1/ Premier entretien avec Antoine Hollard, collègue de Pierre Jacque, octobre 2013.
Egalement syndiqué au SNES, il revient sur ces pratiques de terrain imposées et subies, sans "sens global", les évaluations CCF et autres, véritables impostures institutionnalisées, les élèves et un niveau de plus en plus problématique, à qui on demande de "construire leur propre savoir"... de l’incapacité des syndicats aussi, à s’approprier le champ des réformes...
2/ Voir les reflexions de Roland Gori, Samy Johsua et Erwan Redon dans l’émission
"gestion néolibérale à l’école, on achève bien les hommes", par annie-Claude Jeandot.
http://www.millebabords.org/spip.php?article24627
3/ Antoine Hollard, collègue et syndicaliste, reprend la parole un an après, pour expliquer les démarches, difficiles, effectuées cette année dans leur établissement pour que ce suicide soit reconnu comme "imputable au service"
Questionnements des syndicalistes SNES mis en cause, tergiversations et/ou défaussements des corps administratifs et inspectoraux, pressions institutionnelles... Mise en place d’ateliers de pratiques professionnelles avec Yves Clot, le Cnam et le Snes ...
Peut-être la voie pour se réapproprier un métier que les gestionnaires et l’idéologie en place dénaturent à coup d’évaluations inopérantes et d’impostures orchestrées. En attendant, la réforme incriminée suit son cours, comme les gosses, comme les profs... Sans Pierre Jacque.