Nous, collectifs et habitants·es de la région marseillaise et d’ailleurs, n’acceptons plus une telle aberration tant sur le plan social qu’écologique. Le trafic des croisières génère des pollutions marines et aériennes, contribue au changement climatique et à l’épuisement des ressources. Les entreprises exploitent des travailleurs à bord des navires, pratiquent l’optimisation fiscale et se drapent dans de belles paroles pour faire oublier leurs torts. Les avantages économiques qu’ils prétendent apporter sont dérisoires et non vérifiables, et surtout, ne compensent pas les impacts réels sur nos vies.
Pour appuyer notre lutte, vous trouverez le communiqué de presse de cette journée, ainsi que l’argumentaire justifiant nos revendications.