Une tribune pour les luttes

Territoires : entre dépossession et exclusion

Article mis en ligne le vendredi 29 août 2014

Le réseau hexagonal No Pasaran, initie une réflexion globale sur les enjeux liés au territoire. Lieu d’exclusion, à travers la militarisation des frontières et la traque faite contre les êtres humains qui ne disposent pas du bon bout de papier, le territoire est aussi un espace dont on est dépossédé au quotidien, notamment à travers le lancement de grands projets inutiles et imposés, à l’image de l’aéroport de Notre-Dame-Des-Landes. Toutefois, depuis une décennie, on constate que cette dépossession rencontre de plus en plus de résistances sur toute la surface du globe ...

Retrouvez sur cette page toutes les initiatives et documents de réflexion : http://nopasaran.samizdat.net/spip.php?article2126

Le 4 pages, à télécharger sans modération :

Réseau No Pasaran
www.nopasaran.samizdat.net
nopasaran chez samizdat.net
21 ter rue Voltaire, 75011 Paris

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Vos commentaires

  • Le 29 août 2014 à 09:05, par messa En réponse à : Territoires : entre dépossession et exclusion

    Pour reprendre le très bon passage à propos du savant urbanisme ; c’est de ma fenêtre que j’écris, les yeux rivés sur la place des Danaïdes avec sa magnifique fontaine remplie de javel pour repousser tout être vivant. J’ai cependant deux beaux souvenirs de cet endroit. Le premier, avec ma gosse, il y a 7 ou 8ans. Rappelez-vous, l’année où de brillants arts-tristes (lisez artistes) ont déployé leur 10aines de vaches (taille réelle) en plastoc et aux couleurs milka ou picasso. Et bien, après avoir pris un bain de rigolades dans la fontaine, ma fille a monté une de ces bêtes pour prolonger son délire. L’autre souvenir ; c’est de m’être servie de de la plus haute dalle de la fontaine pour y faire du collage (c’était pour le rdv apéro/facho). Et étrangement ces affiches ont longtemps échappé à l’enlèvement par les esthètes/gestionnaires/manards de la Ville.
    C’est aussi cet espace près d’chez toi où le mobilier urbain s’accumule sous le coup de marqueurs des bons gestionnaires (administrations et architectes) soigneusement drivés par les propriétaires privés qui n’ont de cesse de nous Vendre, vendre, vendre ces tant aimés objets de consommation. De la colonne Morris (1885 http://fr.wikipedia.org/wiki/Colonne_Morris) aux merdes de Jean Decon entre autres.
    Fini ! les chiottes, fini les bancs (on en trouve encore quelques uns dans dans les 7, 8, 9ème arrondissements). Normal ! c’est comme pour le reste ; y’ a des culs plusss privilégiés que d’autres :O) !!!

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