6 ans, a des comportements inadaptés à l’école (masturbation compulsive), automutilation (il s’arrache la peau des bras, des joues et des cuisses). Un signalement est fait sur cet enfant, une éducatrice des services de la ville fait un rapport disant que la mère est malade et que cela se répercute sur cet enfant.

      Une AEMO est ordonnée et c’est là qu’Olga Spitzer intervient via une assistante sociale. Sa conclusion à elle : ce sont les grands qui ont un problème parce qu’ils ne veulent pas aller chez leur mère, le plus jeune va très bien puisqu’il accepte de se soumettre à la mère. Et depuis, elle refuse de faire quoi que ce soit pour le protéger mais harcèle les autres en les culpabilisant parce qu’ils se protègent eux-mêmes de la pathologie de leur mère.

    • Le 17 novembre 2010 à 23:22, par kadi En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Bonsoir à tous,
      Je suis une maman qui me retrouve seule,j’ai fait appel à la justice et ai demandé une mesure d’aemo car le père est parti du domicile et manipulé mon fils par téléphone.Un éducateur est venu voir mes enfants mon fils alors agé de 12ans voulait aller vivre chez son père je l’ai laissée et j’ai gardée ma fille.Par la suite l’éducateur a marqué:Mme vient de la DASS Madame est fragile.
      A l’heure d’aujourd’hui,mon fils ne me parle plus et ma fille demande à revenir auprès de moi car elle n’a jamais demandé aller vivre chez son père .
      Mon fils est obèse et ma fille en mal nutrition et j’ai beau faire des courriers au tribunal personne ne m’entend.Ils ne rendent même pas conte qu’ils détruisent des familles entières et ne ressentent même pas la souffrance des enfants et soit disant ils sont là pour les protèger...

    • Le 19 novembre 2010 à 09:25, par isa En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      pour etre dans une asso qui ecoute les parents d’enfants placés, je peut te dire que les AEMO sont faites a charges !!!!!
      généralement baclés ! remis au juge 10mn avant audience (crois moi c’est assez courant !) les parents ont certes étaient a un moment, dans leurs vies, dépassés, mais ils ont quand méme le droit de se relever !6000E par mois qu’un enfant coute au conseil general certaine famille ont des enfants placés depuis 11 ans fait le calcul !
      que peut on encore leur reprocher 11 ans aprés ????????

    • Le 21 novembre 2010 à 03:00, par Vice président SOS Parents Abusés En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Je vous félicite d’intervenir comme éducateur, le droit a l’erreur n’est pas les mots a employer face a des familles et surtout des enfants brisés par ces abus de l’aide social a l’enfance. Même si vous pensez que cette critique est massive, il faut comprendre ce que vivent les familles, qui est une douleur intense et injuste. Il ai bien que vous reconnaissiez les abuse de cette puissance pour détruire la vie des autres, il y a certainement des éducateurs remarquable comme vous le dite, mais j’en ai malheureusement jamais rencontré et ne peu que laisser des doutes à chaque parent aux prises avec cet institution.
      si vous faite parti de cette exception alors je vous félicite de protéger les enfants et de rester objectif dans vos décisions, important dans la vie d’une famille ou tout peu basculé sur de simples ragots et appuyé sur des rapports des soit disant professionnel, attisé que par la haine. Pourquoi font il ça, c’est une bonne question, peut être ont ils eu des difficulté dans leur passé et le font payé aux parents et si c’est le cas c’est donner du pouvoir a un asile psychiatrique. fou pour fou quel serai la différence.

    • Le 10 décembre 2010 à 03:08 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      monsieur,
      vous êtes donc en formation et en stage . Super ! vous avez choisi d’aider des enfants et des familles .
      je souhaite que vos quelques mois de stages (ce dont je doute fort , trop courte durée ) vous servira à
      - ne pas juger une mère ou un père sur la base de connaissance beaucoup trop restrictive acquise au cours de votre formation .
      - savoir ne pas impliquer vos propres problèmes personnels dans les dossiers que vous traiterez , car inconsciemment nous sommes tous guidés par notre propre vécu .
      - que vous ne vous baserez pas sur vos propres convictions politiques , d’éducation, ou m^me (et je pèse mes mots ) sur votre ressenti , vos préjugés (on en a tous ) envers une ethnie ou un groupe social
      - que vous saurez reconnaître au travers des conflits parentaux (!!!terme qui me fait bien sourire !)la demande express d’enfants qui souffrent non seulement de conflits parentaux (j’en resouris encore )mais de travers psychiques de l’un ou l’autre parent(et non des deux forcément ) comme par ex la perversion narcissique et que vous oserz par conséquent mettre en avant l’intérêt des enfants et non, pas l’intérêt de l’association pour laquelle vous travaillerez.
      Que vous ne vous permettrez pas de prendre les parents pour des imbécile et des naïfs en leur faisant croire que vous êtes à fond dans votre travail en leur proposant un tas de mesures super qui resteront à l’état de projet (ex le projet parental)tout en faisant dans leur dos des rapports aux juges calomnieux et insultants pour vous protéger de votre hiérarchie .

      - Que la preuve de tout cela sera des enfants non placés abusivement , des parents qui vous remercieront

      Si vous parvenez à assumer ainsi votre travail ,et dès la prise de votre premier poste alors vous pourrez vous féliciter , vous dire que vous avez choisi votre travail par vocation , que les difficultés ne vous arrêtent pas et que vous méritez votre place et votre salaire .

      Signé une maman qui se bat pour reconnaître les droits de ses enfants , harcelés par un père pervers et qui fait tout pour qu’ils ne soient jamais placés et qui en prime dénonce l’incompétence des assistants éducatifs .

