Allez une fois entre le métro Barbès et la rue de la Charbonnière, vous y verrez que ces jeunes ont l’air de tout sauf d’être inquiets.
Faire l’amalgame entre de braves gens qui vivent, eux, dans l’angoisse permanente du contrôle et de l’expulsion, et des plus ou moins voyous, dont certains sont sans-papiers, ce n’est pas défendre la cause des sans-papiers, à mon avis.