Ce matin 13 février 2019, environ 250 personnes se sont retrouvées devant le siège du Conseil Général pour réclamer justice pour les jeunes réfugié•es.
L’inhumaine Vassal, barricadée derrière ses grilles fermées et gardées par des policiers en armes, est restée insensible à la détresse de cette jeunesse qui ne réclamait que son droit : avoir un foyer et aller à l’école.
Après plusieurs prises de paroles réclamant la liberté de circulation et l’accès aux droits, un cortège joyeux et déterminé est partie pour la Préfecture rappeler au Préfet qu’il était le garant des droits constitutionnels et non pas Ponce Pilate.
Marjac
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