    • Le 27 décembre 2010 à 19:29, par baillargeat En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      bonjour je m appelle laetitia et je suis maman de six enfants ma grande vit dans son appart mes trois autres chez leur pere et mes deux derniers sont places en foyer je vous demandent ce que je dois faire pour recuperer mes enfants qui vont de plus en plus mal chez leur pere et sachant qu ils vont etre bientot places au foyer apres avoir dit au saemo comment ete traites mes enfants le saemo n a pas arretes de me persecutes ils ont attendus que mes enfants soient dans des affaires douteuses avant de faire quelque chose jamais avec moi ils n avaient fait une seule betise mes enfants ont ete frappes par le pere et le saemo ete depuis lontemps au courant le saemo savait que le pere de couper les affaires que je leur acheter rien ils ont subis plein de choses mais le saemo a fermerles yeux ils m ont dit que ma grande avait de la peine pour moi cest une honte alors que je leur demande de l aide par peur qu ils arrivent quelque chose a mes enfants depuis le placement de mes cinq enfants ils mont demande de quitter mon conjoint mes amis ils me font faire des travaux chez moi n arrete pas de me salir je me sens vide a chaque fois ils me demandent des choses a faire ils ont fait venir mes enfants dans leur local pour leur demandez de me salir de dire que des mechancetes sur moi je ne sort meme plus il veule pas que je quitte ma ville il regarde partout chez moi me posent des questions indiscretes me font passer pour une femme fragile
      quoi je fasse il n y a pas de moment sans que je ne sois confronte ou a saemo ou a l educateur
      avant j avais le droit d avoir mes enfants tous les weekend et maintenant je n ai plus quun weekend par mois sauf pour mes deux derniers je les voit que le lundi ils separent les grands des petits mes grandes se plaignent a moi ils les voyent pratiquement plus pourquoi font t ils ca chaque fois ils nous font passes pour des personnes qui n avont pas compris
      le saemo ont demande au pere de 2 de mes enfants de declare ma fille elodie je leur est dit que ce n ete pas leur pere et il ont refuse que son vrai pere l a voye tout ca parce qu il ont pousse l autre pere a faire une reconnaissance sur une enfant qui n ai meme pas la sienne ma fille en est malade elle veut revoir son vrai pere aidez moi je vous en prie je ne veux pas cacher mon nom je veux que tous sachent ce que l ont nous fait subir alors que je ne fait rien de mal et que je suis un automate pour eux fait ci fais ca et tu recupereras tes enfants je m appelle laetitia baillargeat que va t on me faire encore cette semaine j en peux vraiment plus j ai besoin d aide

    • Le 27 décembre 2010 à 19:44, par baillargeat En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      je suis tout a fait d accord avec vous nos enfantssont traumatises et il est vrai aussi qu ils brisent des familles entieres dur coup pour nos enfants mais on est impuissnt ils nous tiennent en laisse

    • Le 20 janvier 2011 à 09:39, par chevaliette En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Le sentiment de toute puissance, c’est vrai partout. Moi, je défend mon enfant contre les agissemnt de mon ex-mari. Je l’ai vu à l’A.S.E (où l’on m’a convoqué en essayant de me rabaisser et ce devant mon fils). A la brigade des mineurs qui ne vérifie pas les preuves que vous leurs fournissez. A Olga Spitzer, où l’expert psy regarde sa montre et par la fenêtre pendant 1 heure et qui vous dit d’un coup : bon, c’est fini. 1 heure top chrono pour résumer 7 ans de vie faite de mensonges et de tromperies (tout prouvé). Et maintenant un lieu de médiation où mon fils voit son père 2 h tous les 15 jours. Un lieu où les enfants sont rendus dociles. Une salle de jeux géante où la surveillance n’est pas là et où les enfants n’ont le droit de rien dire. En revanche, des parents qui se droguent et refusent toutes les aide qu’on leur propose et non pas imposent, on ne leur retire pas leur enfant "parce que de toue façon il en feront un autre" (propos tenus par les services sociaux). Alors oui, ils sont prêt à tout, hors de tout contrôle.

    • Le 26 janvier 2011 à 14:18 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Plus d’un an après le rapport de la Cour des comptes, rien n’a changé. L’Etat sous-traite ses missions de protection de l’enfance à des organismes privés qui ne font l’objet d’aucun contrôle.

      Les uns font prévaloir l’intérêt pécuniaire de l’organisme, les autres veulent imposer leur dogme en évitant surtout de le confronter à la réalité. Le grand absent : l’intérêt de l’enfant !!!

      Je viens de voir un dossier dans lequel il n’y a rien qui justifierait objectivement l’intervention d’une AEMO si ce n’est la volonté d’une mère de se venger de son ex-mari au travers des enfants. Cela fait un an que personne ne s’occupe des enfants, seule une assistante sociale excite la haine de la mère pour faire durer l’affaire. Et à la fin, l’énormité : ils ont vu les enfants 1 fois en une année et expliquent sans rire que c’est encourageant, qu’il faut continuer. A 15 ou 16000 euros l’année, pourquoi pas ?

    • Le 29 mars 2011 à 09:54, par malika En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      moi la mal traitence c’est les educateur qui me l’on infliger pendant 19 ans et mes parent ,du moin ma mere ma abandoner des l’age de 3 ans, je n’ai connue que les coup et les brimade ,maintenant l’ecole et fermer et les educateur a la retraite ca fait si lomptent mais le traumatis reste

    • Le 30 mars 2011 à 05:31, par Nyfa En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Bonjour,
      Je n’ai rien à rajouter sur cet article concernant l’"abus" de pouvoir qu’ont certains travailleurs sociaux sur les familles, et je trouve cela déplorable. Je suis professionnelle dans l’association citée dans cet article. Je me bas avec beaucoup d’autres collègues pour que le respect et l’intégrité des familles soient au centre de notre réflexion et de notre travail. S’il est préjudiciable que des collègues abusent de leur pouvoir sur les familles, sachez que nous sommes néanmoins très nombreux à dénoncer de tels comportements ! N’oubliez pas de parler de nous !

