Article mis en ligne le dimanche 1er avril 2012
Dimanche
1er avril 2012
AGENDA
1/
Mercredi
4 avril de 15h à 17h :
Permanence Jeunes Majeurs du RESF à Marseille (à la MMDH,
34 cours Julien 13006).
2/
Samedi 7 avril, de 10h à 12h30 : prochaine réunion RESF à Marseille, à
la fac St Charles, salle CH57
INFOS
1/
Bilan des actions du 31 mars2/
Deux nouvelles pétitions de soutien à des familles
marseillaises3/
Le RESF s’adresse aux candidats des prochaines élections et aux
citoyens4/
Chaque semaine, le RESF dans CHARLIE HEBDO, POLITIS,
MEDIAPART5/
DERNIERE MINUTE : Guéant démissionne !
1/
RESF
en campagne : la loi doit changer ! Bilan
des actions du 31 marsAu
cœur de la campagne pour l’élection présidentielle, à travers une centaine
d’initiatives un peu partout en France samedi 31 mars, le RESF a rappelé
son exigence d’une autre politique d’immigration.Régularisation
des jeunes majeurs scolarisés, et des parents d’enfants scolarisés,
interdiction de l’enfermement des enfants dans les centres de rétention,
interdiction du démembrement des familles, respect du droit d’asile. Il faut
des mesures d’urgence, il faut que la loi change.
Bilan
des actions locales
MARSEILLE
Une
dizaine de tables d’écoliers, des chaises vides avec les noms d’enfants
expulsés ou menacés d’expulsion… telle était, devant la bibliothèque de
l’Alcazar, l’initiative du RESF sur Marseille à l’occasion de ce 31 mars,
journée nationale d’action.Beaucoup
de passants, interpellés, sont venus discuter avec les militants du RESF et
signer les pétitions demandant la fin de l’enfermement des enfants ou la
régularisation des familles Sans-Papiers.Article
de La Marseillaise ici http://www.educationsansfrontieres.org/ article42243.html
ARLES
Le réseau
ESF local a tenu un stand sur le marché samedi 31 mars au matin en exposant
les nouvelles affiches de campagne et en faisant signer la pétition "non à
l’enfermement des enfants étrangers". Bon accueil des passants et 180
signatures récoltées.Un
journaliste de La Marseillaise est passé, il a fait des interviews et pris des
photos, pour un article à paraître lundi.
MARTIGUES
(Projection
le 30 mars en avant première du film « Vol Spécial »
au cinéma Le Renoir ; un
partenariat entre le RESF, la MJC de Martigues et la LDH Martigues, soutenu
par la municipalité).Une
cinquantaine de personnes sont venues voir la projection devant une exposition
de photos sur les droits de l’enfant.Hajni
Kiss-Agostini, directrice des Francas des Bouches du Rhône, est revenue sur
l’historique de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant en
rappelant les engagements pris par la France. Frédéric Grimaud, pour le RESF
Ouest Etang de Berre, a présenté la campagne contre l’enfermement menée par le
RESF ainsi que les actions locales. Le débat qui a suivi fut riche et s’est
fini autour d’un pot.Cette
initiative a permis, à quelques semaines de l’élection présidentielle, de
rappeler que la loi doit changer. Le RESF Ouest Etang de Berre sera aussi
présent le 11 mai, au lendemain des élections, à l’Usine à Istres, pour le
concert de Macadam Bazar et ZEP...en espérant que la loi aura changé !
2/
Deux nouvelles pétitions de soutien à des familles
marseillaises
- Mme
TONOYAN et ses deux enfants sont
arrivés en France en 2010. Ils ont dû fuir la Russie. Vazgen et Asmik sont aujourd’hui
scolarisé en 3ème et en 4ème au collège Longchamp (Marseille
13001).M.
