Suite à son interpellation devant son domicile, mardi 25 février 2014, en fin de matinée, Boualem SNAOUI emmené menotté, a passé près de 8 heures en garde à vue dans les commissariats de Deuil-la-Barre et d’Enghien.
Nous tenons à dénoncer et à condamner les méthodes d’humiliation et d’atteinte grave à la dignité des militants des droits humains, et rappeler notre attachement à la liberté d’expression et d’opinion, que l’état doit garantir à tous les citoyens.