    • Le 12 avril 2011 à 12:27, par claude93 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Bjr, je suis moi même victime de ce système crapuleux ; je suis passé 6fois a la TV pour ma fille .j’aimerais constituer un dossier de témoignages certifiés et réaliser un reportage sur le sujet des abus des services sociaux et des expertises non objectives .voici mon tél : 06 80 84 61 56.CLAUDE 93 .faite suivre ce message a vos amis qui souhaiteraient que leur témoignage filmé par mes soins soit diffuser sur une chaine nationale .merci et bon courage

    • Le 12 avril 2011 à 13:06, par claude93 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Bjr, avez-vous déposé plainte pour l’attouchement que vous évoquer ?si oui pouvez vous me communiquer le n de réf .je propose de constituer un dossier concernant les agissements des intervenants de l’association OLGA SPITZER .il est très important de procéder dans le respect de la loi et d’avoir le courage de témoigner de façon officielle et collective pour faire front a des réseaux très organisés et soutenus par un pouvoir politico-judiciaire ; je suis passé 6fois a la TV pour ma fille .j’aimerais constituer un dossier de témoignages certifiés et réaliser un reportage sur le sujet des abus des services sociaux et des expertises non objectives .voici mon tél : 06 80 84 61 56…CLAUDE 93 .faite suivre ce message a vos amis qui souhaiteraient que leur témoignage filmé par mes soins soit diffuser sur une chaine nationale .merci et bon courage

    • Le 12 avril 2011 à 13:38, par claude93 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Bjr. je propose de constituer un dossier concernant les agissements des intervenants de l’association OLGA SPITZER .il est très important de procéder dans le respect de la loi et d’avoir le courage de témoigner de façon officielle et collective pour faire front a des réseaux très organisés et soutenus par un pouvoir politico-judiciaire ; je suis passé 6fois a la TV pour ma fille .j’aimerais constituer un dossier de témoignages certifiés et réaliser un reportage sur le sujet des abus des services sociaux et des expertises non objectives .voici mon tél : 06 80 84 61 56…CLAUDE 93 .faite suivre ce message a vos amis qui souhaiteraient que leur témoignage filmé par mes soins soit diffuser sur une chaine nationale .merci et bon courage

    • Le 12 avril 2011 à 13:49, par claude93 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      pouvez vous dire de quelle association il sagit ? je souhaite faire un reportage sur le sujet qui pourra étre diffusé sur une chaine nationale ou mis en ligne .contacter moi merci

    • Le 12 avril 2011 à 13:56, par claude93 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Bjr. je propose de constituer un dossier concernant les agissements des intervenants de l’association OLGA SPITZER .il est très important de procéder dans le respect de la loi et d’avoir le courage de témoigner de façon officielle et collective pour faire front a des réseaux très organisés et soutenus par un pouvoir politico-judiciaire ; je suis passé 6fois a la TV pour ma fille .j’aimerais constituer un dossier de témoignages certifiés et réaliser un reportage sur le sujet des abus des services sociaux et des expertises non objectives .voici mon tél : 06 80 84 61 56…CLAUDE 93 .faite suivre ce message a vos amis qui souhaiteraient que leur témoignage filmé par mes soins soit diffuser sur une chaine nationale .merci et bon courage

    • Le 18 avril 2011 à 14:07, par Stéphanie V. En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Aujourd’hui je voudrais délivrer un message d’espoir aux victimes d’Olga Spitzer. Un voisin, un type formidable qui subissait leurs pratiques depuis 2 ans a réussi à s’en libérer car le juge a compris qu’ils ne respectaient pas la loi et ne se préoccupaient pas de l’intérêt des enfants.

      Je dis à tous ceux qui sont dans cette situation : battez vous, ne laissez rien passer, notez tout, écrivez pour protester (poliment bien sur) chaque fois que vous constaterez une anomalie ou un manque de respect. Par exemple, s’ils tiennent des propos culpabilisants à vos enfants ou essaient de les monter contre vous.

      Il y a des textes dans le code de l’action sociale et de la famille que cette association doit respecter. Ils doivent vous remettre un livret d’accueil qui résume les obligations qu’ils doivent respecter, lisez le attentivement et exigez que tout ce qui est prévu soit respecté au pied de la lettre.

      En particulier, ils doivent sous 15 jours, établir un document individuel de prise en charge (DIPEC) qui décrit les objectifs et les moyens de leur intervention (article D 311). Exigez que cela soit fait, que le document soit compréhensible et en rapport avec la situation concrète. Et ensuite qu’on s’y tienne.

      Chaque fois qu’ils vous font un discours déconnecté de la réalité ou mensonger, écrivez pour le dénoncer.

      Ne vous laissez pas traiter comme moins que rien. Vous n’êtes pas à leur disposition, vous n’avez pas à être convoqués du jour au lendemain pendant vos heures de travail. Si c’est le cas, répondez par écrit poliment que vous ne pouvez pas vous absenter de votre travail. C’est la même chose pour les enfants, ils n’ont pas à manquer l’école, leur travail scolaire et leur vie sociale doivent être respectés.

      Et les enfants ont le droit d’avoir un avocat pris en charge par l’aide juridictionnelle, il faut qu’ils demandent un avocat pour être respectés et entendus.

      Si vous êtes convaincus de votre droit au respect et déterminés à vous battre pour cela, vous gagnerez.

    • Le 12 mai 2011 à 00:33, par lilas En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Vous décidez de prolonger laemo vous en faites la demande au juge mon fils s’est tapé par d’autres gamins éducateur la signalé au juge dou le placement

    • Le 17 mai 2011 à 14:05, par madjidi En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      je me permet d evous ecrire afin d’avoir une reponse en 07/2010 a beziers ville ou lon venait de sinstaller jai etait voir uneducateur du conseil general afin de lui demander un adaptation pour mes deux aines 14 et 16 car ne connaisant pas la ville javais peur pour eux de plus celui de 14 commencait un peu a etre revoltant en toute confiance cet educateur ma dit ok sans rien signer juste voir mes garcons qui sont dun premier mariage en suite il ma demander a voir les deuxpetits 4 et 6ans jai pas refuser etant donner que je nai rien a cacher mon mari lui netait pas daccord que je demande un educateur mais bon il a vu les deux grand 2 fois et les petits 2fois aussi ensuite des conflits dans mon couple ses mlheureusement installes et amplifies du a lapparition du pere des 2 premiers quils navait pas vu plus de 7ans mais sous les conseils du pys celui de 14 etait encrise dado donc voir son pere . cela na pas tout a fait aranger les choses puisque avec mon mari en janvier 2011 on set separer et je suis retourner vivre a montpellier ville dou je venais et mon mari a mpt aussi chez ses parents entre temps leducateur nous avez convoquer en nous demandant lintervention dune aerd quon arefuse sois disant quil nous aurais convoquer en janvier mais comme on avais quitter beziers le courrier netait pas recu mais par contre il avait nos nde portable comme il nous a pas eu il sest permis de faire un rapport baser sur des choses de vie prive du passer demafille de 27ans des choses que je narrive meme pas a comprendre et de lenvoyer au juge des enfants ou lon passe le 30mai jai pris un avocat car je conteste certaine choses ecrites dans ce dossier mais je ne comprend pas cela fait 20 ans que je connais les services sociaux a mpt ou ma vie prive il la connaisais jai deja demander laide dun educateur qui connaisait mavie mais jamais de rapport a ete etablie .la je narrive pas a comprndre cet individu peut ton sopposer a un dossier comment ca va ce passer peu ton se retourner contre lui il a demander une aemo pour les 4enfants jen suis toute retourner cest la premiere fois que ca arrive jai jamais eu de problemes bien equiliber bon a part ce conflit de couple mais bon rien de grave car depuis nous avons repris la vie commune mes enfants ne sont pas des delinquants mais jhallucine comment et que doi je faire merci