Tonoyan, le père des enfants, a disparu en Russie à la suite d’une affaire de
racket dont il était victime…Malgré
cela, le statut de réfugié leur a été récemment refusé en
France.Mme
Tonoyan et ses enfants vont devoir quitter le logement mis à disposition
durant l’étude de leur demande d’asile. Sans autorisation de travailler, c’est la
rue qui s’offre à eux !Pétition en PJ et
en ligne ici www.educationsansfrontieres.org/p2219
- Famille
HAMANE : 3 enfants dont 2
scolarisés dans
les écoles maternelle Copello et
élémentaire Franklin Roosevelt (Marseille 13005).Originaire d’un
petit village des Aurès, la famille HAMANE a été poussée à fuir l’Algérie en
2010 à cause de la violence terroriste qu’il subisse depuis 2005. En France
leur demande d’asile vient d’être rejetée…Pétition
de soutien en PJ et en ligne ici www.educationsansfrontieres.org/p2225
3/
Le RESF s’adresse aux candidats des prochaines élections et aux
citoyensLors
de sa dernière réunion nationale (janvier 2012), le RESF a adopté une adresse
aux candidats et aux citoyens que vous trouverez en PJ et ici http://www.educationsansfrontieres.org/ .article40743.html
A transmettre, à imprimer, à afficher…C’est
notamment avec cet outil que le RESF fera en sorte dans les prochaines
semaines que la question des migrants, tout particulièrement les jeunes et
leurs familles, ne soit pas oubliée.Jean
Luc Mélenchon, Eva Joly, Philippe Poutou et François Hollande ont pour
l’instant répondu à cette adresse
(suivre le lien ci-dessus pour lire leurs réponses).
4/
Chaque semaine, le RESF dans
CHARLIE HEBDO, POLITIS, MEDIAPART
Retrouvez
ces chroniques sur le site du RESF.Cette
semaine :
-
dans Charlie-Hebdo,
rubrique « L’expulsé de la semaine » et sur notre site Resf :«
Chasse à l’enfant interdite, les préfets braconnent »http://resf.info/rubrique461.
html
-
sur
le blog
Resf
de
Politis,
1e texte de la nouvelle forme de publication :« Encore 4 enfants condamnés à l’expulsion et à l’errance, malgré la condamnation de la France par la cour européenne »
http://resf.info/rubrique613.
html
-
sur (le
blog de RESF)
sur
Médiapart,«
Un Falcon pour Brendon »par
Resf 51 et les membres de l’association « Ensemble pour Blendi et Blendon
»
5/
DERNIERE MINUTE : Guéant démissionne !
Bonjour,
Samedi 31/03/2012 pour journée nationale d’action
RESF 30 a organisé une « chaine
humaine »
et
a rebaptisé 17 rues de Nîmes du
prénom d’enfant ayant fait un séjour au centre de rétention.Sur le Blog RESF :
Les
articles de presses :Vidéo
de cette chaine humaine :
http://www.dailymotion.com/video/xpu4ms_31-mars-2012- chaine-humaine-resf-nimes- journee-nationale-d-action_ news Reportage
FR3 Languedoc Roussillon :
Le
RESF s’adresse aux candidats des prochaines élections et aux citoyensLors de sa dernière réunion nationale (janvier 2012), le RESF a adopté une
adresse aux candidats et aux citoyens que vous trouverez en PJ et ici http://www.educationsansfrontieres.org/ . A transmettre, àarticle40743.html
imprimer, à afficher…C’est notamment avec cet outil que le RESF fera en sorte dans les
prochaines semaines que la question des migrants, tout particulièrement les
jeunes et leurs familles, ne soit pas oubliée.Jean Luc Mélenchon, Eva Joly, Philippe Poutou et François Hollande ont pour
l’instant répondu à cette adresse
(suivre le lien ci-dessus pour lire leurs
réponses).
Les affiches Nationales :
Affiche RESF 30 :
Derrière les murs, des hommes, des femmes, des enfants.
