Le 20 avril on apprenait la mort d’Idriss Déby, l’inamovible dictateur tchadien, à la suite de blessures reçues en combattant une colonne de rebelles (1), et en même temps la prise du pouvoir par un « Comité militaire de transition » regroupant une quinzaine de hauts gradés et dirigé par l’un de ses (...)