    • Le 7 juin 2011 à 12:25, par nathalie jorge En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      j’aimerai faire part de mes difficultée,et de mon histoire cahotique,ayant passer 2 fois sur le journal la gazette et le parisien,l’un en mars 2001 pour tentative d’assasinat,l’autre pour dénoncer une attente de logement au parc locatif du val d’oise depuis 10 ans,après une séparation pour violences conjugal d’avec un toxicoman et un alcoolique dont j’ai encore peur malgré 4 ans de séparation d’un calculateur manipulateur,un psycopate qui à eu un non lieu suite a sa demande de passer pour fou de la justice,des propriétaire malhonnête pour insalubrité d’une location vacante avec 9 hectare de terrain et un e revente d’energie a mon inssu, valeur de 600 euros de loyer pour un 43 m carré et 100 euros de charges sur anciennement appeler gîte rural,maman seul avec trois enfants à charges sans l’aide financiere de la part du papa qui travaille au noir et qui est passer pour insolvable de la justice.ayant vécu avec une mère névroser pendant 16 ans et d’un beau père alcoolique qui tapai sa femmes et ses enfant et cassait tout a la maison j’ai du fuir cette ambiance destructrice ; à mon bien être et à ma reconstruction depuis ces année j’ai aujourd’hui 36 ans seul pour affronté la vie,mais me voila maintenant avec les services sociaux sur le dos,le non paiement des prestations famillile et le pole emploi ou j’ai travaillée pendant 2 ans en contrat aidé a léa.n.p.e suite a mon congé parentale, ayant terminé mes étude à 20 ans en c.a.p.vente en1993,sans diplome en poche et travail la vie à suivie son cour par la force des chose consciente aujourd’hui de mes problemes j’essaie de trouver la bonne porte à ouvrir afin de reussir mon role de maman, ma carriere professionnel,et d’obtenir le minimum de la part de gens humain quelque astuce soutiens piste pour m’en sortir de ce trou sombre aidez moi quel injustice cette france : le pouvoir, l’argent,les riche,les diplomes,le jeu, la drogue l’alcool, le tabacs voila leur clé de reussite sur cet état gouverné par la droite quel exemple, quel valeur, quel amour.

    • Le 1er juillet 2011 à 10:51, par pOT DE TERRE CONTRE POT DE FER En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Il nya pas que cette association rassurez vous ,plus que vous pouvez l’imaginer la SAE de noisiel 77 et l’association cléf de meaux 77 agissent sans aucun sens de morale en faisant de leur abus de pouvoir une force pour être payés pour les torchons qu’ils écrivent sans aucune preuve.

    • Le 1er juillet 2011 à 11:04, par pOT DE TERRE CONTRE POT DE FER En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Je ne sais pas comment porter plainte contre la directrice d’une association qui a fait un rapport calomnieux contre moi en suggérant dans son rapport que je suive une thérapie et un placement pour mes enfants car j’accuse le père d’attouchements sexuels ,alors que je suis enseignante,en voulant défendre mes enfants je me retrouve sur les bancs des accusés,à la lecture de son rapport inventé de toute pièce la directrice de l’association n’a pas arrêté de mentir avec sang froid .Je lui ai dit que j’allais porter plainte ,mais voila elle a déja donné son rapport au juge pour enfants,et je ne sais pas comment procéder aidez moi s’il vous plait.

    • Le 13 septembre 2011 à 13:49 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      http://www.lepost.fr/article/2010/10/01/2245675_deluge-de-subventions-a-paris-1-le-record-du-clientelisme-a-nouveau-pulverise.html
      La technique est rodée : pour rendre les choses plus difficiles à suivre, les subventions sont morcelées en plusieurs délibérations, par arrondissements ou par actions. Lorsqu’on réclame un récapitulatif général par association et pour l’ensemble de Paris (subventions communales et départementales comprises puisqu’il y a deux entités), on n’obtient que des réponses évasives. C’est ce qui est arrivé à Serge Federbusch, un élu qui correspond fréquemment avec le Delanopolis, quand il a posé la question au conseil d’arrondissement du 10ème. L’association Olga Spitzer venait de recevoir deux rasades au titre du même quartier dans deux délibérations différentes et il voulait savoir pourquoi. Mystère ... Preuve de la fertilité de ces esprits, des associations d’associations se constituent et reçoivent des subventions en tant que telles ainsi la "Coordination des associations de développement économique, culturel et social de Paris (4e)", pour un montant de 14.000 euros.

    • Le 15 octobre 2011 à 21:33, par SOS Parents Abusés En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Désole mais pour moi les professionnels de l’enfance n’on aucunement droit a l’erreur, car ils ont la vie de nos enfants entre leur mains, et les abus sont nombreux de leur part et de plus en plus pointé du doigt avec des preuves a l’appuis par les parents. Un parent n’a pas le droit a l’erreur, car il sera sanctionné sans préavis en lui prenant son enfants, et il lui sera difficile voir impossible de sortir des griffes de ce système pervers qui gardera nos enfants même si les parents sont bien sous tout rapport et n’on rien a ce reprocher, alors ne me parler des dysfonctionnement et des erreur de l’ASE surtout quand la vie d’un enfant est en péril par l’abus de certain fonctionnaires intéressés que par leur carrière et la vengeance enfantine et certainement pas par de vrai motivation afin d’aider les familles....
      Il en existe peut être des travailleurs sociaux intègre mais moi je n’en ai jamais rencontré, ni entendu parlé dans les milliers de dossiers des familles, d’ailleurs il est reconnu depuis bien longtemps dans différent rapport qu’ à penne 20 % des enfants concerné par les mesure éducative subi de la réel maltraitance, les 80 % restant les parents ce battent pour faire reconnaître les abus de l’ASE et d’immonde mensonges sur leur vie.

