Tout d’abord, Yannis Michailidis a suspendu sa grève de la faim au bout de 67 jours alors qu’il était sur le point d’atteindre le point de non retour (risque de coma irréversible dû à sa très forte hypoglycémie), dans une ambiance très tendue en Grèce entre le mouvement social et le pouvoir, et pas seulement du côté des anarchistes et des antiautoritaires.