conclusion :
« Nous sommes fort aises d’apprendre que les auteur-e-s [ou patron-e-s] souhaitent réfléchir à l’ « essoufflement du modèle vocationnel ». A lire la liste de leurs noms [et de leurs fonctions], il semblerait qu’ils et elles aient déjà trouvé la solution. Quant au « bouleversement actuel des mondes de l’édition », ce n’est certainement rien d’autre qu’un voile recouvrant une volonté de dépassement de la dite fracture numérique. Et pour ce qui est de l’articulation entre la « diffusion de biens symboliques » et les « réalités matérielles », nous avons vu plus haut de quoi il en retournait. Mesdames (...)