    • Le 18 octobre 2011 à 20:03, par marie13010 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Entièrement d’accord... Ils s’acharnent beaucoup plus aisément sur des familles présentant des soucis financier ou autres, ayant besoin d’un "coup de main" ponctuel, en l’humiliant, bafouant ses droits... En outre, ils n’oseraient certainement jamais aller enquêter ou "déranger" des familles dans les quartiers sensibles !!! Trop peur des menaces, représailles...!!! Avez-vous déjà vu une assistante sociale coller une mesure aemo à une famille de magrébins, dans un "quartier difficile" ? Trop peur de se faire caillasser ou pire !!! J’ajoute que ce que je dit n’a rien à voir avec une quelconque discrimination. C’est juste un état de faits...

      Cordialement,

      Marie-Pierre

    • Le 23 octobre 2011 à 16:18, par roro79200 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Madame, Monsieur,

      A ce jour je rencontre un problème avec la Juge pour Enfants de Niort et les services sociaux (ASE de Parthenay) des Deux-Sèvres (79) concernant un placement injustifié et fait avec la plus grande violence et séquestration à l’encontre de mes enfants et de moi même.

      Ce problème est survenu le jour où j’ai dénoncé des faits de violence sur mes enfants via leur mère, fait qui se sont produits après notre séparation, lesquels m’ont été annoncés et alerter par mes enfants , les violence énoncer par mes enfants sont les suivant : coup de poing, coup de pied, menace de mort, lancer de couteau de cuisine au visage, obligation de dormir avec leur mère dans le même lit, harcèlement moral, et surement d’autre chose bien plus grave encore que mes enfants ne mon pas dit, ceci dit les coup porté sur mes enfants on pu être examiner par un médecin lequel atteste que ce sont bien des coups porter avec une très grande violence, ces coups ce décrive de bleu et d’hématomes importent sur divers partie du corps de mes enfants.

      Après avoir déposé plainte contre leur mère pour violence sur mineur, mes enfants on été mis en placement judiciaire(placement injustifié et fait avec séquestration dans une pièce fermer à double tours avec mes enfants et moi même via les services de l’ASE) lesquels sont au jour d’aujourd’hui en famille d’accueil, leur mère à été condamner en correctionnel pour violence sur mineur à une peine de prison avec sursis ainsi qu’une obligation de ce faire soigner pour l’alcool,(traitement médical pour l’alcool quelle ne suis pas à ce jour).

      A ce jour je vois mes enfants qu’une fois par moi durant deux heures en visite médiatisé avec une autorisation d’appel téléphonique tout les mardi de chaque semaine, malheureusement depuis plusieurs mois je ne peux joindre mes enfants par téléphone et je trouve cela inconcevable de ne pas avoir la possibilité de parler avec eux comme il est convenu sur l’ordonnance de placement provisoire.

      Ceci dit je n’arrive par a comprendre que leur mère puisse les voir librement et les recevoir chez elle le temps d’une nuit ou d’un week-end, malgré les violences quelle à pu leur faire subir et vu la condamnation en correctionnel quelle à encouru suite à ces violences sur mineur de moins de quinze ans ainsi son problème avec l’alcool, (problème d’alcool quelle à toujours à ce jour)

      A ce jour je veux juste retrouver mes enfants afin d’avoir une vie comme tout le monde, une vie libre et non prisonnier des ces service sociaux et judiciaire.

      Car à ce jour je ne les vois pas grandir et ne peut profiter de moment de joie et de partage avec eux, je les sans malheureux et triste d’être éloigner de moi tout comme moi je le suis pour eux.

      Je ne saurais remercier qui conque pourrait m’aider et changer les choses pour mes enfants comme pour moi.

    • Le 5 novembre 2011 à 15:43 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Monsieur,

      En tant qu’éducateur, cette fonction que vous brandissez dans un lieu de vie, il me semble important de vous faire la remarque suivante : "Éducateur" de la racine éducation signifie à minima un rôle pédagogique, or à la lecture de votre post, truffé de fautes d’orthographes et d’expressions écrites, il me vient quelques doutes sur l’efficience de votre action dans cette mission : "en 3à ans de carrière", "Pour avoir travailler" non "travaillé" car au participe passé, "sommes censés" c’est-à-dire "sommes supposés" et non "sensé" qui signifierait plutôt faire appel au bon sens. Un lapsus si révélateur qu’il est inutile d’aller au delà de votre démonstration qui vient de faire flop !
      Comment êtes-vous en mesure de comprendre la complexité des situations de famille avec de telles lacunes en français ? Vos enquêtes s’appuient sur le langage et la compréhension des témoignages des acteurs de ces familles en difficultés mais pas forcément illettrées ou non éduquées.
      Alors ne cachez pas votre incompétence derrière ce discours compassionnel s’appuyant sur un catéchisme qui vous a été répété pendant le trop peu d’années de formations et de pratiques que vous avez reçues.
      Vous n’êtes, à l’image de vos missions, qu’un acteur fonctionnaire et servile d’un système social en pleine déconfiture qui bien trop souffreuteux ne sert qu’à votre fonctionnement interne : "venir vous rencontrer à votre domicile à 18h30, heu bin c’est trop tard pour les enfants, heu pour moi aussi".....
      Parfois (souvent) monsieur, vous êtes mandatés pour des missions qui dépassent vos compétences, libre à vous, à votre prise de conscience, à votre déontologie de les refuser, que craignez-vous une mauvaise appréciation de votre hiérarchie.
      C’est triste pour les enfants, dramatiques vos interventions.

