Selon le journal marocain Lakome, Daniel Galvan serait en réalité un Irakien de naissance, exfiltré en Espagne après la guerre en Irak par les services secrets, où il aurait reçu une nouvelle identité en remerciement de sa collaboration.
Il se serait par la suite installé au Maroc, se laissant aller au comportement "d’un homme qui commettait ses crimes sans crainte des conséquences, comme s’il bénéficiait d’une protection particulière. D’où, selon le quotidien, le traitement de faveur qui lui aurait permis d’intégrer la liste des 48 (...)