Plus qu’une réalité, le soi-disant « matraquage fiscal » conduisant à l’exil des riches relève surtout d’une bataille idéologique animée par les politiciens procapitalistes et relayée par les experts et médias allant dans leurs sens.
En effet, entre 2000 et 2010, les gros possédants ont été choyés sur le plan fiscal.
La crise n’est qu’un prétexte pour justifier de nouvelles privatisations et disloquer nos droits.