    • Le 8 février 2012 à 14:35, par jz1 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Je comprend mieux mon cas, l’assistante social ou j’habite ma collée 1 admr tous les 6 mois était demandé le renouvellement. Au 3 renouvellement on m’a dit comme excusse que je ne courrait pas avec ma fille de 5 ans donc on renouvelle l’admr pour qu’elle courre avec ma fille. Je me suis fait opéré d’une cheville et je ne peut pas courir avec elle, l’escuse était tellement bidons que je les ait viré admr et assitante social. L’as l’a mal pris et a demandé que l’on me retire ma fille, en causse 1 absence scolaire d’une semaine, et pas d’activité extra scolaire, au final j’ai 1 enquete social qui a été demandé pas le juge un grand n’importe quoi

    • Le 25 février 2012 à 02:04, par célya En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Bonjour à tous, me voila encore moins rassuré par la décision d’aemo qu’on vient de me donner.

      Séparé depuis 2 ans, droit de garde classique car le papa ne veut pas "s’encombrer" comme il le dit si bien de ses enfants. Il m’a fait vivre un enfer depuis (coups et blessures avec plainte à l’appui, entré par force chez moi et tout cassé plainte à l’appui également, mais tous le reste j’ai laissé faire bêtement pour ne ps montrer à mes enfants l’harcèlement que je subis)

      Bref Mr à dit l’été dernier à mon grand de 7 ans de dire à sa maitresse d’ecole que maman ne lui donnait pas à manger, le battait et l’insulter, ça je ne l’ai su que bien plus tard, un matin dispute avec mon fils car il ne voulait pas aller à l’école et ennervé il a donc expliqué ceci à la maitresse, mes enfants sont bien entendu aimer et bien traités.

      L’année derniere s’étant mal passé à l’école en plus (maitresse vraiment pas facile et pas à l’écoute), le jaf a été saisi et a ordonné 1 an d’aemo, malgres que mon fils explique tout cela et lui dise que tout allait bien, dailleurs jamais elle n’a posé de question sur son petit frère ça n’avait pas l’air de l’intéréssé.

      Mon ex a reussi à me faire perdre mon travail, mes amis, et le pire à faire culpabiser mes enfants d’être en vie (je cite "j’aimerais bien retrouver une chérie mais vous m’encombrez" "votre mère est une sal..." "pas étonnant que tu sois si bête avec la mère que tu as" et j’en passe)

      Alors je me demande, si les educateurs passeront aussi chez lui quand il a leur garde ? parce que sinon c’est trop facile une fois de plus, c’est moi qui "subirais" la procédure, bref je ne sais pas trop comment ça va se dérouler et j’ai vraiment peur de la façon dont on sera jugé.

      Merci

    • Le 8 mars 2012 à 09:01, par inconnu En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Mes filles sont en AEMO depuis 2008.La petite a été signalée en danger à l’école et par moi et elle a vu un psy.Elle vit chez son papa et sa soeur aussi.Je soupçonne des violences de la part du père et la petite a voulu s’enfuir de l’école plusieurs fois.J’ai donc demandé leur garde.J’ai été débouté car l’éducatrice AEMO DE PARAY LE MONIAL(71) ,MME C.dit que mes filles sont bien chez leur père.Elle me reproche mon agressivité ,voilà pourquoi elle m ’a enlevé mon droit de visite.Cela fait un an que je vais en visites en lieu neutre et je suis restée un an sans voir mes filles.HONTE AUX EDUCATRICES QUI NE PENSENT QU A LEUR MAGOUILLES !!!!!

    • Le 3 avril 2012 à 15:28 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      je suis de tout coeur avec vous , car en ce moment pour moi c’est pareille elle me menace de placement pour mes deux enfant de 4 ans et 4 mois c’est honteux que faire ? je suis de l’ain .

    • Le 20 juillet 2012 à 02:10, par atlantiz En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      non on ne les voit jamais dans les zones difficiles ou il y a de la violence ,il s’arrangent pour intervenir la ou il y a pas trop de dangers ,ils se font des fois agressés verbalement et qq fois physiquement ,mais la plupart du temps ,ils ont poussé a bout un parent !il faudrait une loi qui fasse enquete et aille voir ce qui se passe ,leur facon de faire , il n y a aucun controle et leurs paroles sont d’or devant les juges qui ne se prennent pas la tete ,"que dit l’ase" ,"ha ! et bien ,si l’ase le dit ,elle a toute confiance ,pourquoi verifier "
      cela fait 14 ans que mon fils est avec eux ,ils me l’ont enlevé a la naissance mais par contre sa soeur qui a un an de plus est avec nous et souffre de cette separation et une petite soeur qui vient de naitre qui elle aussi ,est avec nous !ils trouvent toujours de nouvelles excuses pour garder notre fils ,jusqu’a ce que celui ci ,ne sache que vivre de cette facon !
      par mon experience ,ce systeme est completement corrompu ,et ces educatrices ,la plupart n’ont pas de gosses ,j en ai eu plus d’une ,et jugent les situations avec le ressenti comme elles disent ,on voit qu’elles ont été formées dans le même moule !

    • Le 24 juillet 2012 à 14:36, par Didier Gellenoncourt En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Bonjour. Je vous conseille s’il vous plait de lire mon témoignage sur le site CEDIF pour vous montrer qu’il y a vraiment de l’abus de la part des services sociaux (assistante sociale-juge)suite à un dossier calomnieux à notre sujet de la part de l’assistante sociale qui vient de briser une vie de famille en plaçant ma fille de 16 ans et demi dans un centre pour enfant alors que nous sommes une famille heureuse et unie. Et il y a tant de cas comme le mien ! Je suis dégoûté de cette justice qui brise des familles qui n’ont rien à se reprocher.

      Bien cordialement,

      Didier Gellenoncourt

    • Le 18 août 2012 à 12:15, par renaud En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Bonjour,
      je me permet de témoigner sur le comportement d’une éducatrice AMO de Rodez dont je tais le nom pour éviter des représailles de sa part.
      En prenant ma petite fille de 2ans et demi en weekend je me suis aperçu de différentes trace bleue brûlure bouton sur le corps, j’ai alors fait une dénonciation pour négligence avec certificats médicaux,et l’educatrice a pris parti pour la maman et tout ces retournés contre moi en disant que je faisait cela pour nuire a la mere, le pire est que cela a été cautionné par une juge des enfants alors si quelqun comprends que l’on me le dise, c’est un systeme completement pourri ou les educateurs on le plein pourvoir et nous les parents sommes plus rien.....

