Une tribune pour les luttes

jeudi 31 mars 2016

MARSEILLE

20 h

entre la Plaine ... le cours Julien ...

Convergence des luttes

NUIT DEBOUT, le 31 mars, on rentre pas chez nous

« Le journal Fakir avait pris l’initiative de cette soirée "Leur faire peur" dans la lancée de l’énergie des salles bondées où était projeté le film Merci Patron.
Syndicalistes, intellos, zadistes, ouvriers, mal-logés, étudiants, précaires... Ce soir-là nous nous sommes retrouvés, nous nous sommes rencontrés, nous avons échangé. »

On est quelques uns, on sera de milliers et on va réussir entre la Plaine, le Cours Julien, d’autres lieux, un grand moment de fête et de convergence des luttes, rouges, vertEs, syndicalistes, intermitantEs, précaires, militantEs, collectifs, petits lieux, bobos, prolos, jeunotEs, viellotEs, indignéEs, insoumisEs, révoltéEs avec Sardinades ? Fanfares ? Jeux ? Débats ? Apéro ? Et bien sur la projection libre vers 21h du jouissif Merci Patron.
A vous de jouer !

LE 31 (G)RÊVE GÉNÉRALE , ON SE QUITTE PLUS !!!

http://www.convergence-des-luttes.org/actualites/
https://www.facebook.com/events/239586979725225/

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Vos commentaires

  • Le 29 mars 2016 à 01:30 En réponse à : NUIT DEBOUT, le 31 mars, on rentre pas chez nous

    Salut,

    On va se retrouver après la manif, dès 17h sur Cours Julien, chacun amène un instrument sonore pour un boeuf géant, et on marque ainsi le début de la Nuit Debout,
    Des affiches sur place annonceront le programme et il y aura plein de place pour ajouter vos événements, amener vos feutres, votre peinture, vos cansons, vos tables, vos chaises, vos spécialités régionales, personnelles, votre créativité, vos témoignages et vos envies de lutte, il y aura des jeux, su théâtre, des rencontres, des assemblées citoyennes pour decider comment poursuivre, on ira chercher les voisinEs pour leur expliquer, pour qu’ils/elles nous rejoignent, on fera chauffer les portables aussi, et bien sûr à 21h la diffusion de Merci Patron Le Film....
    du son partout, des fanafares, des bals, la fête est politique, on ne se quitte plus....

    Gérald

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