Fermeture de TOUS les Centres de Rétention
- Affiche-RESF-30-Derrière-les-murs-des-hommes-des-femmes-des-enfants.-Fermeture-de-TOUS-les-Centre-de-Retention
Blog RESF30 :
http://lewebpedagogique.com/resf30/
Pour s’inscrire à la liste de diffusion RESF30 Info : http://listes.rezo.net/mailman/listinfo/resf30-info
Twitter RESF30 : https://twitter.com/# !/RESF30
Cela fait maintenant 10 ans que notre camarade antifasciste et syndicaliste Clément Méric s’est fait assassiner par un nervis d’extrême droite. Il y a 10 ans, notre camarade rentrait dans la liste longue et encore ouverte des victimes du fascisme. Et pourtant 10 ans après, force est de constater que l’antifascisme reste toujours aussi nécessaire.
L’extrême droite en roue libre
Ces dernières années, (...)
Le jeudi 1er juin 2023
Lundi 13 mars, en plein mouvement social contre la réforme des retraites, Christine Gorce, professeure documentaliste au lycée Victor-Hugo de Marseille (13003) et militante à SUD éducation 13 et Elias Sobhy, AED et militant à la CGT Educ’action, ont été suspendu·es à titre conservatoire par le rectorat d’Aix-Marseille, pour avoir tenu, le 8 mars, une banderole dénonçant les propos sexistes et racistes (...)
Le jeudi 1er juin 2023
Réunies en Assemblée Générale, la Coordination France de la Marche Mondiale des Femmes, nous avons fait le point de nos actions des deux dernières années, particulièrement consacrées à la lutte pour les droits des immigré.é.s et à la mise en place de moyens leur assurant un accueil digne et humain. Nous ne pouvions nous séparer sans prendre position par rapport aux lois que le Ministre de l’Intérieur et (...)
Le lundi 29 mai 2023
Le 24 mai prochain, le Tribunal d’Avignon devra une nouvelle fois[1] se prononcer dans le cadre de l’affaire Laboral Terra et de ses entreprises utilisatrices. Cette fois seront jugés des faits d’agressions et de harcèlements sexuel, physique et moral, subis par deux intérimaires détachées.
Dans le cadre d’un détachement frauduleux auprès d’exploitations agricoles provençales (recrutement et contrats (...)
Le mardi 23 mai 2023
Les associations regroupées au sein des Terrasses Solidaires à Briançon sonnent l’alerte : Depuis début mai, le nombre de personnes exilées atteint le double de la capacité d’accueil du bâtiment.
Le dimanche 21 mai 2023
0 | ... | 50 | 55 | 60 | 65 | 70 | 75 | 80 | 85 | 90 | ... | 4735
Ces horreurs sont les conséquences d’une politique migratoire déshumanisée qui n’a rien à envier à celle mis en œuvre hier par les Hortefeux, Besson ou Guéant.
Mme AIT ICHOU, expulsée, laisse aujourd’hui sa place au centre de rétention de Marseille à M. TEBAH, père de 3 enfants français, qui vient de passer 3 mois en prison pour « refus d’embarquement », assortis de 3 ans d’interdiction du territoire français : retour au CRA pour être de nouveau promis à l’expulsion.
Le mardi 7 janvier 2014
Les militants du Réseau Education Sans Frontières 13 souhaitent une bonne année 2014 à tous les étrangers sans papiers et à celles et ceux qui les soutiennent, quelle que soit la forme de leur engagement.
En espérant que 2014 soit plus synonyme de régularisations que d’expulsions.
Pour cela, il faudra des mobilisations solidaires.
Car comme le laisse à voir cette première lettre d’information hebdomadaire de l’année, aucune trêve de fin d’année n’a été décrétée et la machine à expulser est déjà à l’action en ce début 2014.
Le RESF, qui “fête” cette année ses 10 ans d’existence, restera en 2014, comme en 2013, sous Hollande comme sous Sarkozy et Chirac, aux côtés des jeunes scolarisés sans papiers et leurs familles. Rejoignez le !