    • Le 10 septembre 2012 à 10:22, par nathou En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Mes neveux et nièces sont placés suite a l’abus d’une éducatrice , les mensonges , coup bas ect... font qu’il y a 2 enfants en foyers qui se font taper dessus , enfermer dans des placards coup de pied dans la tête . Jusqu’au éducateur qui baffe mon neveu alors que c’est un petio qui ne mérite pas ce genre de sanction . La les services sociaux font tout pour enlever les droits parentaux a la mère pour son sale caractère . Un jour il lui dise votre père est mort donc pour le bien de vos enfants vous ne les reverrez qu’au jugement dans 3 semaines et le lendemain allez chercher votre fille (qui est placé dans une famille d’accueil ) au lycée . Et il la font tourné en bourrique toute les semaines . Ces droits parentaux ne lui sont pas enlever pour l_’instant mais elle na pas le droit de savoir ou sont ses enfants a l’ecole et chez qui sa fille va en famille d’accueil . Ils ont interdit a la grand mère au téléphone de voir ses petits enfants a cause du deces de son mari . Les enfants en ont mare , ils se font traités de menteur si il dise qu’il sont bien avec leur mère , la juge et les educateur rabaisse ma soeur devant ses enfants , qu’elle education peut on appoter a un enfant et surtout leur expliquer de qu’ellle droit il enfonce les personnes comme ca
      La honte de la socièté il faut justifié les salaires

    • Le 1er octobre 2012 à 14:47, par Léanne En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Il y a maintenant une page facebook des victimes de l’association Olga Spitzer. A liker sans modération

      http://www.facebook.com/pages/Plainte-collective-contre-Olga-Spitzer/466026173437413?ref=stream

    • Le 11 octobre 2012 à 02:02, par Vialle En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      bonsoir je vient de lire votre commentaire ce nai pas sur les fautes d’orthographe qu on juge une famille ,des parents peuvent mal ecrire mais aimer leurs enfants et que des jeunes trou du cul comme je les appele qui sorte de l’ecole qui on max 25an pas d’enfantsvienne juge les parent sur des on dit sur des rapports qui date de 10ans qui posent 25fois la meme question mais de differentes facon et des gamins jusqu a entendre ce quils veule moi je dit vous vous prennez trop pour des juge bourreaux et detruisez des familles bien sur "toujours FRANCAISE" rare que famille maghrébine subisse ce que vous faite endurer au famille francaise dite a probleme moi je dit vos service pour moi quand vous placez enfant et au final quand les enfant on la majoriter sont devenu de vrai "DELINQUANTs" remettez vous en question au lieu de pensez au fric pensez au bohneur des enfants et de leurs parents qui demande que de laide pas une sanction !!!!!!!!!

    • Le 4 novembre 2012 à 19:57 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      La réponse de cet éducateur est symptomatique du dsyfonctionnement des services sociaux. En effet il termine son commentaire en cérivant noir sur blanc que le droit doit passer au second plan devant l’idéologie non citée de l’intérêt supérieur de l’enfant. c’est bien au nom de cette idéologie que des erreurs sont commises. Je pense que dans des fonctions qui touchent les enfants,l’idéologie n’est pas de mise. Nous sommes dans un Etat de droit alors les acteurs des services sociaux doievnt le respecter. Alors les services sociaux sont-ils hors-la loi ?

    • Le 6 novembre 2012 à 14:26, par Soso En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Ça c’est abusé !! Bien que vous ne soyez pas le seul. Une réalité qu’il soient moins dans les quartiers haute tension. J’en suis la preuve car petite on ne m’a pas sauvée du milieu ou j’étais puisque c’est de coutume de taper sur les enfants chez les "rebeux" !!! D’une c’est faux et au contraire si on parle d’islam, l’enfant est sacré on ne lui fait pas de mal d’autant plus si celui-ci est orphelin de mère. Bref tout ça pour dire que ça disfonctionne pas mal chez certains pro. Qui en blabla sont super doués mais question prise de risque et garde de sang froid pour le bien d’un gamin ils savent plus faire et se cachent derrière des pseudo explications de tout va bien. Par contre pour intervenir chez des gens déjà fragiles la pas de souci ils savent faire.. Certains ne sont pas dignes de bosser et d’être appelés personnes de terrain mais plutôt de bureau et qu’ils y restent ces intellos qui ont tout appris ds les livres. Mais je lève mon chapeau a ces quelques travailleurs sociaux qui ont connus la vie dure et qui se battent avec humanité pour le réel bien de l’enfant et non pas le leurs !!!!

    • Le 28 novembre 2012 à 14:42 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      nous avons ete convoque par l association olga spitzer organisation raciste et islamophobe ma conjointe et ma fille alima ils ont refuse de nous dire ce que l on nous reprochait juste un coup de fil anonyme apres avoir recu des menaces des gendarmes de saint girons en ariege a l encontre de notre fille et cela au nom du procureur d apres nos interlocuteurs olga s ne nous ont pose qu une seule question a ma compagne pantchenko c est de quelle origine ne voulant pas repondre elle a insiste sur le fait que c est un nom russe la mere de ma compagne est derriere cela madame rostin veronique educatrice specialisee jeune enfant et xenophobe cette association ou on retrouve les discours et attitudes des neo nazis des communistes des feministes desextremistes israeliens et de gens appartenant a certaines eglises ou certains cercles agissent dans le but de nous creer des problemes pour diriger l education des enfants leur orientation

