Au terme de plus de trois années de harcèlement et d’une procédure sans fin, la justice a tranché : non les antinucléaires de la CAN-SE n’ont pas diffamé Areva par leur propos. Bien au contraire, ils ont permis d’informer en toute honnêteté la population des atteintes sanitaires et à la vie perpétrées par les activités nucléaires ainsi que mis en lumière le noyautage des institutions et la complicité de certains élus avec le lobby nucléaire.
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