Le lundi 6 janvier 2014
Réseau Education Sans Frontières 13 resf13 chez no-log.org 06 31 32 48 65 61 rue Consolat 13001 Marseille www.educationsansfrontieres.org
Le 18 décembre 2013, Madame Ait Ichou Sana a été arrêtée à Nice, puis mise en rétention au CRA de Marseille.
Le recours contre l’OQTF a été rejeté le 21 décembre, et la Cour Administrative d’Appel d’Aix a suivi ce jugement.
Son passeport étant périmé, le JLD du 23 (...)
Le mardi 31 décembre 2013
Monsieur Ahmed AREF, égyptien, est au Centre de rétention administrative du Canet, à Marseille, depuis le 1er décembre. Il a été arrêté dans le métro alors qu’il partait travailler.
Entré en Italie à 17 ans, il est venu en France. Il a deux filles, l’aînée Tamara, 3 ans, scolarisée à l’école maternelle Corot ; la seconde Erama, 8 mois, va entrer en crèche. Leur mère a une carte de séjour de dix ans.
Le jeudi 26 décembre 2013
AGENDA
Mercredi 8 janvier de 15h à 17h : permanence RESF à la MMDH, 34 cours Julien 13006 Marseille
Mercredi 15 janvier de 17h30 à 20h : réunion RESF Marseille, à Mille Bâbords, 61 rue Consolat 13001 Marseille
INFOS
1/ Salah Eddine REZGUI, 18 ans, libéré !
2/ Un père au centre de rétention du Canet
3/ Une famille enfermée au centre de rétention de Lyon : appel à fax et mail
Le lundi 23 décembre 2013
0 | ... | 50 | 55 | 60 | 65 | 70 | 75 | 80 | 85 | 90 | ... | 500
Vos commentaires
# Le 3 avril 2012 à 11:33, par Christiane En réponse à : Un vent de censure souffle sur le printemps breton
Créé un 1961, le concours national de la Résistance et de la Déportation est organisé chaque année dans les établissements scolaires afin de « perpétuer chez les jeunes Français la mémoire de la Résistance et de la déportation afin de leur permettre de s’en inspirer et d’en tirer des leçons civiques dans leur vie d’aujourd’hui. » (cf. site éducation nationale).
A Rennes, comme partout en France, les lycéens bretons participent à ce concours avec le soutien d’associations issues de la Résistance et de la Déportation qui aident les élèves dans leurs recherches et participent à la remise des prix.
En avril 2011, François Lepage, photographe professionnel rennais, a été sollicité par l’ANACR 35 (Association Nationale des Anciens Combattants et Ami(e)s de La Résistance d’Ille et Vilaine) pour offrir une photographie. Elle devait s’ajouter aux différentes œuvres artistiques attribuées chaque année par tirage au sort aux 15 établissements scolaires primés du département.
François Lepage a choisi d’offrir une œuvre réalisée en 2008, extraite d’une exposition intitulée EXILS. Elle représente une mère de famille guinéenne portant dans ses bras son enfant, derrière les grilles du centre de rétention administrative de Rennes Saint Jacques, où elle était enfermée en attendant son expulsion.
Sur le plan départemental, la remise des prix est placée sous la présidence du préfet. Elle s’est déroulée le 8 juin 2011, au centre culturel de Liffré. L’événement est ainsi relaté sur le site de la préfecture : « Cette année le Concours National de la Résistance et de la Déportation fête son cinquantième anniversaire avec le thème "la répression de la Résistance par les autorités d’occupation et le régime de Vichy" qui évoque une période très sombre dans l’histoire de notre Nation..../... Quinze artistes, peintres, sculpteur, dessinateurs, et photographe ont offert chacun une œuvre de grande qualité, inspirée par cette époque, destinée aux établissements scolaires lauréats du concours ».