    • Le 2 décembre 2012 à 13:44 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Il faut croire que malgré les nombreux commentaires postés et l’ancienneté de cet article, rien n’a évolué et c’est regrettable.
      La menace du "placement" est toujours d’actualité si on ne répond pas aux exigences de ces éducateurs sensés vous aider...
      Votre organisation professionnelle ou familiale ne permettent pas toujours de répondre favorablement à leurs multiples rdv imposés ? Qu’importe, c’est comme ça et pas autrement ou attention si vous expliquez que ça vous semble un peu compliqué à gérer, hop la boite à "placement" est prête et à portée de mains de l’éducateur.
      Vous n’avez que le droit de consacrer votre vie et votre temps libre à ces personnes et tant pis si les enfants sont fatigués de faire des aller/retour au centre Olga Spitzer, tant pis si le parent est lui aussi fatigué, on vous taxera de quelqu’un de "fragile" .. parce que oui, les éducateurs se veulent psychologues et déterminent bien plus vite qu’un médecin que votre état d’épuisement n’est plus compatible pour vivre et être à l’écoute de vos enfants. Pas le droit à l’erreur, pas le droit d’être défaillant un instant, pas le droit de s’opposer à un rdv, pas le droit d’être triste ou en colère sinon, hop la boiboite à "placement".
      Cette aemo, c’est moi qui l’ait demandée parce que le conflit parental dure depuis trop longtemps, parce que je veux la paix pour les enfants et moi, parce que j’espèrais que cette association calmerait le père qui s’acharne contre moi et utilise les enfants comme des armes depuis maintenant trois ans... Aujourd’hui, je m’en bouffe les phalanges !
      Cette association est bien plus destructrice que salvatrice alors avant de vous lancer spontanément dans cette démarche en vue d’espérer de l’aide, réflechissez-y à deux fois voire trois et préparez-vous à vivre un train d’enfer pour satisfaire les exigences des éducateurs qui vous chargent de leurs doléances en tout genre.

    • Le 2 décembre 2012 à 13:45 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      merci, j’y vais de ce pas.

    • Le 2 décembre 2012 à 14:08 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Merci pour votre commentaire, ça me redonne espoir et je viens en effet de me jeter sur le livret d’accueil pour en eplucher les pages.
      Justement, je me retrouve complètement.. la fiche individuelle n’a toujours pas été signée ( trois moi après le début de l’aemo ), l’association m’impose la présence du père pour la signature alors qu’ils connaissent parfaitement ma peur panique de lui. Du coup, on menace de placer mes enfants si je ne réponds pas à leur exigence.
      On nous colle ( les enfants et moi ) des rdv sans arrêt et sans tenir compte de notre organisation. Je bosse en décalés, les enfants sont à l’école ou en activité extra scolaire, on doit se taper le métro aux heures de pointe avec les cartables, plus le temps de faire les devoirs...fatigue générale des enfants et moi parce qu’on ne cesse de courir pour aller à leurs rdv et là encore, hop on menace de placement si je me permets d’opposer une objection à l’un des nombreux rdv.
      Je n’en peux plus de cette association, ils ont le don de pousser les gens à bout et dernièrement, je ne suis plus parvenue à rester calme alors hop de nouveau, menace de placement.
      J’ai juste la vilaine impression d’être piégée par le système et j’étouffe.
      Je propose des solutions pour que l’éducatrice m’allège un peu mais rien n’y fait, elle nous colle des rdv sur rdv et elle ne fait surtout pas l’effort de venir elle-même chez nous. Nonnn, toujours à nous devenir au centre !!
      Très honnêtement, je sature complètement et je ne vois pas de quelle façon me sortir de cela alors qu’au départ, c’est moi qui avait demandé cette aemo en y espérant de l’aide. C’est un cauchemar !

    • Le 8 janvier 2013 à 16:47 En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      Olga-Spitzer n’est pas la seule à agir comme cela. Jeunesse Feu Vert à Ris-Orangis s’est également comportée de la sorte. Après avoir demandé à plusieurs reprises le placement d’une fratrie et essuyer le refus du juge, ce dernier a finalement ordonné une OPP pour l’un des enfants dans l’urgence sans audience. Le placement c’est extrêmement mal passé et Jeunesse Feu Vert a manoeuvré pour s’immiscer dans le couple et entre les parents et les enfants. Jeunesse Feu Vert a ensuite passé son temps brandir la boite placement, déçus qu’ils étaient de ne pas avoir obtenu le placement de toute la fratrie.

      Pour s’en sortir et protéger votre famille contre ces idologues du placements il faut :
      - prendre un avocat si vous pouvez : une AEMO c’est une décision de justice, donc c’est grave car la justice vous enlêve votre liberté, c’est pourquoi il faut aller devant la justice avec un conseil. La perversité des AEMO c’est qu’elle est présentée comme une aide or les consquences que l’on vous cache c’est que ça peut mener aux placement de vos enfants contre votre volonté
      - noter tous les échanges en tenant un véritable journal : tel jour, telle heure, ce qui a eu lieu entre vous et l’AEMO ou l’ASE
      - photocopier tous les documents que vous recevrez (si vous en recevez) de la part des l’AEMO ou l’ASE
      - demander à votre enfant de faire un lettre M. Le batnnier de l’ordre des avocats afin qu’on lui assigne un avocat
      - Enregistrer vos appels téléphoniques ou ayez une bonne mmoire
      - Ne les croyez pas quand ils disent on va vous aider... en fait là vous êtes foutu et vous pouvez dire bye bye à vos enfants
      - Devant le juge si vous n’avez pas pu avoir accés au dossier d’AEMO, dites le au juge
      - Dans ce cas ne pas donner votre aval sur le contenu du rapport dites plutôt que ce rapport n’engage que l’AEMO ou l’ASE et que vous n’êtes pas d’accord avec cela
      - Si il y a des mensonges dans le rapport dites le au juge
      - Dès que le rapport de l’AEMO ou l’ASE est envoyé au tribunal, allez le consulter ou votre avocat peut le faire votre place. Vous serez ainsi mieux armé et au courant des magouilles de ces "assistaneurs" qui vivent nos crochets

    • Le 11 janvier 2013 à 23:07, par limonadeverte En réponse à : Abus de pouvoir et mépris des familles : témoignage

      C’est un scandale financier et judiciaire ... (3 petits points et "ses frères" plus loin,
      votre com m’a fait tilter, je me suis dit que j’avais déjà, et récemment, entendu ça quelque part, et pour cause Marik, vous risquez de tomber de trés haut si vous réagissez comme moi en apprenant, voir en comprenant que ce qui qui se passe actuellement avec ces abominables placements arbitraires d’enfants innocents est loin d’étre nouveau.
      je vous laisse découvrir cela :

      D’ailleurs, je vous conseille vraiment toutes les vidéos de Marion Sigaut qui a fait un travail exellent concernant les moeurs françaises en matière de maltraitance d’enfants.

      C’est parfaitement ignoble mais notre "aube du XXIé siècle" en france n’a vraiment rien inventé ....

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