Paris, le 17 octobre 2006
Hôtel après hôtel, les habitants sans-papiers ou récemment régularisés de ce qu’on appelle les hôtels sociaux, qui vont du à peine correct au carrément sordide, sont enjoints de quitter Paris pour une banlieue plus ou moins éloignée. Les raisons invoquées sont variées : insalubrité de l’hôtel, suroccupation des chambres dont profite l’hôtelier, changement de statut pour ceux qui (...)