En juillet 2011, François Lepage est informé par les responsables de l’ANACR 35 que son œuvre attribuée au lycée Victor Hélène Bash n’a laissé personne indifférent lors de la remise des prix. _ Le commandant de gendarmerie s’est par ailleurs indigné du parallèle établi entre les événements de la seconde guerre mondiale et la politique répressive envers les sans-papiers . « Les gendarmes se sentaient blessés car ils pensaient que nous les comparions à des SS dans un camp de déportation. »
En janvier 2012, François Lepage est à nouveau contacté par l’association qui souhaite rencontrer le photographe pour discuter de leur « démêlé avec la gendarmerie et avec le préfet » suscité par son œuvre...
Le 28 février 2012, les responsables de l’ANACR 35 sont reçus à la préfecture en présence du préfet, de l’inspecteur d’Académie, du colonel de gendarmerie, du directeur de la Police aux frontières et du directeur de l’Office National des Anciens Combattants, afin que la photo dérangeante soit retirée du concours, en proposant de l’échanger avec une autre photo qui ne soit pas prise au centre de rétention... Très choqués de subir de telles pressions, les responsables de l’association demandent à consulter le photographe avant de prendre leur décision.
Avec indignation, François Lepage a pris acte de cette situation, mais a refusé d’offrir une autre photo en se gardant le droit de dénoncer la censure de son œuvre.
L’ANACR35 a alors réuni le comité d’organisation du concours composé de 9 associations qui se sont prononcées majoritairement pour le retrait, afin de pouvoir « continuer d’apporter aux élèves et aux professeurs des témoignages, des conférences, des expositions pour que le sacrifice de ceux qui ont donné leur vie pour que nous vivions libres ne soit pas oublié ». Lors de la prochaine remise des prix 2012 apparaîtra un rectangle vide sous-titré : « Photo de François Lepage retirée ».
“Amalgame”, le mot est lâché ! Qu’est-ce qui dérange les autorités administratives, le sujet photographique (une femme et son bébé derrière des barreaux) ou son interprétation potentielle ?
« Les gendarmes se sentaient blessés car ils pensaient que nous les comparions à des SS dans un camp de déportation. »
C’est sous-estimer l’intelligence des élèves, de leur capacité à interroger et à s’interroger, autant que mésestimer le corps enseignant qui les accompagne dans leur démarche de réflexion.
Alors, que veulent-ils vraiment nous cacher ?
Que la France enferme des hommes, des femmes et des enfants au mépris des textes internationaux dans le seul but de satisfaire des objectifs chiffrés de reconduite à la frontière ?
Que des enfants et leur famille sont arrachés de leur foyer au petit matin pour être conduits dans des centres de rétention où règnent violence et désespoir ?
Que des enfants sont privés de liberté pour être expulsés vers un pays où certains n’ont jamais vécu et dont, parfois, ils ne parlent même pas la langue ?
Depuis quelques années, la banalisation de l’enfermement des enfants, à laquelle nous assistons, est juridiquement contestable mais surtout humainement inacceptable. La France vient d’être condamnée en janvier 2012 par la Cour Européenne de Droits de l’Homme pour « traitement inhumain et dégradant », mais continue à enfermer les mineurs dans ces lieux que l’on nomme pudiquement « Centre de Rétention Administrative », pour ne pas dire prison pour étrangers.
En censurant cette photo, les autorités administratives nous offrent l’occasion de dénoncer haut et fort ce qui se passe chez nous, en 2012. L’œuvre artistique de François Lepage prend ici tout son sens, tant il est vrai pour les sujets photographiés que « l’image figée les fait surgir de l’oubli pour questionner nos consciences et nos actes » et révèlent une réalité qui dérange.
# Le 3 avril 2012 à 16:36, par Christiane En réponse à : À Nice, des empêcheurs d’expulser en rond
http://www.humanite.fr/societe/nice...
Marie Barbier